«-..:^^,'.yè^;.>li'^\? *.:^,'^'^"V^>;"^'^*•-'^.t/« »*-**v^,«yr'?^-v-.*-**L.i?i*^^i^T"*^X,^*W.V .si,-.,^) /•'C"''^-^'^Il^*^'".15>^a*--"JJWSsV, 'S' -^">?/''W ^ï*%\%-ïSs^^tf .^^^i:/t.M^\^^" 4^. —étS'Hi, 3 ^..\^>'?-•?!!;*''•>*:-v»lu ' *^^..i*'<^-^^^'^'^'^^^''''^^'^^^^ifiÈ^'-''*^*^^'^^lAftPH#W^""ê^ *J>5«r"%.-Sf^^,'\|l—Année.Troisième 1907.ARCHIVESMONASTIQUELA FRANCEDEMABILLONREVUE-«^O^y»-p^T^^MOf,no^i"^^5—*-*CLj?**?Sî..a*-^PARISLIGUGEVEUVE POUSSIBLGUEABBAYE DE SAIiVT-MARTI> LIBRAIRIERUE CASSETTE, 15CHEVETOGNE (PAR LEI6N0N, BELGIQUE) 15,1908A,ri^ o';-LES A.NCIE.NSDU DROIT D'ODIAT DANSMONASTKKKS FRANÇAISdes prieures,la plupart des abbavcs etAu WII" clau WIII" siècle,soumisroi leur nomination, étaientdont les titulaires recevaient dule droit d'ohlat.à une taxe spéciale, que l'on nommait généralementdes Invalides, dèsLa somme ainsi recueillie fut attribuée à l'Hôtelmonas-Antérieurement à cette date, cesle temps de sa fondation.néces-sa vie durant, et pourvoir de tout letères devaient recevoir,blessures reçues à la guerre,saire un ollicier ou un soldat, que desservice du roi, mettaient dansou des inlirmités contractées auvétérans incom-vie. Le soin de cesl'impossibilité de gagner sacatégorie de maisonsbait au souverain, qui s'en décbargeait sur uneancien. Les ordonnancesreligieuses. Ce droit de la couronne étaitqui en réglemententdeCbarles I.\ (i568) et de Henri IH (1578),donc ...
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