375
pages
Français
Ebooks
2017
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Publié par
Date de parution
16 mai 2017
Nombre de lectures
45
EAN13
9782897675387
Langue
Français
Poids de l'ouvrage
1 Mo
Publié par
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16 mai 2017
Nombre de lectures
45
EAN13
9782897675387
Langue
Français
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Copyright © 2007 Patrick Taylor
Titre original anglais : An Irish Country Christmas
Copyright © 2016 Éditions AdA Inc. pour la traduction française
Cette publication est publiée en accord avec Tom Doherty Associates, LLC., New York, NY
Tous droits réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans le cas d’une critique littéraire.
Éditeur : François Doucet
Traduction : Lynda Leith
Révision linguistique : Nicolas Whiting
Correction d’épreuves : Nancy Coulombe, Féminin pluriel, Émilie Leroux
Conception de la couverture : Matthieu Fortin
Photo de la couverture : © Thinkstock
Cartes : Elizabeth Danforth
Mise en pages : Sébastien Michaud
ISBN papier 978-2-89767-536-3
ISBN PDF numérique 978-2-89767-537-0
ISBN ePub 978-2-89767-538-7
Première impression : 2016
Dépôt légal : 2016
Bibliothèque et Archives nationales du Québec
Bibliothèque et Archives Canada
Éditions AdA Inc.
1385, boul. Lionel-Boulet
Varennes (Québec) J3X 1P7, Canada
Téléphone : 450 929-0296
Télécopieur : 450 929-0220
www.ada-inc.com
info@ada-inc.com
Imprimé au Canada
Participation de la SODEC.
Nous reconnaissons l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremise du Fonds du livre du Canada (FLC) pour nos activités d’édition.
Gouvernement du Québec — Programme de crédit d’impôt pour l’édition de livres — Gestion SODEC.
Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque et Archives Canada
Taylor, Patrick, 1941-
[Irish country Christmas. Français]
Noël irlandais
(Campagne irlandaise ; 3)
Traduction de : An Irish country Christmas.
ISBN 978-2-89767-536-3
I. Leith, Lynda. II. Titre. III. Titre : Irish country Christmas. Français. IV. Collection : Taylor, Patrick, 1941- . Campagne irlandaise ; 3.
PS8589.A933I75914 2016 C813’.54 C2016-941714-X
PS9589.A933I75914 2016
Diffusion
Canada : Éditions AdA Inc.
France : D.G. Diffusion
Z.I. des Bogues
31750 Escalquens — France
Téléphone : 05.61.00.09.99
Suisse : Transat — 23.42.77.40
Belgique : D.G. Diffusion — 05.61.00.09.99
Conversion au format ePub par: www.laburbain.com
Notes de l’auteur
L es docteurs Taylor, Laverty et O’Reilly, de même que madame « Kinky » Kincaid et leurs amis et patients sont très heureux d’accueillir à nouveau les lecteurs qui connaissent déjà Ballybucklebo. Ils espèrent que vous aurez du plaisir à rencontrer les vieux amis et vous en faire de nouveaux, à visiter des endroits familiers et à en explorer de nouveaux. Vous avez vu la région en été et à l’automne. Cette fois, c’est l’hiver, Noël approche, et les oies engraissent.
Pour les lecteurs qui ne connaissent pas l’Irlande rurale de 1964, des explications de l’auteur pourraient être utiles. Voici donc quelques mots pour vous :
Je venais de terminer un roman, Pray for Us Sinners, la suite de Only Wounded , une série de nouvelles, tous les deux concernant les troubles dans l’Ulster entre 1969 et 1994. Simultanément, j’écrivais une rubrique humoristique dans Stiches : the Journal of Medical Humour, où le docteur Fingal Flahertie O’Reilly et les résidents de Ballybucklebo sont apparus pour la première fois en 1995. Mon éditeur chez Insomniac Press les a lues, et il a suggéré que les personnages pouvaient former les bases d’un roman. L’idée d’écrire quelque chose de plus léger que la lutte intestine était attrayante ; Le médecin irlandais a donc pris forme.
Une fois qu’il a été terminé, j’ai terminé Now and in the Hour of Our Death , la suite de Pray for Us Sinners , mais quand cela a été fait, j’ai découvert que j’aimais bien mieux la période avant les troubles de Ballybucklebo que la division causée par la lutte sectaire entre Belfast et County Tyrone. J’ai décidé de continuer à développer les activités du groupe de médecins avec Le village irlandais , et le présent tome est le troisième de la série.
En écrivant ces livres, j’ai utilisé quelques expressions de la langue irlandaise. C’est un langage riche et coloré, mais souvent incompréhensible pour quiconque vient d’ailleurs. J’ai utilisé avec parcimonie ce langage, qui n’est pas beaucoup employé par la majorité des citoyens de l’Irlande du Nord.
Le cadre est un village fictif dont le nom me vient d’un professeur de français du lycée. Enragé par mon incapacité à conjuguer des verbes irréguliers, il m’a crié : « Taylor, tu es assez stupide pour venir de Ballybucklebo. » Les personnes ayant un penchant pour l’étymologie pourraient désirer connaître la signification de ce mot. « Bally » (de l’irlandais « baile ») est une commune — un terme géographique médiéval englobant un petit village et les fermes environnantes. « Buachaill » signifie « garçon », et « bó » est une vache. Bailebuchaillbó ou Ballybucklebo ? La commune de la vache du garçon.
Depuis la publication des deux premiers romans, j’ai été stupéfait par le nombre de mes amis de l’Ulster qui insistent pour essayer de localiser Ballybucklebo comme un véritable village de North Down. Il est évident que le vieux passe-temps irlandais de chasser les rêves n’est pas encore mort.
Dans mes ouvrages plus sombres, je me suis efforcé de rendre le décor et les événements historiquement exacts. Les histoires de la série sur la campagne irlandaise prennent des libertés, et le temps et les lieux sont aussi faussés qu’ils le sont à Brigadoon.
Malheureusement, l’Ulster rural que j’ai dépeint a disparu. Les fermes et les villages ont toujours à peu près la même apparence, mais la simplicité de la vie rurale a été bannie par les Troubles et l’influence généralisée de la télévision, qui n’avait pas été vue en couleur dans l’Ulster avant 1967.
Le respect automatique témoigné aux personnes au sommet de la hiérarchie du village — le médecin, le professeur, le pasteur et le prêtre — est une chose du passé, mais les hommes comme O’Reilly étaient communs quand j’étais un très jeune médecin. Sur ce sujet, puis-je mettre fin une fois pour toutes à une question que mes lecteurs me posent fréquemment dans la chronique du Stitches ? Barry Laverty et Patrick Taylor ne sont pas une seule et même personne. Le docteur F. F. O’Reilly est le fruit de mon esprit inquiet, malgré les efforts de certains de mes amis d’Ulster expatriés de le voir comme un praticien respecté — quoique peu orthodoxe — de la médecine de cette époque.
Lady Macbeth doit réellement son existence à notre chat possédé par le démon, Minnie. Quant à Arthur Guinness, il doit la sienne à un labrador noir, aujourd’hui disparu depuis longtemps, mais qui avait une soif insatiable pour la bière blonde Foster’s. Tous les autres personnages sont de composition, tirés de mon imagination et de mes expériences de médecin de campagne.
Les jeunes médecins d’aujourd’hui ne reconnaîtraient pas les conditions dans lesquelles la médecine était pratiquée dans les années 1960, quand j’étais un médecin avec très peu d’expérience. Cinq ans plus tôt, le lien entre le Thalidomide et les malformations congénitales a été établi. En 1963, la première transplantation d’un rein provenant d’un cadavre a été réalisée à Leeds, et en 1965, la publicité sur les cigarettes a été bannie de la télévision britannique.
Ce n’est qu’en 1967 que le docteur Christiaan Barnard a fait une transplantation cardiaque à Louis Washkansky. Nous avons dû attendre jusqu’en 1978 pour le premier bébé conçu grâce à la fertilisation in vitro. Les tests de diagnostic étaient rudimentaires, autant en laboratoire que dans les services d’imagerie. Ce n’est qu’en 1979 que Godfrey Hounsfield a reçu le prix Nobel pour l’invention de la tomographie axiale informatisée, le tomodensitogramme. Dans les années 1980, la décennie qui a vu arriver l’identification du virus du SIDA, les lasers ont commencé à apparaître dans les salles d’opération. Selon les normes courantes, la pratique de la médecine moderne dans les années 1960 en était à ses balbutiements, et bien des choses dépendaient des compétences cliniques des docteurs O’Reilly de ce monde. Ils pratiquaient une médecine très différente sur des personnes réelles dont la vie et les sentiments étaient aussi importants que les maladies qui les affligeaient.
Le docteur O’Reilly m’a demandé de vous dire qu’il espère que vous aurez autant de plaisir à Ballybucklebo qu’il en a eu.
Patrick Taylor est actuellement en transition entre le Canada et l’Irlande.
2007
Remerciements
L e docteur Fingal Flahertie O’Reilly a fait sa première apparition en 1995. Son développement graduel a été gentiment supervisé par mon ami Simon Hally, éditeur de Stitches .
La croissance d’O’Reilly jusqu’à sa maturité a été soutenue par des personnes remarquables. D’abord, j’offre mes remerciements à Carolyn Bateman, qui me conseille pour tous mes manuscrits avant qu’ils soient soumis, les révise et les peaufine. Ensuite, je dis merci à Adrienne Weiss, qui était mon éditrice à Insomniac Press de Toronto et qui a publié cet ouvrage en premier en 2004 sous le titre The Apprenticeship of Doctor Laverty .
Je veux également remercier mes agentes, Susan Crawford (qui a représenté les deux premiers tomes de la série), de même que Rosie et Jessica Buckman d’Angleterre (qui s’occupent des droits à l’étranger).
Enfin, je remercie Natalia Aponte, alors rédactrice chez Tor/Forge Books, qui a accordé de la valeur à mes efforts et persuadé Tom Doherty, éditeur chez Forge Books, de partager sa confiance. Elle a toujours eu une foi indéfectible dans les habitants de Ballybucklebo. Aujourd’hui, à titre d’agente et de confidente, elle m’encourage continuellement quand ma foi faiblit.
Pendant l’écriture de Noël irlandais , j’ai été frappé d’anémie. Mon hématologiste et amie, la docteure Linda Vickars de Vancouver, ne s’est pas seulement occupée de ma santé ; elle a clairement expliqué les mystères des troubles sanguins à un vieux gynécologiste, et je l’en remercie.
À vous tous, O’Reilly, Laverty et moi