Couscous, boulgour et polenta Transformer et consommer les céréales dans le monde , livre ebook

482

pages

Français

Ebooks

2010

Écrit par
Hélène Franconie , Monique Chastanet , François Sigaut

Publié par
Karthala éditions

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Publié par

Karthala éditions

Date de parution

01 janvier 2010

Nombre de lectures

EAN13

9782811102852

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

4 Mo

Publié par

Karthala éditions

Date de parution

01 janvier 2010

EAN13

9782811102852

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

4 Mo

SOUS LA DIRECTION DE Hélène Franconie, Monique Chastanet et François Sigaut

Couscous, boulgour et polenta

Transformer et consommer les céréales dans le monde

KARTHALA

COUSCOUS, BOULGOUR ET POLENTA

KARTHALAsur Internet : http://www.karthala.com Paiement sécurisé

Couverture : La production de flocons de riz (ciurā) par pilage. Peinture sur papier réalisée par des femmes de la région de Janakpur (Teraïde l’Est, Népal). ClichéD. Baudais.

Éditions KARTHALA, 2010 ISBN :978-2-8111-0285-2

SOUS LA DIRECTION DE Hélène Franconie,Monique Chastanet et François Sigaut

Couscous, boulgour et polenta

Transformer et consommer les céréales dans le monde

Éditions KARTHALA 22-24, bd Arago 75013 Paris

Cet ouvrage Centre de

Comitéde publication

Didier CHABROL Michel CHAUVET Hélène FRANCONIE José MUCHNIK François SIGAUT

* * *

a été publié avec le concours de l’INRA, Montpellier, et du GIS SYAL, France.

En hommage à Karen LUNDSTRÖM-BAUDAIS, archéobotaniste, décédée en janvier 2006

En guise d’entrées

Introduction

Hélène FRANCONIE, Monique CHASTANET et François SIGAUT

Le colloque à l’origine de ce livre s’est tenu à AGROPOLIS-MUSEUM. Localisé à Montpellier, et voulu par son fondateur Louis Malassis en hommage aux paysans du monde, ce musée est consacré à l’agriculture et à l’alimentation. De 1999 à 2003, dans le cadre d’un partenariat établi avec le Musée National des Arts et Traditions Populaires de Paris et le Centre d’Ethnologie Française du CNRS, et soutenu par l’EHESS, il accueillait le projet AGAPI(« analyse et représentation spatiale des agricultures et systèmesalimentairespréindustriels »), porté par François Sigaut. Le groupe de travail réuni pour inventorier des problématiques à explorer se voyait alors interpellé en ces termes par Didier Chabrol, secrétaire général d’AGROPOLIS-MUSEUMet spécialiste des questions d’alimentation : « Qui, parmi vous, peut définir ce qui différencie le boulgour du couscous ? » Les spécialistes que nous croyions être ont dû s’avouer mutuelleme nt l’étendue de leurs ignorances sur ces produits céréaliers qui voisinent sur les étagères de nos cuisines et les rayons de nos supermarchés. Ce qui est plutôt bon signe, puisqu’il paraît que c’est à cela qu’on reconnaît un spéIl n’empêche, nous n’arrivions pas à nous entendre sur lacialiste ! façon exacte de fabriquer le couscous... D’oùl’idée d’attirer l’attention de nos collègues sur les produits céréaliers autres que les grands classiques (pain, pâtes alimentaires, bières...), en lançant un atelier pour enétablir l’inventaire et la description, mais aussi pour les situer dans des pratiques sociales, qu’elles soient liées au quotidien ou à l’exceptionnel (fêtes, cycles calendaires, usages religieux). Les objectifsétaient de croiser les regards et de rechercher des convergences pour améliorer l’identification de ces produits d’apparence souvent similaire. D’établirégalement des

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