Mon frère, mon amant , livre ebook

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Dans "Mon frère, mon amant", nous suivons Florida, une jeune fille confrontée à des situations déstabilisantes et dérangeantes. Sa relation avec son cousin prend une tournure tragique lorsqu'ils sont découverts par son frère, qui se laisse entraîner dans un jeu destructeur. Le récit explore les conséquences dévastatrices de leurs actes, mettant en lumière les tensions familiales et les traumatismes qui en découlent. À travers cette histoire, l'auteur aborde des thèmes de consentement, de manipulation et des dynamiques familiales complexes.
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Publié par

Date de parution

01 septembre 2024

Nombre de lectures

121

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

1 Mo

Interdit aux moins de dix-huit ans
Pierre SOKENOU MON FRÈRE, MON AMANT Roman
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Interdit aux moins de dix-huit ans
CHAPITRE 1 : Présentation
On m’appelle Florida. Je suis élève en cinquième et j’ai seize ans. Depuis mon petit âge, ma mère a divorcé avec mon père. En ce temps-là, je n’avais que six ans. Jusqu’à présent, je ne cesse de me demander cette prise de bec qui aurait suscité une telle décision brutale de la part de ma mère. Et d’ailleurs, je ne peux dire qui des deux a opté pour cette décision. Entre mon père et ma mère, qui des deux aurait choisi le divorce ? Je ne saurais l’expliquer. Toujours est-il que je n’ai jamais le courage de demander à mon père, la raison pour laquelle il a divorcé de ma mère. Et chers lecteurs, il faut que je vous annonce dans ce premier chapitre que, depuis que ma mère a ramassé ses bagages et a quitté mon père, je ne l’ai plus jamais croisée nulle part. Peut-être que aujourd’hui, comme j’ai grandi, on se surpasse en chemin, ma mère et moi. Peut-être aussi qu’elle me reconnaîtrait car, les mères ne méconnaissent jamais leur progéniture ; à ce que je sache.
Laissez-moi vous présenter ma mère. Ma mère, c’est une femme battante ; elle est d’une taille qui influence beaucoup ; en matière de beauté, n’en parlons pas ; elle est trop belle. J’ai hérité d’elle, ce côté-là : la beauté. Oui, je suis très belle ; ce n’est pas moi-même qui le dis ! C’est ce que m’ont révélé beaucoup de mes camarades, y compris mes enseignants. Vous êtes d’accord avec
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moi, chers lecteurs, que c’est surtout avec les femmes très jolies et très belles que les hommes ont souvent l’envie de faire de la romance; non, de l’érotisme !J’avais même oublié de vous préciser ma taille et ma forme.Eh oui ! J’ai aussi hérité cette taille gigantesque de ma mère ! Je suis une fille très géante et c’est ce qui fait que, quand nombre de personnes me voient, elles ne croient jamais en mon âge. Pour beaucoup de personnes, je suis une jeune fille d’une vingtaine d’années alors que c’est ma corpulence qui dit le contraire de qui je suis en réalité. Je n’ai pas été la seuleenfant à qui ma mère a donné naissance avant de rompre le mariage avec mon père. J’ai un grand frère qui s’appelle Stéphan.
Stéphan avait neuf ans pendant que j’avais six ans. Il y avait un écart de trois ans entre lui et moi. Stéphan, lui aussi, c’est unmignon garçon. Sa beauté a déjà plusieurs fois attiré vers lui, les belles filles de notre collège. Vous savez ce que ça donne quand on est d’un teint clair et qu’on est encore joli et beau !Stéphan est donc, de sa belle beauté, l’ami de presque toutes les jeunes filles de notre collège. Mes copines, à chaque seconde qu’elles me voient en sa compagnie, ne cessent de me demander un peu plus tard si Stéphan avait une petite amie. Toujours était-il que je leur répondaisNON. Parce que c’est cette phrase négative qui pourra résoudre cette histoire. Et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle je ne me fatiguais jamais de répondre non. Papa, considérant Stéphan de grande taille et d’âge avancé, avait séparé nos chambres. Ce qui a fait que, au lieu que Stéphan et moi continuions à habiter la même chambre, il avait désormais sa
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chambre à part et moi aussi, j’avais la mienne à part. Depuis que papa avait séparé nos chambres, mon frère et moi ne nous voyions qu’au salon ou dans la cour ou à la salle à manger. Tout s’arrêtait à ces trois lieux. Avant de continuer dans mon histoire, laissez-moi vous prévenir qu’à chaque saison des vacances, nous avons toujours la visite de Fréjus, mon cousin. Fréjus est l’enfant de ma tante et puisque nous autres, nous sommes à Cotonou, la grande ville du Bénin et en même temps capitale économique, Fréjus venait à chaque saison des vacances pour passer avec nous, ses beaux moments de vacances. Fréjus, c’est aussi un beau gars, sympa et mignon comme Stéphan, mon frère. C’est à croire que dans ma famille, il n’y a que de gens beaux. Fréjus est en fait un jeune homme que j’apprécie beaucoup. Je l’admire trop surtout à cause de son calme. Il n’aime jamais le bruit. Il est timide et toujours silencieux. J’admire surtout son beau look et surtout quand il sourit. Souvent, je fais l’effort pour ne pas m’imaginer dans le lit avec lui car, il arrive à des moments où je crève d’envie de lui.Eh oui, les poils reposant sur sa poitrine m’en raffolent et je me mords discrètement les lèvres de peur de ne pas lui témoigner ce que je ressentais pour lui. Fréjus était d’une vingtaine d’années. En cette période de vacances, il passait en terminale. Ce qui veut dire qu’il allait être
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bientôt classé sur la liste des étudiants que les universités forment au chômage. Lecteur, veux-tu lire la suite de mon histoire? Si oui, il n’y a pas de souci. Mais pose-toi la question de savoir si tu as dix-huit ans. Si non, alors reste loin de mon histoire. Je pense avoir été claire dans mon avertissement. Tu es donc prévenu, merci.
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CHAPITRE 2 : Ma folle envie
Il est vingt-et-une heures et nous étions à table, papa, Stéphan et moi. On mangeait quand le téléphone de papa commença à sonner. Il laissa échapper sa fourchette et saisit son téléphone. Il décrocha ensuite l’appelaprès avoir pris connaissance de l’appelant.mon petit, comment ça va ? entama-t-il, lunettes Allô, calées sur le nez. Mon père, se levant de la table, il se dirigea vers les escaliers avec le téléphone accroché à l’oreille. Il parlait et montait les marches des escaliers. Je le suivais de mon regard car, c’était la première fois que je le voyais abandonner son plat pour s’intéresser à un appel. Stéphan et moi, devant ce comportement inhabituel, échangeâmes un regard de stupéfaction avant de continuer notre besogne buccale. Il a quoi, ce vieux ? questionna Stéphan, un petit sourire sous la dent. Il viendra nous le dire, lui répondis-je, tout bas. Dans le même instant, nous aperçûmes notre daron descendre les marches des escaliers, le téléphone hors del’oreille.Qui était-ce, papa ? lui demandai-je, bouche pleine. C’est votre cousin, me répondit-il en s’asseyant sur sa chaise.
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Est-ce Fréjus ? murmurai-je, regard fixé sur lui. Oui, c’est lui ; comment l’as-tu su ? Je l’ai dit par exprès puisque je sais que les belles vacances s’annoncent déjà et qu’il ne serait que le seul à t’appeler !Tu n’as pas tort.Et pourquoi t’étais-tu levé pour aller terminer la communication à quarantaine ? Florida, pourquoi aimes-tu me submerger de questions ? Désolée, papa ! Tu sais très bien qu’on ne pose de question que quand on manque de compréhension au sujet d’un thème !Je n’en disconviens pas mais lorsque ça devient embarrassant, ce n’est plus la peine !Désolée, papa ! Alors, mange ! s’exclama mon père.Sur sa phrase, je laissai tomber ma cuillère dans mon plat et me fâchai. Est-ce à cause de ce que j’ai dit que tu es fâchée ? remarqua mon père. Oui papa ! Tu sais que j’aime tout connaître. Alors pourquoi me priver de mes désirs ? Je te comprends ! Je n’ai pas abandonné mon repas pour aller répondre à l’appel de votre cousin en catimini. C’est parce que j’avais branché le fer à repasser et que j’ai oublié de le débrancher avant de venir au salon. C’est ce qui a été l’objet de mon retrait de la table.
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Je comprends enfin ! Et qu’attendais-tu pour me le dire à temps et tu m’as laissée gaspiller inutilement toute mon énergie? Pendant ce temps, Stéphan s’était concentré sur son spaghetti. On dirait que le débat établi entre papa et moi n’avait aucune importance pour lui. Il mangeait et buvait sans nous prêter aucune attention. Alors dis-moi, papa ; Fréjus t’a appelé pour t’annoncer sa réussite, c’est bien ça ? repris-je. Oui ! Il a réussi à son baccalauréat.  Super ! Et ne viendra-t-il pas passer les vacances ici comme d’habitude ?C’est surtout pour ça qu’il venait de m’appeler.J’espère que tu n’as pas refusé qu’il vienne ?Comment je peux refuser ? Il fait partie de la famille n’est-ce pas ? Parbleu ! Je sais que tu es un oncle parfait, voyons ! Tu me trouves parfait ? Oui papa ! Et dis-moi, à quand son arrivée ? Comment son arrivée t’intéresse aussi tant ?Tu ne peux pas comprendre, papa ! J’aime tout de lui. Son charme ; son calme ; son silence et sa taille ! Je suis très fière de l’avoir comme cousin.Mon père, serrant le visage, me dévisagea comme pour me demander si j’étais sérieuse de tout ce que je racontais. J’évitai son regard et baissai la tête. Lorsque je la relevai trois secondes plus
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tard, je lui demandai une fois encore, à quand l’arrivée de mon cousin à Cotonou. Il sera là demain, me répondit mon père. Youpiii ! criai-je de toute ma force. Attends, tu as quoi avec ton cousin ? papa ! Je suis juste contente de sa réussite et de Rien, l’annonce de son arrivée ici.Et pourquoi ? Parce que je suis souvent ennuyée, papa. Et comment ? Je ne comprends pas, le sens de ta question, papa !  Comment est-ce qu’avec ce gros écran plasma avec ce décodeur TV, tu sois encore ennuyée ? ne peux pas comprendre, papa ! Quand je suis seule Tu devant l’écran, je ne me sens pas du tout dans mes aises. Je maque souvent avec qui entretenir. PourtantStéphan est là n’est-ce pas ? Je recherchai le visage de mon frère avant de pouffer un rire. Penses-tu que tu Stéphan s’intéresse à la télévision autant que moi ? Je suis la seule à suivre ces chaînes télévisées dans cette maison. En tout cas, je suis fière que mon cousin ait réussi à son examen et projette venir passer ses vacances avec nous comme d’habitude.
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 Ok, de toutes les façons, il sera là demain, conclut mon père en se levant de la table. Lorsqu’il se leva, Stéphan se leva à son tour et se dirigea vers les escaliers et au bout de quelques minutes, disparut. Devant mon plat, je n’eus plus l’appétit. Dans ma tête, tournaient des séries de films romantiques. Je me voyais en action avec Fréjus, mon cousin. Je voyais sa bite dans ma bouche. Oui, je lui taillais la pipe, je pense que c’est l’expression convenable qu’il me faut employer parce qu’il faut souvent apprendre à appeler chaque chose par son nom. Automatiquement, je commençai à mouiller. Oui, je mouillais surplace. Doucement, je nettoyai mon index et calmement, je l’enfourchai dans mon slip, direction dans mon vagin et tout de suite, j’eus une folle envie de continuer le va-et-vient dans ma chatte. N’étant pas bien à l’aise pour provoquer mon excitation, je couvris mon repas d’une assiette et regagnai ma chambre. Deux coups, je verrouillai ma porte à clef et m’allongeai dans mon lit. Inventant le torse nu et le sexe de Fréjus à découvert sur le cadran de mon imagination, je commençai à me masturber, juste pour atteindre en attendant mon orgasme avant l’arrivée de Fréjus. Était-ce le diable qui me tentait ? Je n’en ai aucune idée.
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