Mentales Réflexions , livre ebook

Table des matières Philosophie La Préciosité de la Vie et du Temps Différences, Discriminations et Égalité Croire, Douter, Savoir Dieu et les Humains Le Pouvoir de l’Humain sur le Monde Ascension Extra-Sociale Chemin Échec Acceptation Humour Trahison Menteur Sexe Considération Vécu Argent Notre Société Le Sport Amour Souffrance Existence Vie et Mort Intelligence Force, Principes et Valeurs : État d’Esprit, Bon ou Mal Esprit Guerrier Guerre Humain Bonheur Solitaire et Malheur Solidaire Tout et Rien, Pourquoi Pas ? Les Deux Oxymores : Le Monde et l’Humain

Aukao
 
 
 
 
Réflexions Mentales
Le Sens d’Être

FABRIQUÉ EN FRANCE
ISBN : 978-2-38124-061-9
© février 2023, YOUSTORY
 
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Dans cet écrit, j’aborde de nombreux concepts étroitement liés sous divers angles, le plus souvent de façon objectif. Des notions complexes qui trottent dans la tête et méritent d’être exploitées un minimum. Il y aurait tellement plus à dire, mais tout ne vient pas à qui veut quand il veut. Dure de faire et d’être simple en étant complet…
Mal expliquées ou mal comprises, les choses peuvent donner lieu à des divergences d’opinions qui mènent à des conflits qui mènent à la perte.
Je ne passerais pas par quatre chemins, je prendrai seulement le plus concret, le plus simple et le plus direct. Je vais aller droit au but, sans trop faire attention à tout ce qu'il y a autour, en essayant d’être précis et droit. Entre traitement des idées personnels et objectivation, je ne dirais peut-être pas la vérité, mais je dirais les possibles. Le savoir est aussi ambivalent, indécis et relatif que l’être humain et que le monde dans lequel nous vivons. Le savoir est une certitude qui nous échappe bien plus qu’on le pense. Il y a toujours des choses qui n'ont pas été dites, et même des choses jamais pensées. Tellement d'opportunités, de chemins à parcourir. Il y a tellement à voir, à apprendre, à connaître. La réflexion humaine est un pouvoir aux limites probablement inexistantes. La réflexion est une chance qui nous a été donnée, à nous de choisir si on veut l'utiliser ou la délaisser. L'un complexifie le monde, l'autre le simplifie. Nous donner une chance, c'est nous donner le choix.

Philosophie
 
Réfléchir, juger ou croire, et pourquoi pas faire les trois ? Être tout, tout faire, tout voir, tout entendre, tout sentir et tout connaître, voilà peut-être le comble du pouvoir. Tout. Mais un peu est déjà peut-être assez… assez pouvoir…
 
La philosophie est un domaine si ouvert, intéressant, complexe et accessible que tout humain, dès l'enfance, l'a déjà expérimentée. Des questions, des mystères, des inconnus à explorer, de par d'innombrables sujets plus ou moins importants. Dès que nous acquerrons la capacité intellectuelle de penser consciemment, nous philosophons. Philosopher est un principe de vie, par l'introversion et l'extroversion, et les plus aguerris dans ce domaine s'amènent à une ouverture d'esprit plus claire et lucide. Les humains, tout philosophe qu'ils sont, s'interrogent et cherche parfois des réponses à leurs questions, parfois un sens à la vie, au monde, aux phénomènes. La philosophie peut rentrer en détail dans ses sujets et se complexifier tout comme elle peut rester superficielle et simple mais tout aussi vrai pour autant. Rester simple et superficiel peut parfois être un bon moyen de résoudre des problèmes trop complexes. Il y aura probablement des défauts dans la solution, celle-ci ne sera pas parfaite, mais suffisante pour ce que l'on cherche. "Pourquoi faire dur si l'on peut faire simple", ne dit-on pas ? La philosophie c'est à la fois étudier le subjectif et objectiver le subjectif. C’est donner sens à l’abstrait et aller au comble de l'imagination, de la réflexion et de la compréhension du monde et de l'humain, de la nature et des comportements, de l'univers et la terre à la personnalité et au psychologique. Philosopher c'est rationnaliser et chercher des réponses à des questions souvent complexes, parfois effrayantes. Trouver un sens à une existence de tout ce qui est et de tout ce qui n'est pas, tout ce qui est possible, et tout ce dont il est impossible. Aussi paradoxale qu'équivoque, la philosophie amène l'élévation de la pensée en se basant sur toutes les croyances et toutes les connaissances réunies.
Même les personnes les plus objectifs ont leurs propres avis personnels. Le bien et la justice par exemple sont humainement subjectifs, la réalité ne reconnaît probablement pas l'existence de concepts humains. Le monde est neutre. Il se contente d'être.
 
J'aime chercher le plus de solutions possibles à un problème. J'aime emprunter tous les chemins et découvrir toutes les destinations. Bien que cela reste difficile, j'essaye de faire au mieux et au plus. Ce qui se trouve dans notre tête ne peut qu'aller mieux avec l'acquisition de plus d'expériences, de plus de découvertes, de connaissances, de lectures, de réflexions, d'idées, de pensées, d'avis, et toutes choses qui ne nous passent pas forcément par la tête au moment où nous les décrivons ou juste les citons. Nous pouvons globaliser et entrer dans les détails, il est dur d'être entièrement objectif, complet et juste. La sagesse est donnée à tous mais est utilisée par peu. Pourtant, elle est essentielle à l'amélioration des mentalités qui ont évolué, mais probablement illusoirement. De toute façon, s'ils ne sont pas radicaux, les changements sont souvent superficiels. On croit, on a l'impression que les choses ont changés, mais elles ont seulement changé de forme. Le fond reste souvent similaire. La forme peut rendre la chose plus positif, ou plus négatif selon comment on la considère, selon notre point de vue. La philosophie aborde diverses manières de voir les choses. On cherche alors à embellir notre acuité mentale, notre vision des choses par l'apprentissage, la réflexion et la découverte d'un maximum de choses. Enrichissement jusqu’à perfection qui équivaut à l’omnipotence, l’infini.
 
Nous n'avons pas besoin de tout connaître. Peut-être n'avons-nous pas besoin de connaître tout ce que nous ne savons pas actuellement ? Nous vivions bien avant de savoir ce que l'on ne savait pas avant, peut-être qu'acquérir de nouveaux savoirs nous fait grandir et avancer, mais en avons-nous réellement besoin ? Ne pouvons-nous pas rester petit, enfant, juste... simple ? La simplicité n'est pas un défaut, mais est-elle une qualité ? Doit-on aller plus loin et complexifier les choses ? Doit-on se prendre la tête, se faire mal, souffrir pour devenir grand et fort ? Être simple en étant bon ne suffit-il pas ?
 
La Préciosité de la Vie et du Temps
 
La vie est courte et le temps passe vite. C'est ce qui fait que ces deux-là soient si précieux. Ils ne sont pas rares puisqu'ils sont là, puisqu'on les vit, mais ils ont une valeur infini, sans aucun prix. Doit-on conserver notre temps, notre vie, ou même tout ce que nous possédons et qui nous est précieux, afin d'en profiter et de s'en repaître, ou doit-on donner tout cela ? Donner pour faire profiter à d'autres. Donner pour une cause noble.
Donner, c'est se sacrifier ou sacrifier quelque chose. Faut-il se sacrifier ? Faut-il être altruiste, trop gentil et donner, ou faut-il être égoïste et profiter pleinement de son temps, de sa vie, et de tout ce que nous possédons et qui nous procure satisfaction et bonheur ? Donner peut nous satisfaire et nous rendre heureux. Un bonheur différent de la possession. Un bonheur altruiste, différent du bonheur égoïste. Un bonheur grand et noble, différent du bonheur individuel et puéril.
Prends ton temps mais prends de l'avance. Ça prendra du temps, mais au moins tu ne le perdras pas. Quand j'aurais gagné assez de temps pour pouvoir en perdre, j'en donnerais le plus possible au bonheur de ce monde. Je ferais en sorte que mon temps soit plus utile aux autres qu'à moi. Je ferais l'égoïste, mais par bonté. Tout ce que je ferais personnellement aux airs avares et désintéressé sera pour gagner du profit que je laisserais derrière moi et non à moi. Ce que je fais pour moi, ce que j'ai pour moi, je le laisserais à ce monde.
 
Les choses les plus précieuses et les plus nobles que nous avons à donner, ce sont le bonheur et les émotions positives, et notre temps, celui-ci correspondant au degré de vie que nous accordons à la personne ou à la chose à qui nous le donnons. Notre bonheur est-il plus important que celui de la personne en question ? Quelle quantité de notre temps sommes-nous prêts à sacrifier pour la personne en question ? Notre vie et ce qui la compose sont-ils plus important que ceux de la personne en question ? Certains vivent pour d’autres comme d’autres vivent pour une passion. Nous délivrons notre existence à ce que l’on aime le plus. Une personne, une passion… On divise notre vie en départageant notre temps avec telle ou telle personne ou passion. On en met un peu là, un peu ici, un peu ailleurs. Des contre-temps viennent gâcher notre plaisir en nous contraignant à des devoirs que nous ne voudrions pas faire, et une partie du temps que nous aurions mis ailleurs, pour des plaisirs personnelles, nous l’accordons à ces contre-temps contraignants. Certains ont fait de leurs devoirs des plaisirs et ces devoirs ne deviennent plus des contre-temps. Le don de temps est volontaire, véritable et profond. Certains ont par chance eu cette concordance entre leurs devoirs et leurs passions de façon inné, par principe et valeur éducative sûrement… Quand tu fais des choses que tu n'as pas envie de faire, tu perds ton temps. Quand tu utilises ton temps pour travailler ou obtenir gloire ou fortune, tu échanges ton temps. Quand tu fais des choses que tu aimes ou que tu passes des moments avec les personnes que tu aimes, tu savoures ton temps. Plus le temps passe, plus je dé