La communication solutionnelle , livre ebook

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Comment rendre notre communication plus harmonieuse dans nos relations personnelles et professionnelles ?C’est ce que propose Arnaud Bochurberg grâce à ce guide pratique, optant au sein de la communication pour le choix de la solution plutôt que le ressassement du problème, qui génère le plus souvent les foudres du jugement ou de la culpabilité.Sa méthode permet d’acquérir plus d’efficacité dans sa communication avec les autres et opère une véritable révolution dans notre manière de communiquer, au profit d’une nouvelle relation gratifiante, nourrie de respect mutuel. C’est le premier ouvrage consacré à la communication solutionnelle® qui révolutionne notre façon de communiquer avec une méthode simple et didactique. Très pratique, enrichi d’exemples, ce livre propose un ensemble de situations qui vous aideront à parvenir à une communication interpersonnelle efficace.
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Date de parution

19 mai 2021

Nombre de lectures

436

EAN13

9782364291751

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

1 Mo

Couverture
Titre


Arnaud Bochurberg
La communication solutionnelle®

Une méthode originale et simple pour des relations harmonieuses
Table des matières Couverture Titre Dédicace Exergue Sommaire Remerciements En guise d’introduction LES EFFETS DE LA COMMUNICATION ORIENTÉE SUR LE PROBLÈME L’analyse transactionnelle Les jeux psychologiques Les positions de vie LES TECHNIQUES DE COMMUNICATION SOLUTIONNELLE Les principes de base de la communication solutionnelle Adapter les techniques en fonction de la situation Des techniques pratiques à prendre en compte DES CAS PRATIQUES POUR COMPRENDRE ET SURTOUT S’EXERCER Cas n° 1 : Faire ses comptes en couple Cas n° 2 : Des désaccords sur l’intérieur de la maison Cas n° 3 : Faire la cuisine ensemble Cas n° 4 : Faire les courses ensemble Cas n° 5 : Faire du sport ensemble Cas n° 6 : Choisir un film Cas n° 7 : Se tromper d’itinéraire Cas n° 8 : Accepter l’addiction de l’autre Cas n° 9 : Choisir la musique en voiture Cas n° 10 : Du sexe… toujours du sexe Cas n° 11 : Le ronflement Cas n° 12 : Le partage des tâches Cas n° 13 : Les réceptions Cas n° 14 : Les retards Cas n° 15 : La jalousie Cas n° 16 : La belle-famille Cas n° 17 : L’éducation des enfants Cas n° 18 : Vos amies Cas n° 19 : Le désordre Cas n° 20 : Les ex Cas n° 21 : Les réseaux sociaux Cas n° 22 : Rapport remis en retard Cas n° 23 : Mon collègue a un problème Cas n° 24 : La chambre de mon fils est en désordre Cas n° 25 : Des exemples de reformulations… Conclusion Références bibliographiques Du même auteur Présentation de l'auteur Les éditions Le Souffle d'Or Mentions légales
Points de repère Couverture
Dédicace







À ma femme, Dorothée, qui a partagé ce voyage initiatique dans les coulisses de la communication solutionnelle ® et qui a contribué à la construction de la méthode
Exergue






« Le bonheur, c’est de continuer à désirer ce qu’on possède. » Saint Augustin
Sommaire
Remerciements
En guise d’introduction
Les effets de la communication orientée sur le problème
L’analyse transactionnelle
Les jeux psychologiques
Les positions de vie
Les techniques de communication solutionnelle
Les principes de base de la communication solutionnelle
Adapter les techniques en fonction de la situation
Des techniques pratiques à prendre en compte
Des cas pratiques pour comprendre et surtout s’exercer
Cas n° 1 : Faire ses comptes en couple
Cas n° 2 : Des désaccords sur l’intérieur de la maison
Cas n° 3 : Faire la cuisine ensemble
Cas n° 4 : Faire les courses ensemble
Cas n° 5 : Faire du sport ensemble
Cas n° 6 : Choisir un film
Cas n° 7 : Se tromper d’itinéraire
Cas n° 8 : Accepter l’addiction de l’autre
Cas n° 9 : Choisir la musique en voiture
Cas n° 10 : Du sexe… toujours du sexe
Cas n° 11 : Le ronflement
Cas n° 12 : Le partage des tâches
Cas n° 13 : Les réceptions
Cas n° 14 : Les retards
Cas n° 15 : La jalousie
Cas n° 16 : La belle-famille
Cas n° 17 : L’éducation des enfants
Cas n° 18 : Vos amies
Cas n° 19 : Le désordre
Cas n° 20 : Les ex
Cas n° 21 : Les réseaux sociaux
Cas n° 22 : Rapport remis en retard
Cas n° 23 : Mon collègue a un problème
Cas n° 24 : La chambre de mon fils est en désordre
Cas n° 25 : Des exemples de reformulations…
Conclusion
Références b ibliographiques
Du même auteur
Remerciements
Ce livre est l’aboutissement de plusieurs années de recherches consacrées à la communication solutionnelle®. Je voudrais ici remercier collectivement ou nommément certaines des personnes qui m’ont guidé et accompagné sur ce chemin.
Je pense d’abord à tous mes étudiants de l’Université Gustave Eiffel qui m’ont apporté leur réaction, leur esprit critique, leur soutien, je veux dire ici mes plus sincères remerciements.
Merci aussi à Katia Ghouzi et Jérémie Askinazi pour les échanges constructifs et pour leurs encouragements à écrire ce livre.
Je ne peux taire plus longtemps la gratitude particulière que j’ai vis-à-vis de mon père Claude Bochurberg, qui m’a aidé, accompagné et encouragé dans cette belle aventure.
Enfin, je tiens à remercier ma femme Dorothée pour son écoute active et ses apports et à qui ce livre est dédié.
En guise d’introduction
Assis à la terrasse d’un café parisien, j’entends et vois une femme très remontée contre l’homme qui se trouve à ses côtés. Les mots sont violents : « tu ne comprends rien – tu es nul – tu es égoïste – tu ne fais jamais d’effort – tu ne penses qu’à toi – tu aurais pu te tenir face à ma famille – je t’interdis de parler comme cela de ma mère – la prochaine fois , tu as intérêt à te comporter autrement sinon… »

Visiblement, la communication de cette femme n’est orientée que sur le problème. Elle fait la liste de ce qui ne va pas, lui fait le décompte de toutes les fautes qu’il a commises, elle lui dit ce qu’il aurait dû faire et le condamne tout en le menaçant.
J’ai envie d’intervenir et d’aider ce couple à s’en sortir car leur émotion est palpable et pourtant, en filigrane, je ressens leur volonté de parer à cette situation. J’ai envie de leur dire que ce n’est pas l’autre qui pose problème mais bien la relation qui s’appuie sur une communication orientée sur le problème. Et si on communiquait autrement ? Si on laissait de côté nos schémas qui consistent à sanctionner systématiquement ce qui ne va pas ou à culpabiliser l’autre pour obtenir de lui un changement de comportement ? N’est-il pas temps de communiquer sur la solution plutôt que sur le problème ? Cela paraît si simple et pourtant cela nécessite de modifier « notre logiciel », modifier notre « boîte noire », c’est-à-dire, les paramètres qui nous ont construits.
D’un point de vue psychanalytique tout d’abord, quelle est la nature du lien que l’on peut établir spontanément chez le sujet entre l’exposé de son « problème » et notre propension à le juger, voire à projeter sur lui toute une charge de culpabilité ?
Comment cerner au plus près ce lien en question où autrui, en proie à son « problème », n’échappe guère à notre sentence ?
N’est-ce pas ce dont témoigne généralement notre manière d’être face à autrui, où il se trouve « entendu » au prisme des seules limites de notre propre conscience, sans lui laisser la possibilité d’être infiniment autre ?
N’est-ce pas là le fondement de la communication la plus courante, où prime notre tendance à la précipitation, à la réduction et au jugement à l’emporte-pièce ?
Et ce, comme l’observe Freud, en raison de l’intériorisation de la puissance de nos forces interdictrices et de nos commandements (surmoi), provenant de notre « imago parental ».
En prendre connaissance est utile s’agissant de la communication solutionnelle®. C’est en effet en desserrant quelque peu la chape de notre censure sociale intériorisée que l’on peut faire montre d’une propension créative à comprendre l’autre. Comme le déclare le poète Arthur Rimbaud : « Je est un autre », le sujet est multiple et en perpétuel changement. Il n’est pas figé, mais au contraire bien vivant, balloté entre le pire et le meilleur dans sa persévérance à être.
Autrui est donc bien plus que ce que je vois ou entends de lui. C’est ce que nous devons garder à l’esprit dans le cadre de la communication solutionnelle®.
Ainsi, l’éducation, qu’elle soit religieuse, parentale ou scolaire constitue le socle des interdictions génératrices d’une véritable culture de la faute.
L’éducation religieuse pose comme principe que le péché est un acte de désobéissance ou d’insoumission car elle exige d’obéir à un Dieu . Le péché est considéré comme un comportement déviant, qui outrepasse les interdictions, générant ainsi un sentiment de culpabilité. Quand on commet une faute, une erreur, notre conscience en est troublée. Il y a une discordance

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