L'écluse du canal de Panama , livre ebook

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Pendant la même nuit, des éclusiers du canal de Panama ont été assassinés et l’écluse sabotée, cependant que le riche Brésilien Miguel Macedo, dont le yacht Iracema était immobilisé dans le canal par l’avarie de l’écluse, disparaissait mystérieusement.


Les deux célèbres détectives Tom BROWNING et Césaire RABASCASSE, appelés par l’administration du canal, observent que les éclusiers ont été tués avec des couteaux en usage au Brésil.


Ils se rendent sur l’Iracema qui est dans le bassin de l’écluse et apprennent que M. Macedo est à bord. Malgré la réticence de ce dernier, ils entrent dans sa cabine et constatent qu’il est blessé à l’œil et au bras.


Ils l’interrogent sur ce qui lui est arrivé.


Il raconte une histoire d’accident d’automobile qui sent le mensonge à plein nez...

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EAN13

9791070036488

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

1 Mo

AVANT-PROPOS
Dans la littérature populaire française, il est des auteurs encore plus cultes que les plus cultes des auteurs populaires.
Ainsi, s'il est indéniable que Georges Simenon, Frédéric Dard, Léo Malet… sont parvenus à des sommets dans l'esprit des lecteurs, d'autres écrivains qui, parce qu'ils sont demeurés inconnus aux yeux du grand public actuel alors que leurs textes émerveillent encore l'esprit des lecteurs d'antan et de trop rares passionnés d'aujourd'hui, ont réussi à supplanter, dans la tête de ceux-ci, leurs célèbres pairs susnommés.
Car, là où certains ont atteint la postérité grâce à une édition systématique de leur production sous le format pérenne du roman « classique », d'autres ont échoué dans la quête d'« immortalité littéraire » malgré quelques livres gravés de leurs noms – Rodolphe Bringer, Gustave Gailhard, Jean-Toussaint Samat…, par exemple.
Mais, qu'en est-il des écrivains dont les textes n'ont jamais inondé les pages d'un « vrai » bouquin qui dure, qui se prête, se revend et s'échange ?
Un auteur, en particulier, connaît la réponse puisque son surnom de « écrivain sans livre » explique, à lui seul, pourquoi il demeure inconnu de la plupart des lecteurs de notre époque.
Pourtant, son immense production, les genres dans lesquels il a œuvré, les personnages qu'il a animés, écrasent toute concurrence.
Son nom : Joseph Théophile Maurice MOSELLI alias José MOSELLI .
José MOSELLI est né le 28 août 1882 à Paris et est mort le 21 juillet 1941 au Cannet.
Parlez de José MOSELLI à un passionné de littérature populaire et vous êtes assurés de voir ses yeux clignoter de plaisir. Évoquez-le devant un lecteur lambda et vous constaterez immédiatement que ce nom ne lui évoque rien.
L'auteur est devenu tellement « Culte » auprès des aficionados de littérature populaire, autant par son parcours que par sa production, que l'on peut encore croiser des lecteurs, dont les pères ou grands-pères leur contaient, enfants, leurs souvenirs de feuilletons désormais introuvables dont l'écrivain a abreuvé les journaux de l'époque.
Son parcours est celui d'un enfant de famille aisée qui, avide d'aventures, fugue à treize ans pour s'engager comme mousse sur un navire. Les années suivantes furent un gage de souvenirs d'évènements, de personnages et de lieux qui nourriront sa plume plus tard.
Brimé, maltraité, le gamin s'offre corps et âme à son boulot. Mais son esprit voyageur en fait un déserteur malgré lui. Alors, il continue à naviguer et à découvrir le monde avant de rentrer en France pour être traduit en « conseil de discipline ». Les juges furent cléments et organisèrent l'éducation du jeune homme qui devint Officier de la Marine marchande. Ses aventures se poursuivirent, mais, lassé, José MOSELLI chercha à se stabiliser en acceptant un poste de journaliste en charge de la rubrique « L'actualité maritime ».
En parallèle, il écrit des contes et des nouvelles et entrera en contact avec les Éditions Offenstadt pour lesquelles il produira un nombre incalculable de feuilletons pour divers journaux et magazines.
Parmi ces séries, on pourra citer l'une de ses premières si ce n'est la première : « W... vert » édité dans le magazine « L'Intrépide » de 1910. Mais, également : « John Strobbins, détective cambrioleur », « Les aventures fantastiques d'un jeune policier », « Le roi des boxeurs », « Le baron Stromboli », « Les champs d'or de l'Urubu », « Les naufrageurs de l'air », « La prison de glace », « Le Club des Trois », « M. Dupont, détective », « Iko Terouka », « La momie rouge », « Triplix l'insaisissable »… et des dizaines d'autres qui s'étalaient sur des centaines d'épisodes à travers des années et des années.
Parmi ces feuilletons, certains sont devenus « cultissimes » et plusieurs fois réédités et d'autres sont comme le Saint Graal, tout le monde en parle, tout le monde les cherche, mais personne n'a réussi à mettre la main dessus – du moins, plus grand monde de vivant.
Si, certains de ses feuilletons d'anticipation, comme « La fin d'Illa », « Le messager de la planète » ou « La guerre des océans » ont eu le privilège d'être réédités à la fin du siècle dernier, toute la partie « policière » de l'œuvre de José MOSELLI a lentement disparu avec ses supports papier vieux de plus de 80 ans.
Dans cette production particulière, si certains personnages ou certaines séries, comme « John Strobbins, détective cambrioleur » , évoquent quelque chose aux plus férus passionnés des textes de l'auteur, d'autres, comme « M. Dupont, détective » ou « Le Club des Trois », étaient même oubliés de ceux qui n'oublient pourtant pas.
Mais il existe deux séries policières qu'il était inenvisageable, jusqu'à ce qu' OXYMORON Éditions mette son nez dans la production de l'auteur, de pouvoir lire ou relire un jour ou l'autre.
La première se nomme de façon éponyme « Iko Terouka » (1) et conte les enquêtes d'un détective japonais à travers le monde.
La seconde est « Browning & C° » , une série diffusée dans le magazine « Le Cri-Cri » à partir d'octobre 1922, et ce jusqu'à février 1935.
Réunir l'intégralité de la série relevait donc de la « mission impossible ». Mais l'équipe d' OXYMORON Éditions, mue par une passion pour la littérature populaire sans commune mesure et une volonté de proposer aux lecteurs d'aujourd'hui, des textes introuvables d'hier, ne s'est pas avouée facilement vaincue. Notre volonté étant de faire revivre notre patrimoine culturel en général et celui de José MOSELLI, en particulier, – ce n'est pas pour rien que vous pouvez retrouver dans notre catalogue, du même auteur, « John Strobbins, détective cambrioleur », « M. Dupont, détective », « La momie rouge » – nous avons mené un combat perdu d'avance pour dégotter les textes de la série « Browning et C° ».
Mais comment parvenir à réunir plus de 600 numéros consécutifs d'un magazine qui date de près d'un siècle ?
Car, si la série est évoquée sur des sites ou des ouvrages consacrés à l'auteur, aucun renseignement ne précisait s'il s'agissait d'une seule et même histoire – ex. : « La momie rouge » – ou bien de plusieurs épisodes collés les uns aux autres sans délimitation précise – comme pour la série « M. Dupont, détective » , même si l'expérience du travail sur les différents textes de l'auteur laissait présager de la seconde hypothèse.
Pour en savoir plus, il fallait donc réussir à mettre la main, non pas sur le Saint Graal, mais sur plus de 600 Saint Graals.
Malgré toute notre passion, notre bonne volonté et notre patience, nous devons avouer qu'au bout de plusieurs mois de vaines recherches durant lesquelles nous nous étions procuré quelques dizaines de numéros consécutifs – juste assez pour faire naître l'espoir et, surtout, prendre conscience que la série était bel et bien composée d'épisodes non délimités qui se suivaient les uns les autres –, nous avions baissé les bras et envisagions d'abandonner notre quête, quand le hasard nous a permis de croiser la route d'un collectionneur passionné des magazines jeunesses des éditions Offenstadt ! Le même passionné qui nous avait déjà apporté son aide pour les aventures d' Iko Terouka.
Heureusement, les passionnés sont généreux et, grâce à cette personne, nous pûmes entrer en possession de l'intégralité des textes qui nous manquaient pour compléter les épisodes afin de pouvoir les proposer ensuite à nos lecteurs.
Pour terminer, il nous semble important de préciser que nous vous proposerons, tant que faire ce pourra, les épisodes dans l'ordre de première édition à quelques exceptions près.
Car, du fait de la disparité de tailles des épisodes, afin que le lecteur ne se retrouve pas surpris, d'un achat à l'autre, de ne pas avoir un même temps de lecture et ne se sente floué, nous avons décidé de regrouper les épisodes dans le but de former, comme pour les aventures de « John St

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