Un presque joli conte de fesses , livre ebook

icon

13

pages

icon

Français

icon

Ebooks

2017

Écrit par

Publié par

icon jeton

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Lire un extrait
Lire un extrait

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne En savoir plus

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris
icon

13

pages

icon

Français

icon

Ebooks

2017

icon jeton

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Lire un extrait
Lire un extrait

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne En savoir plus

Au pays merveilleux de la gaudriole, la princesse s’appelle Monique qui donne sa langue rabelaisienne à tous les chats gourmands...


« Il était une fois une princesse moche comme un pou, de la tête jusqu’au cou. Mais alors très super bien roulée, en dessous jusqu’aux orteils. Par exemple elle avait deux nibars melons moulés à la Marylin qui pointaient aux nues dans un décolleté vertigineux, et un petit cul fendu à l’Angelina qui se cambrait aux vents pour un rien. Elle vivait dans une sorte de bois enchanté quelque part du côté de Montbéliard qu’on aurait pu appeler la zone... »



On connait la fantaisie langagière de José Noce et son imagination primesautière. Dans ce conte iconoclaste qui fraye avec les fossés de traverse d’une lubricité débridée, son style vivace fait merveille. Une régalade rigolote !

Voir icon arrow

Publié par

Date de parution

01 mai 2017

Nombre de lectures

57

EAN13

9791023406061

Langue

Français

José Noce Un presque joli conte de fesses Nouvelle QQ CollectionCulissime
Q = romance rose QQ = libertinérotique QQQ = pornobscène
«Dostoïevski a dit : “Donnez à l’homme son utopie et il la détruira délibérément avec le sourire.” Et j’étais décidé à donner un démenti à Dostoïevski avec le même sourire. »  Kerouac (Les Anges vagabonds) «Faites des modèles originaux. Ou bien travaillez di rectement sur le métal. Essayez. Comme un gosse qui s’amuse. »  Philippe K. Dick (Le Maître du haut château)
La vérité ne suffit pas « La vérité ne suffit pas, mais le poète témoigne même de ce qu’il n’a pas vu. »  Constantin Cavafis (En attendant les barbares) Il était une fois une princesse moche comme un pou, de la tête jusqu’au cou. Mais alors très super bien roulée, en dessous jusqu’aux orteils. Par exemple elle avait deux nibars melons moulés à la Marylin qui pointaient aux nues dans un décolleté vertigineux, et un petit cul fendu à l’Angelina qui se cambrait aux vents pour un rien. Elle vivait dans une sorte de bois enchanté quelque part du côté de Montbéliard qu’on aurait pu appeler la zone, tellement il y avait que dalle comme décor émoustillant sur le plan des distractions de son âge. La princesse s’appelait Monique.
Elle avait quasi presque dix-huit ans légaux. Ses darons étaient des sortes de roi et reine à l’ancienne, mais avec des pièces d’or qui n’avaient plus cours, et quand même quelque part une garde armée de kalachnikovs pour protéger leur château en ruine avec leurs clébards au pedigree louche dressés pour la c hasse aux métèques d’ailleurs. C’était une vieille dynastie de nobles magiciens définitivement rejetés de la féerie à cause de leurs nouveaux tocs relous autour du cul...
Voir icon more
Alternate Text