Soumis par les Forces Spéciales , livre ebook

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Stephen Lapointe
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Date de parution

01 décembre 2018

Nombre de lectures

14

EAN13

1230002998534

Langue

Français

Soumis par les Forces Spéciales
Stephen Lapointe
 Je ne suis pas là pour raconter les détails de cette guerre, la politique, l'argent, le pouvoir, tout ça ce n'est pas pour moi. J'suis un gars du terrain, j'fais partie des forces spéciales : je préfère le concret, ce qui touche directement à la vraie guerre qui se joue sur la terre ferme et pas dans des bureaux.
Ce soir, on a fait une belle prise. Une très belle prise. Sans tout vous raconter, ça s'est passé presque par hasard, on patrouillait avec les gars, on interrogeait les habitants des villes pour être au courant des derniers mouvements de l'ennemi, on s'arrêtait dans les marchés pour montrer qu'on était là et que les civils n'avaient rien à craindre.
Ça s'est passé très vite finalement, on parlait avec un marchand quand on a entendu le moteur d'une voiture qui n'était pas des nôtres.
Direct, on s'est cachés, prêts à répliquer en cas d'éventuel combat. L'ennemi était devant nous, insouciant ; ils étaient deux gars, deux p'tits soldats, des jeunes recrues qui devaient se demander pourquoi diable ils en étaient arrivés là, loin, très loin de chez eux.
Ils regardaient un peu partout, se sont même séparés pour parcourir les allées du marché, et d'emblée, caché derrière un stand de légumes pleins de poussière, j'ai remarqué celui qui semblait le plus âgé des deux, la petite vingtaine, beau physique, p'tite barbe qui passe bien, le regard un peu dur, on aurait dit qu'il voulait se donner un genre pour impressionner, ou j'sais pas trop quoi, mais en aucun cas ça ne fonctionnait sur nous : quatre contre deux, ils n'avaient aucune chance. Rapidement, on a réussi à les encercler et même à en capturer un.
Comme j'étais responsable de l'opération, j'avais le choix de qui garder et qui renvoyer à l'ennemi, on n'avait pas assez de place pour deux otages/prisonniers, et il fallait bien que notre adversaire sache qu'il s'était fait prendre, qu'on avait maintenant moyen de le soumettre à une forme de pression pour qu'il nous laisse gagner cette fichue guerre qui durait inutilement trop longtemps.
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