La nuit tombe, Le jour se lève, La vie reprend son cours et toujours aucune nouvelle de toi. Le temps passe et les souvenirs reviennent à la vie, Et plus sa dure, plus la douleur prend de l’ampleur. Si tu voulais, J’aurais pu te laisser partir, J’aurais aimé ne pas t’aimer, J’aurais pu te donner ma vie, J’aurais tout fait pour toi et tu le savais, mais tu en as décidé autrement. Je ne t’en veux pas, car je sais ce que tu vivais et tu n’avais plus aucune issue. Le vent frais me remémore ses moments passés enlacés dans tes bras, Et comme tous les soirs, Mes yeux se remplissent peu à peu, Mes souvenirs me pourchassent, Et mes regrets me condamnent. Je ne dors plus, Je ne rêve plus, Je ne pense plus.
Ta voix résonne encore et encore dans mon esprit, Les yeux fermés je revois ton sublime sourire, Tes souvenirs, tes joies, tes peines, tes folies, tes baiser, tes caresses et tes chansons ne sont plus que de vieux souvenirs dont je ne peux me détacher. Je comptes les jours, les heures, les minutes et même les secondes attendant désespérément un petit signe de vie de ta part, Mais c’est peine perdue. Je crois maintenant au coup de foudre, À l’amour fou et inconditionnel, Au prince charmant et au conte de fée. Car je l’ai vécu, Oui et avec toi.