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Français
Poids de l'ouvrage
14 Mo
2'Édition
La Glaneuse
Pièce Lyrique en trois Actes
Poème de
BERNÈDE etPaul deCHOUDENSArthur
Mnsiq^ue de
FélixFouRDRAiN
Chant PianoPartition et
Paris.CHOUDENS. Editeur.
Boulevard 30.30. des Capucines,
Tbusii'Bitaif'exécviignpuà/ioljeJerefirûliucùiineté'âPPjngementsrés'ertféapauntiius/iâ/s
'âyCornons Suéde, /âfl/o/'i'è^e
et/eûanemgi'/lUS A. Copyright by Choudens.1309.
Imp Hplifiot.
I'^''i\/^LA (jLANEU5E
PIÈCE LYRIQUE EN TROIS ACTES
Représentée pour la première fois sur la scène au SeGranâ.Théâtre Cvc»/
Le Février26 1909.
, tJ^\x^
=)
Direction de MM. FLON et LANDOUZY
Chef d'Orchestre : M. PH. FLON
.: KOVf
,
"JAr.î^.... .i
^
DISTRIBUTION
Pierre Ténor M---^ GEYRE
BarytonDidier AUBER
Muller Basse chantante COTREUIL
/\awSoprano drauintiqne on Mezzo M"' M. CLAESSENS '/La Glaneuse
Soprano M"^ SABRANSuzel
2°" — Tarlet fB.uyton ou Ténor) M. GARASSU.Leclerc ( Ténorj M. MALLET.
— Marchand de Bonneterie (Ténor) M. ÉCHENNE.Robin (BaryUni ou Baiie) M. VAN-LAER. Un
La Mère Catherine (Mezzoj M»^ RAMBAUD.
La Mère François (Mezzo) M°" GERVAI..
Marthe 1 Sop'-ano, M"' —ROLLAN. Louise (Sopranoj M"' DEL'HOMME.
Berthe {Sopuuio) TALBERG.—M"' Pauline (Soprano) M'" OLDY.
Bûcherons. Tireurs àCommères, Paysans, lare. Enfants, Procession. Vosgiens et Vosgiennes.
L 'action se /i.isst- de nos jours en pleines Vosges.
ALMANZ Décors de M. M. BESQL'ETMise en scène de M. F.
réglé SOVERDivertissement par M. de TONDEUR.
Chefs des Chœurs : Chefs du Chant :
MM. GINIÈS et PAUL FLONMM. JOURDOY et PIRON
.VC. 13.871.INDEX
—ACTE I. La Ferme de Millier.
Pages
Scène i. < Monjils aime ta Jille » Didier et Muller 2
— « Suzel et Pierre, tous deux s'aiment »... Muller 13ri.
— « Suzel et Mullei- 14III. Père....' »
— « » Suzel 21IV. Pour plaire à mon ami
— V. * Bonjour Suzel * Mat the, Louise, Berthe, Pauline, la mère
Catherine, lamère François etd'autrescommères . . 25
— VI. « Ah ! méchantes commères > Pierre et les mêmes 40
— vu. « Ne pleure plus » et Suzel 45
— VIII. « Pauvre chère maman » Suzel 56
— « » La Glaneuse et Suzel 57IX. Ici Fon sera peut-être
— < * Muller,Tarlet,Leclerc,Robin etd'autres paysans 78X. Allons, vous autres
— * mêmes, moins la Glaneuse 92XI. « Oui, c'est cela, file ! Les
— Pauline, mère François, femmes et paysans . 97XII. « Peut-on se mettre à Pabri » la
— La Place du Village.ACTE II.
112Prélude
117Horiala » Les BûcheronsScène i. « Itoriala,
130— > ....'.. Vosgiens et Vosgiennes« Gais enfants de VarnevilleII.
135Marchands de Bonneterie et les mêmes . . .* Eh ! les belles »III.
140—Divertissement. A. Danse Montagnarde
146— —B. Valse Vosgienne
149—C. Final
» Glaneuse 1^4* Quelle est cette femme Suzel, Pierre, la
1G4
« La pauvre » Pierre et Suzelfemme
168
« » Muller .seulPauvres enfants
l'I
•»
<. Muller et DidierEh bien,
181> mêmesPierre, Suzel et les* Père, qu'y a-t-il f
185« * Pierre et DidierQu'a-t-il dit
François, Berthe, Louise, Tarlet, Le-* La MèreX Regardez cettefemme
et Commères 198clerc. Paysans
et les mêmes 203* . . Pierre, la Glaneuse* premier qui touche à cettefe7nmeLe
— F'i' pleine Moniague.ACTE III.
207
•••••Prélude
209et la Glaneusepuis la ProcessionBergers dans la coulisse,Scène i. Appel des
seule ^-^'La Glaneuse— PèlerinageII. « Cest la
GlaneusePierre et la— parlez déjà >IIL * Quoi ! vous ^^7
DidierLes mêmes et ^44— doncf*IV. * Pierre, ju'est.ce
''4bGlaneuse
. Didier et la»Vous savez bien
258Procession, SuzelLes mêmes, La
* A/iserere Nostri >
2<.-Glaneuse, Suzel et les mêmesDidier, Pierre, la>. /ai pardonnéReste,
A. C. 13.871.LA GLANEUSE
."PIÈCE LYRIQUE EN ACTES
P.ÙMn.-
(IlArthur Bernède
FÉLIX FOURDRAIN
a Paul •*- Choudens
ACTE I
Ferme deLa Muller
(ji-diiili' hiiifjiiiasiinl afjfiti'ioir un rasir ihaiiip ilr file i/iii iiiNril sur le versant fie laAil l'iiiiil iiiir iiiuiilann
(l.a si'Viie SI' |)»ssi' ili- nos jours en (ilcincï. Vusf^ps)
IMiKLl l)K
Lent ol IV'Saiif J =50
l.c-i iloiililes cr'oclu's ti'i's accciidit'cs
#==6*
ï. bîm
tHll|'[l^;^S 190S Tou. iroil. JVitition. «J-.ieculionl'.S.^.CiviipM by |jaH;.iut. de trxiuUioii
Pnris, CHOI'DENS. Editeur jcn-plif 11 Si,rd,,I. Nnr.r^eMlf llsDtiilrk,
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Plus vif
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ni.Plus vif
-^n ^Z=^±h^-M_ ^.', ,=g= ^
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Très soutenu
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;t-g-^-^e-^ iprSE^ p^Ff^=ïp-'.
l'ourmoi la vie a été ru . de, L'arfienltrnppé.
Très soutenu J^KO décidéTrès
r ^f fi
rTl(riineinent)friideinent
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Eès
. nlble à fjHgiier. Fdiif a.iiiasseï- tdutce que ai,
j
j:Ui. r^ïï^'l' i -v-^"h
r^-f ^ ^
nuit et jour Mirlcs liitiites mon . fa . fines, af . fron.
'K=^=^ ^^M^iÉ
I I I=1^ W"^'^^ ^'Hmi
In jjeii retenuTempoa
Très décidé
élargUsaulDIDIER Kn
^" ^ 4^=^=?= ^^^
'•>'i. P fTT^^
brebis(li'iit bien à moi., C'est ma for .
=t=^ ^^^54: -r2-^
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^=^ -t*^^r S
IUOU\'Menu'
.Ifii (Ion . neIR'! la moi.-fil . .
iiiouv'Même
^5^ïd^^ •7 •? -^^^n^fhm
hien_jielar/ie'f~
•?•; -fevf fN'Hi^^^^^ :?
Il a Tempo
*)
[ « r'? i
•?X
^' -^-^•S ^n l^ l' l îî^
no.tii' à miiiifils. lejour de ses .
Teuip«
rail. peuIn rai
^:
-jg— s»/— ^^ -^— Eg hUtt i^t4'^i^M= [^^i^^ ^^$ ^^
»l/'Sour.liii^
«5= frz^i ta !
iï=5z
ftt ^^mM|^i"j;v.j5
sans riuneup
5ÎE.I.S 'cn^^crn?^
Et toi
quedoimes.
a Tempo
LourdeiiU'nl^ ifcpm •; •?' '^ 3^ TTT^' ^^ji S
-'^-h =ic=55;
'^»r J-. -iS ^ *^ ^^1 ; ^
^^
0»---.t3. 5^ g^^ ' i^r^^f
-tu a ton enfant'!'.
Tempoa
j^ Y'^Même mouvj
ni MlI.l.LR ^-.HiU-iiipUnt son tliamp du bk)
"^=^j-3i— T
jiiMi 11l n n u
hieii en dehors—
Mii.i.cn 1 T^
I —rrit. Tt'irpoa
ffièrciiifiit)
rrPmh r F Mr if-/j\
-te, C est la dot (it' ma Su zol.
Teiiiuu., a
><,rli-iit cl.-\.iiil MKiUnir.ni, |,-t(ih In :ifi,TÇ(iil par la baie ({i- nirl,.- .,u\L-r-U,l
Cède/, un peu,
'•\ rexienl, tiiiant a ta main quelque? ipi?.)
d'-^
^m^Vtbfaux et lourds.
Lourdemeut
i
'^ -4i-i' .-j^ m^ .
Lourdi
lO
Jî SL —-^ s-m
.iji'S, la terre est dure a travail . Icr
>J~-J ^r JW^ff^f f^l
/
r=?: 1m-•Vf
l'lii> vile
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.111Ml l.l.tUi.i.un .^ '
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Elle est Sdiivent te...in . gra .
Kn animant
l'IUb vite
-Y-^^ ii^,jm'j^n)jmZLT^
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• ^ • kt=k''p!qJi it^ \^»j>=^f ^^;t*^r^»^^>ii— ^ ;^f p?-^=V— ^>f f-v-^
fe^S^ qj'Trxf
Large et pesant
'''"<'\n\DIDIER
^Ff f^W^ ^^ >-l f rf'pr'Aft"»
Je le sais! Etqiiand lesgerbesserontdansla
J=67Large et pesant
court
^T ^^fa '^pgj i:# ' F
•7 mg ê
i^ ^^
f>^»^
=^=g= PV l^i> l' i ^^ i-J!j4
7
/
(iiver di-ci'iio
êDi. ^E^r i; T) rp pm^ ^P^
gran les en . fants se marieront.
/rès ruhtm
s3f»ombre)12
lenteurCalme et sansirm
liii sufil
SCKNt II (Muller.seiil.ptnsant au\ dernières paroles de Didier)—^
13
MLLl.EK (hliriiiunt;
Cédez peuim
^-^^^ &m> r D r
Vwr . r>- tousdi'ux s'ai mi'nt.
a Tempo
Cédez un peu
- 4^fe^ y V^ ^^S
^ T
S^
^ (lin peu ruilc)
11 I—
1 —
M.. r-^^^^^fi^^-/ ^- p"mi>c T ji D' I gp p p D rr
Pourquoi vouloir re.tarder leur bon. heur?_ Ah! Vrai.
1 rn—aiI ^'
1^pr TTrc c.4^-p-'W p^pp p^
f
.ment, Didier pas ('«iiiH Moi, jauraiscoiisent! tout den'a de
t^
xfZ
cxpresnij
'
^^^ |.
f-i"!' radoucissant)
SCENE III
(avec élan)
01] SL'ZEL (entrant luir U, -nnclif15
ftré» drri.lrl
ML LLLIl (loiiiliuieiit en, chassant toute arrière pensée.)
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t^xu- f -, ]^ -,hx r ^ g g