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01 juillet 2009
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° N 1790
______
ASSEMBLÉE NATIONALE
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958
TREIZIÈME LÉGISLATURE
erEnregistré à la Présidence de l'Assemblée nationale le 1 juillet 2009
RAPPORT D’INFORMATION
DÉPOSÉ
en application de l’article 145 du Règlement
PAR LA COMMISSION DES FINANCES, DE L’ÉCONOMIE GÉNÉRALE ET DU CONTRÔLE BUDGÉTAIRE
(1)en conclusion des travaux de la Mission d’évaluation et de contrôle (MEC)
sur le coût des opérations militaires extérieures,
notamment sous mandat international
ET PRÉSENTÉ
PAR M. Louis GISCARD D’ESTAING et Mme Françoise OLIVIER-COUPEAU
Députés
___
MM. GEORGES TRON et DAVID HABIB
Présidents.
____
(1) La composition de cette mission figure au verso de la présente page. La mission d’évaluation et de contrôle est composée de : MM. Georges Tron,
David Habib, Présidents ; M. Didier Migaud, Président de la commission des
Finances de l’économie générale et du Plan, M. Gilles Carrez, Rapporteur
général ; MM. Pierre Bourguignon, Jean-Pierre Brard, Alain Claeys, Charles de
Courson, Richard Dell’Agnola, Yves Deniaud, Jean-Louis Dumont, Jean-Michel
Fourgous, Laurent Hénart, Jean Launay, François de Rugy, Philippe Vigier.
— 3 —
SOMMAIRE
___
Pages
INTRODUCTION.................................................................................................................... 7
PREMIÈRE PARTIE : LE COÛT DES OPEX, DE L’ÉVALUATION À LA MAÎTRISE ............... 9
I.– L’OPEX : UN MODE D’OPÉRATION DEVENU CLASSIQUE POUR LES ARMÉES........................ 9
A.– UNE ACTIVITÉ EN FORTE HAUSSE DEPUIS VINGT ANS .................................................. 9
1.– Une importante participation humaine aux Opex ..................................................... 9
2.– Des retombées limitées pour l’économie française .................................................. 10
B.– UN COÛT FINANCIER CROISSANT................................................................................ 11
1.– Une hausse continue et rapide du coût des Opex.................................................... 11
2.– Un coût principalement lié aux frais de personnel.................................................... 14
3.– Un coût évident en matériel ................................................................................... 16
4.– Les effets d’équipement du personnel .................................................................... 16
5.– Les programmes d’urgence ................................................................................... 17
C.– LE COÛT HUMAIN DES OPEX....................................................................................... 19
1.– Une rotation de plus en plus importante.................................................................. 19
2.– Un coût croissant en vies humaines ....................................................................... 19
II.– LA DIFFICULTÉ DE CALCULER LE COÛT DES OPEX ........................................................... 23
A.– UNE CHARGE NETTEMENT SOUS-ÉVALUÉE.................................................................. 23
1.– La controverse entre le ministère de la Défense et celui du Budget .......................... 23
2.– D’importantes différences par rapport à nos alliés ................................................... 24
3.– Trop de coûts structurels ne sont pas pris en compte .............................................. 25
4.– Une sous-budgétisation initiale chronique............................................................... 26
5.– Des conséquences financières lourdes................................................................... 27
6.– Le rôle du Centre de préparation et de conduite des opérations (CPCO) .................. 27
B.– DÉFENSE OU AIDE AU DÉVELOPPEMENT ?................................................................... 28
1.– L’aide médicale aux populations ............................................................................ 28
2.– Les actions civilo-militaires .................................................................................... 28
3.– Le soutien aux autres armées................................................................................ 29 — 4 —
III.– LA COMPLEXITÉ DES OPÉRATIONS MULTILATÉRALES ..................................................... 30
A.– L’ONU, UNE ADMINISTRATION PROCÉDURIÈRE ............................................................ 30
1.– Des procédures variables ...................................................................................... 30
2.– Un barème précis et contractualisé ........................................................................ 30
3.– Une organisation administrative qui exerce des contrôles rigoureux ......................... 32
4.– Une procédure de remboursement longue dont le suivi est complexe ....................... 32
5.– Le remboursement ne couvre pas toutes les dépenses............................................ 33
B.– L’UNION EUROPÉENNE ET L’OTAN............................................................................... 33
1.– Les financements à l’Otan ..................................................................................... 34
2.– Le dispositif Athéna de l’Union européenne ............................................................ 35
3.– La délicate transition entre l’Union européenne et l’ONU au Tchad........................... 35
4.– Il est temps de mettre en œuvre Euro recamp......................................................... 36
IV.– LES PISTES DE RÉFLEXION POUR RÉDUIRE LES COÛTS................................................... 38
A.– QUELQUES PROPOSITIONS CONCRÈTES..................................................................... 38
1.– Améliorer la budgétisation initiale des Opex et leur suivi .......................................... 38
2.– Standardiser et bâtir en « dur » le plus tôt possible.................................................. 39
3.– Établir des relations plus « réalistes » avec nos partenaires..................................... 40
4.– Substituer, lorsque cela est plus économique, l’achat à la location ........................... 41
5.– En matière de piraterie, impliquer les assureurs ...................................................... 42
6.– Pouvoir utiliser le matériel pris à l’adversaire........................................................... 43
B.– L’EXTERNALISATION, SOURCE D’ÉCONOMIE ?.............................................................. 43
1.– La problématique de l’externalisation en Opex ........................................................ 43
2.– Les risques politiques liés à l’externalisation ........................................................... 44
3.– Les conséquences de l’externalisation sur la main-d’œuvre locale ........................... 45
4.– Un bénéfice financier pas toujours certain............................................................... 45
SECONDE PARTIE : LES CINQ OPEX MAJEURES............................................................. 46
I.– L’OPÉRATION LICORNE EN CÔTE D’IVOIRE........................................................................ 46
A.– HISTORIQUE DE L’OPÉRATION .................................................................................... 46
1.– Une opération menée sous l’égide des Nations unies.............................................. 46
2.– Des moyens adaptés à une menace réelle ............................................................. 46
— 5 —
B.– UN TRIPLE SUCCÈS.................................................................................................... 47
1.– Le conflit a été interrompu avant qu’il ne dégénère.................................................. 47
2.– L’activité économique du pays a été préservée .............