LES VOIES DE LA RÉUSSITE FINANCIÈRE , livre ebook

129

pages

Français

Ebooks

2024

Écrit par
ROBERT DELAMOU

Publié par
Éditions Les Plumes Inspirées

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Publié par

Éditions Les Plumes Inspirées

Date de parution

01 octobre 2024

Nombre de lectures

EAN13

9782386350207

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

2 Mo

Dans le monde actuel où le capitalisme règne en maitre absolu dans tous les domaines de la vie, l'accès à l'indépendance financière devient une nécessité absolue pour mieux vivre. Ainsi, sachant que l'accès à cette indépendance financière nécessite un certain nombre de préalables comme la mise en place de tout un dispositif de règles disciplinaires pouvant nous permettre d'atteindre l'objectif escompter, nous avons dans cette optique dresser dans ce livre quelques outils pouvant nous permettre d'accéder à cet objectif qui est celui d'être financièrement indépendant. En se fondant sur cette réalité de nos vies actuelles, nous avons ainsi défini quelques outils fondamentaux à s'approprier et mettre en œuvre afin d'atteindre son objectif. Ces outils sont à la fois physiques et psychologiques. Ainsi, les outils physiques (l'investissement en soi à travers les formations, la création d'un plan de travail et la créativité dans les actions) doivent impérativement se fonder sur les outils dites psychologiques (la pensée, la vision, la croyance en soi et la détermination). En adoptant cette méthodologie ou cette démarche, nous avons de forte chance d'atteindre l'indépendance financière.

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Éditions Les Plumes Inspirées

Date de parution

01 octobre 2024

EAN13

9782386350207

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

2 Mo

LES VOIES DE LA RÉUSSITE FINANCIÈRE

Roman

ROBERT DELAMOU

LES VOIES DE LA RÉUSSITE FINANCIÈRE

Les Editions Plumes Inspirées Tous droits réservés Siège social : Dixinn, Camayenne-Conakry, Rep. De Guinée E-mail : les1spirees@gmail.com Site web: www.lesplumesinspirees.com Tel: (224) 621997437 ISBN :978-2-38635-020-7

REMERCIEMENT ET DEDICACE

Je remercie le Tout-puissant Dieu, le Dieu de l’univers celui chez qui tout est possible à celui qui croit que c’est possible, de m’avoir donné tout le courage nécessaire de pouvoir réaliser mon premier rêve qui est celui d’immortaliser mon existence. Je tiens aussi à remercier mes parents (Ma mère adorable avec qui je passe plus de temps et mon défunt père) qui ont fait de mois ce que je suis et qui m’ont nourri avant tout de leur courage, leur détermination et de l’instruction basée sur le respect d’autrui et le désir de vivre pleinement chaque jour que Dieu nous donne sur terre. Je remercie tous ceux qui, de près ou de loin, m’ont soutenu moralement, financièrement et tout autre forme de soutien pour l’écriture de cet ouvrage, en particulier mes grands frères Moussa Delamou, Nyereke DELAMOU, Nyéréké Tokpa DELAMOU et mes sœurs Nowaî DELAMOU, Soua DELAMOU et Koulouba DELAMOU. Je remercie également ma chère épouse Nathalie LAMAH et mes deux filles Eugénie Robert DELAMOU et Charnelle Nowaî Robert DELAMOU pour leur soutien inconditionnel.

Je dédie cet ouvrage à mes parents, mes amis et particulièrement à mon défunt père, feu Cécé Congo 5

DELAMOU qui, à chaque jour que je passais avec lui, ne manquait jamais de me conseiller et m’avait toujours fait savoir « qu’ici est bien clair mais il y a des trous partout », chose que je n’avais jamais compris sauf après sa mort, lorsque j’ai commencé à prendre ma responsabilité en main. Je ne cesserai de le remercier.

AVANT PROPOS

Il y a 20 ans, en 2004, quand j’ai commencé les études, mes regards sur la vie me laissaient croire qu’après les études, devenir riche était la seule conséquence directe. J’apprécie ma pensée et encourage ceux qui ont nourri la même vision que j’avais à l’époque car cela a été une source de motivation pour moi de travailler très dur. Mais malheureusement, j’ai fini par comprendre que ce n’était pas évident. Concrètement, on n’étudie pas forcément pour devenir riche. En 2001, en France par exemple, selon L’APCE (l’Agence Pour la Création d’Entreprise) : 80% des chefs d’entreprises ne possédaient même pas le baccalauréat, Ce qui signifie que plusieurs diplômés d’Universités travail pour les gens qui n’ont pas de diplômes et cette logique est probablement réelle dans tous les quatre coins du monde et surtout le pire des cas peut-être en Afrique.

Pourquoi c’est le pire en Afrique ?

Je vais me servir ici de l’ouvrage du Camerounais Claudel NOUBISSIE,intitulé : « Le Jeune Entrepreneur africain » qui dit :

« Le système éducatif dans un pays est une organisation formelle du parcours scolaire, académique et professionnel de ses citoyens. Au Cameroun et dans la plupart des pays africains, ce système éducatif est tributaire de l’héritage colonial. À cette époque, ce sont les colons qui étaient les enseignants de nos ancêtres et de ce fait ils choisissaient ce que ces derniers devaient étudier à l’école. Cette éducation était donc systématiquement orientée vers des formations parfois totalement inutiles, ceci dans l’optique de perpétuer les intérêts de la puissance coloniale en présence. Les programmes scolaires étaient sélectionnés et rédigés afin de pérenniser ce système d’esclavage physique, mental, intellectuel et culturel. Nos parents devaient se contenter de réciter de façon mécanique ce que les colons avaient déjà concocté comme leçons pour eux. À aucun moment le contenu de ces leçons n’était remis en question, raison pour laquelle il existe des formations FONDAMENTALESqui n’ont pas été incluses dans nos programmes scolaires sciemment, afin d'éviter que les Africains acquièrent au sortir de l'école cet esprit de création de richesses, véritable moteur de développement d’un pays. »

Cette pratique a été transmise de générations en générations, et ce, même après le départ des colons. C’est pourquoi aujourd’hui encore à l’école, nous continuons d’étudier des leçons qui sont totalement inadaptées à

notre contexte social, territorial, économique et culturel. Lorsqu’un enfant africain apprend encore le latin (une langue morte) à l’école, il est clair que cet enseignement ne lui servira à rien en termes d’efficience chez nous !

Ces incohérences entrainent une scission de notre société en deux castes :

D’une part, les patrons qui décident de ce que nous devons étudier afin de nous pousser à tous devenir des salariés après l'école, qu'importe notre niveau (BAC + 5 ou 10).

Nous sommes donc consciencieusement canalisés pour rédiger un beau CV avec une belle photo au terme de notre formation.

D'autre part, les élèves et étudiants qui passent leur temps à réciter docilement ce qu'on a préparé pour eux et qui, à la fin de leur étude, se prennent pour des génies et des intellectuels alors qu'en réalité ils sont justes de valables répétiteurs et futurs chômeurs qualifiés !Conséquenceil : n'existe aucune école qui forme à devenir patron !

Il faudrait donc s’attaquer sans tarder au chantier de l’éducation pour professionnaliser l’enseignement et orienter les étudiants vers des formations techniques qui les préparent moins à une carrière salariale mais plus 9

pour des activités entrepreneuriales, notamment dans le domaine de l’auto-emploi qui constitue la voie du salut économique.

Nous devons changer de paradigme afin de pouvoir transformer le boom démographique que connaît le continent africain en un dividende démographique.

TRAVAILLONS ENSEMBLE PROVOQUER CE CHANGEMENT !

AFIN

Nous ne pouvons pas planter des oranges et nous attendre à récolter des mangues ! Si nous voulons changer les fruits d'un arbre, nous devons d'abord changer ses racines. Si nous voulons changer ce qui est visible, nous devons d'abord changer ce qui est invisible. Si nous souhaitons provoquer le changement qui s'impose en Afrique, il sera donc impératif de modifier nos racines mentales, comportementales, intellectuelles, sociales, culturelles, économiques, et ce changementINVISIBLEentraînera la récolteVISIBLE des réalisations positives qui nous permettrons de sortir notre continent de cette médiocrité collective dans laquelle il a été plongé depuis des siècles.

Toi qui as eu la chance aujourd’hui de lire ce livre, regarde bien à côté de toi, tu trouveras que si ce n’est pas toi-même, ça sera le premier de ta promotion qui travail certainement dans l’entreprise d’une personne qui n’as 10

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