Je sais (enfin !) m'informer, Première et Terminale , livre ebook

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Toutes les clés pour s'informer !Qui détient les principaux médias ? Qu'est-ce qu'une source fiable ? Comment reconnaître une « fake news » ?Il n'est pas toujours facile de faire preuve d'esprit critique face à l'afflux de nouvelles que nous recevons quotidiennement, surtout avec l'émergence de nouveaux médias. Les réseaux sociaux transmettent de plus en plus d'informations : vidéos sur YouTube, publications sur Instagram… Comment savoir si celles-ci sont fiables ?Cet ouvrage propose ainsi, à travers une mise en page claire et dynamique, des explications et astuces sur les questions essentielles liées aux évolutions des médias traditionnels, aux réseaux sociaux, à l'intelligence artificielle ou encore au cyberharcèlement. Il contient des exercices et ateliers accompagnés de conseils pour adopter les bonnes pratiques face à l'information mais aussi pour apprendre à créer ses propres contenus.Toutes les clés pour être à la page et pouvoir se dire : je sais (enfin !) m'informer ! - Choisir et vérifier ses sources - Savoir repérer les « fake news » - Faire preuve d'esprit critique - Créer ses propres contenus Avec tous les corrigés en fin d'ouvrage
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Publié par

Date de parution

24 octobre 2023

Nombre de lectures

1

EAN13

9782820815651

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

12 Mo

JE SAIS (ENFIN !) M’INFORMER
Par Vladimir Lelouvier
© rue des écoles, 2023 Éditions rue des écoles – 15, Boulevard Bourdon, 75004 Paris EAN : 9782820815651 Achevé d’imprimer en Espagne par Mazarine Networks en septembre 2023 Dépôt légal : octobre 2023
AVANT-PROPOS Bien s’informer pour prendre les bonnes décisions
Nous l’oublions parfois : le droit de s’informer librement est un privilège, parce qu’il est rare. Dans les dictatures, les États gangrenés par le crime organisé ou la corruption, et même parfois dans nos démocraties, où les menaces (économiques ou politiques) sont plus discrètes, il n’est pas possible de s’informer de façon libre et ecace.
S’informer, un enjeu majeur
L’ignorance étant un chemin vers l’intolérance, s’informer et se confronter à de nouveaux concepts permet de ne pas tourner en rond sur des idées préconçues. En s’informant, on forge sa propre opinion sur un sujet. C’est important car c’est par l’information (en complément de l’éducation) que nous pouvons devenir des citoyens actifs, comprenant les grands enjeux (sociétaux, économiques, géopolitiques, écologiques, etc.) qui nous entourent, de manière proche ou lointaine, et donc être à même deprendre des décisions rationnelles.
Pourquoi s’informer ?
Connaître et comprendre ce qui se passe autourde soi permet d’anticiper et d’agir ecacement sur son futur. Par exemple, un lycéen peut choisir telle formation pour aller vers tel métier de plus en plus demandé par les entreprises, ou encore, un dirigeant d’entreprise peut miser sur un produit innovant car celui-ci répond à de nouveaux besoins des consommateurs. Bien s’informer permet aussid’adapter ses actions de manière rationnelleen cas de criseau lieu d’agir de manière impulsive et irrééchie. Cela permet enn de décrypter les idéessous-jacentes de celles et ceux qui détiennent des pouvoirs économiques, politiques, sociaux et d’être en mesure de mettre au jour les « fake news ».
3
Avant-propos
SOMMAIRE
Bien s’informer pour prendre les bonnes décisions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .3
PARTIE 1 : LES MOYENS D’INFORMATION
Chapitre 1Chapitre 2Chapitre 3Chapitre 4
La concentration des médias. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .6 Qu’est-ce qu’une source able ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .8 Réseaux sociaux : de nouveaux moyens de s’informer. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .10 Métavers, NFT, blockchain… : c’est quoi ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .15
PARTIE 2 : BIEN ÉVALUER L’INFORMATION
Chapitre 5Chapitre 6Chapitre 7Chapitre 8Chapitre 9
Informations et publicité : attention au mélange des genres. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .18 Les « fake news », toujours plus nombreuses et multiformes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .20 Le complotisme, une tendance qui s’accélère. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .22 L’intelligence articielle, des enjeux énormes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .24 Les « deepfake ». . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .26
PARTIE 3 : LES BONNES PRATIQUES
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Cyberharcèlement : les bonnes pratiques pour y faire face. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .30 Les données personnelles : comment et pourquoi sont-elles traquées ?. . . . . . . . . . . .33 Jeux vidéo, réseaux sociaux et séries. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .37
PARTIE 4 : CRÉER ET GÉRER SES PROPRES CONTENUS
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Créer un contenu de bonne qualité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 La liberté d’expression, qu’est-ce que c’est ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42 Comment bien gérer le droit à l’image ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .44 Quels outils utiliser ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48 Quelles compétences développer ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
CORRIGÉS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .54
PARTIE 1 : LES MOYENS D’INFORMATION
6
CHAPITRE 1 La concentration des médias
Qui détient l’information détient le pouvoir. Parfaitement au courant de cet axiome, les milieux politiques et économiques ont toujours cherché à contrôler sinon l’information, au moins les grands moyens de s’informer.
Les grands groupes aux commandes
Nous n’avons jamais eu autant de moyens d’information. Toutefois, une tendance à laconcentration des médiass’accentue actuellement. Ces médias regroupent évidemment la presse et ses journalistes (journaux papier, radio, télévisions, etc.) mais aussi dorénavant les réseaux sociaux, les services de messagerie voire les éditeurs de jeux vidéo ou les producteurs de lms qui sont devenus de nouveaux vecteurs de diffusion des idées. En effet, veiller à la diffusion de l’information apporte non seulement un pouvoir d’inuence mais aussi un pouvoir économique. Des groupes qui n’ont a priori aucun lien avec le monde de l’information gèrent donc de très nombreux grands médias ou moyens de diffusion. Or, ce n’est pas toujours pour favoriser la liberté d’opinion.
Pourquoi cette concentration ?
Quand les grands groupes de média ou de technologie contrôlent les moyens de divertissement, de communication ou d’information, ils peuvent multiplier les synergies entre les différentes liales d’un même groupe. Ils peuvent également alimenter des bases de données qui permettent d’avoir accès, d’utiliser et parfois de vendre les données personnelles des utilisateurs. Parfois, c’est aussi le moyen de faire avancer les idées qui seront favorables à l’activité économique de ces grands groupes ou aux convictions politiques de leurs dirigeants.
À savoir
Il n’y a pas que les entreprises privées qui s’intéressent aux médias. C’est aussi le cas de nombreux États en dictature, qui contrôlent ou surveillent tout ou partie d’entre eux. Les démocraties y attachent aussi de l’importance, avec les entreprises publiques.
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