Gbich n°970 du 14/06/2018 , magazine presse
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Français
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Gbich n°970 du 14/06/2018
Mendozza Y Caramba
ette semaine, on parle de pri-son. Une situation terrible qui est tout à fait le contraire de mursC. Des murs qui nous empêchent liberté. La notion de prison selon le dictionnaire, c’est la rétention d’un individu entre quatre d’agir comme nous voulons et nous limi-tent dans nos actions. Dans notre esprit, lorsque nous ne sommes pas pension-naires d’une maison d’arrêt, d’un bagne voire d’un pénitencier, nous sommes li-bres. Mais à bien y réfléchir, sommes-nous aussi libres que nous l’imaginons ? Pouvons-nous faire n’importe quoi quand nous voulons ? Où nous voulons ? Je vois des sourcils se froncer. Quand on pousse un peu plus loin notre réflexion, on se rend compte qu’on a une liberté conditionnée. En fait, nous sommes pri-sonnier d’un système régi par des lois et des règles auxquelles il faut impérative-ment se plier. De ce fait, quand on sait nos mouvements limités par tout ce sys-tème, on peut affirmer qu’on a le même sort que ceux qui sont derrière les bar-reaux.
Mais au-delà de tout ceci, notre prison peut-être mentale. Ça veut dire que ça se passe dans la tête. Nous nous bâtissons
Faisons tomber nos chaînes virtuelles
des murs virtuels qui nous étouffent et nous empoisonnent la vie. Voyez-vous, quand on a une attache obsessionnelle à la bonne chair (au propre comme au fi-guré), à la bonne nourriture, à certaines pratiques et à bien d’autres plaisirs sur cette terre, n’est-ce pas une forme de pri-son ? Une prison qui ne nous a pas été imposée par des hommes de lois, mais par nous-même. Nous concevons et réa-lisons nous-même très souvent des bar-reaux desquels il est difficile d’en sortir. Qui nous éloignent de nos rêves.
N’est-ce pas une sorte de condamnation à vie ? Bref, nous vivons dans la prison du système qui, lui-même, nous condi-tionne pour nous enfouir dans d’autres prisons. Comparativement à plusieurs boîtes qui se rangent les unes dans les autres. Notre porte de sortie ? L’émanci-pation. L’éveil de l’esprit qui est un acte individuel. Emancipons-nous donc et sortons des carcans carcéraux. Faisons tomber les murs virtuels qui nous entou-rent.
Mais plongeons dans la prison de ce nu-méro de Gbich! que vous tenez en main. Il n’y a aucune crainte, tout ce qu’on risque, ce sont des peines de rires et fous rires. On dit chez nous que : quand une femme veut te « cadenasser », tu ne peux rien. Bonne lecture !
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p k a o a Par JFK/jfkoff@yahoo.fr : 40 00 58 67 / 09 76 80 12 k a p t y Bon jusque-là, quand le petit chéri de Bamba Ami Sarah raconte à tout le monde qu’il veut devenir le prochain Avec Nash, la go cra cra du maire de Cocody, ses camarades ne le croient pas. djassa, il faut gnaganmi Quand l’homme Saga leur tourne le dos net, en même dans le gbonhi. Mais de-temps, ils se mettent à rire.“Lui là aussi veut devenir puis quelques se-maire de Cocody, il aime se jouer les importants oh !’’. maines, Nash a Alors que vrai vrai là, L’homme Saga est sérieux dans son disparu et le gbonhi affaire. L’ex-petit boucantier ehh pardon le chéri est bizarre. On ne d’Ami Sarah dit qu’il a beaucoup de savait plus où elle projets pour les jeunes de Cocody. Bon, était passée. Dja, la nous on te croit hein, mais pardon toi et go était malade. puis ta fiancée-là, arrêtez de nous Elle avait leur sale mentir en racontant tous les trois maladie qu’on ap-mois que vous allez vous marier à la pelle fièvre ty-mairie de Cocody. C’est peut-être Le fiancé de Bambapour cela que tes camarades rient phoïde-là. C’était telle-Ami Sarah veut quand tu leur tournes le dos. Parce que vous ne leur dites pas la véritéNash se porte ment chaud devenir maire sur elle, que sur votre affaire-là ! tous les motsbien maintenant nouchis ont disparu de sa bouche. Mais comme on le dit, Dieu merci, La go cra cra se Un tournoi pour rendre hommage àvéCtéhraeniscrkeprTéisoetn-é“mon v porte bien maintenant : quej’aivujaunehein!C’étaitvriaeiumxe,njettdeudrisur tés par les kôyô moi. Maintenant ça va. Fièvre typhoïde voulait kôyô comme Yous-finir avec moi, mais avec Dieu, j’ai eu le dernier souf Falikou Fo-mot’’, nous a-t-elle dit. Prompt rétablissement , le vieux jeune fana à toi Nash. Zézéto, Serge Maguy Alain, Kader Kéita, Zoro Marc, Alain Goua-méné et dans l’autreYoussou Ndour chante l’équipe qui enjaille avec Jagger tout le monde à l’heure-là, il y avait Gervinho, Eric Bailly, Max Gradel, Franck Kessié… mais leur bal-lon là était doux comme ça. Même si Cheick Tioté est mort ça fait un an. les jeunes ont gagné, tout le monde Ce jour-là, beaucoup de gens ont était enjaillé. Bon, tout ce que vous pleuré jusqu’ààà . Mais ses camarades avez fait là est bon, mais si vous don-Eléphants avec qui il jouait ne l’ont nez un peu le jeton à la famille de pas oublié. Ils ont organisé il y a Chieck Tioté pour s’occuper de ses quelques jours, au quartier Résiden-enfants, c’est encore mieux dèh ! tiel de Marcory, un match de gala en son honneur. Il y avait une équipe
MC One pose avec la Première Dame
Wallaye ! Affaire de chanter là aussi c’est bon dêh ! Dès que tu com-mences à passer un peu seulement à la télé, tu deviens camarade de tout le monde. Même les personnali-tés prennent photo avec toi. Voici MC One, le petit de Kedjevara, qui lui aussi va faire son petit malin sur les petites go de son quartier. Il a posé il y a quelques jours avec la première Dame. Mon petit, tu as posté photo-là mais tu n’as pas dit la vérité aussi hein ! Dis-nous com-bien elle t’a donné ce jour-là, comme ça tout le monde dans ton village va t’appeler pour te dire bonjour. Eh Dieu, affaire de ‘’l’ahan’’ comme on dit, est doux dêh.
Gbich! est une publication de Gbich! Editions. Sarl au capital de 5 000 000 F CFA. FONDATEURS: Zohoré Lassane et Illary Simplice • Directeur de Publication :Zohoré Lassane •Gérance :MS Inter •Rédacteur en chef :Illary Simplice ( 07 71 07 80) •Responsable commercial :Apoutri S. (07 76 21 34) •Siège social :Koumassi Remblai non loin de ISTCO Colombe lot 1619 ilot : 109 •Tél :21 56 47 20 / 21 36 03 54 /Fax :21 56 51 69•Adresse : 10 B.P. 399 Abidjan 10 • Dépôt Légal : n° 4657 du 22 avril 1999 • Impression :SNPECI •Distribution : Edipresse : 20 37 18 60 / 20 37 17 67 Recépissé n°69/D du 04 août 1998 du Procureur de la République • Toute copie, même partielle de cette publication est formellement interdite sous peine de poursuite judiciaire • TIRAGE : 11.250 EXEMPLAIRES
Djo, on vous a dit oh ! Le dernier album du kôrô Jagger, ça va faire mal hein ? On dit que le titre de l’album s’est “Human Race’’. Ça veut dire, la race humaine. On ne sait pas pourquoi Jagger a choisi ce titre là, mais vous savez que l’homme-là, il aime jouer au philosophe oh ! On vous a dit aussi que l’album sera bon parce que c’est Bon-cana Maïga qui arrange ça. Maintenant Alpha a pris de grands chanteurs pour faire des featu-rings avec lui. On a parlé de Fally Ipupa. Mainte-nant, il y a Youssou Ndour aussi qui a accompagné Alpha sur la chanson “Oté fê’’. Ceux qui ont écouté la chanson disent que c’est chic. Mais nous on attend pour voir. Maintenant comme le dit l’autre, on est devenu comme saint Thomas…
N° 970 du 14 au 20 juin 2018
