Sous les étoiles , livre ebook

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Se faire donner le bon Dieu sans confession fut le premier acte de séduction de ce curé mirifique...


« Nos entrejambes claquaient, se heurtaient, s’entrechoquaient. Des étoiles me montaient dans les yeux. Si le curé atténuait l’intensité de ses va-et-vient, c’était pour mieux amplifier le mouvement et l’effet des percussions. Mon cul remuait en tous sens, et il me tenait de manière à ce que je n’aie aucun effort à fournir. Je lâchais tout, sans réserve. Chaque secousse était une nouvelle marche vers le septième ciel. Le moindre mouvement de sa part s’apparentait au battement d’aile d’un ange, jusqu’à ce que nous atteignions tous les deux l’équivalent d’un point de non-retour dans les airs, juste sous les étoiles. »



C’est fou cette attirance qu’éprouveraient certaines femmes pour les hommes en uniforme. Quand celui-ci est une soutane, les fantasmes sont convoqués. Un tel outil de drague délurera-t-il une pure jeune fille consentante ? Blackfox ira en enfer, pas sûre que cela lui déplaise.

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Publié par

Date de parution

01 novembre 2017

Nombre de lectures

13

EAN13

9791023406566

Langue

Français

Jon Blackfox Sous les étoiles Pulp – 5 nouvelle QQQ
CollectionCulissime
Q = romance rose QQ = libertinérotique QQQ = pornobscène
Sous les étoiles exactement Pulp 5 Blackfox Quand vous êtes enfant, chaque personne de votre entourage vous est présentée comme un tonton ou une tata, par facilité de langage,sans doute aussi pour instaurer l’idée et que tout le monde est relié dans une seule et même grande famille. C’est une fiction que l’on aime entretenir, jusqu’à un certain âge, comme le Père Noël ou les cloches de Pâques. Celui-ci, de tonton, était tellement éloigné de ma vie qu’il ne m’en restait qu’un vague souvenir, bien plus alimenté par ce que ma famille m’avait raconté à son sujet que par nos véritables échanges. Sa mort ne me touchait pas vraiment. La dernière fois qu’il m’avait vue, j’étais encore assez petite pour prendre plaisir à me rouler dans l’herbe. C’est d’ailleurs ce que faisaient les gosses réunis pour l’occasion, et qui ne pouvaient saisir le sens de la réunion. L’enterrement fut célébré par un jeune prêtre aux allures de moine bouddhiste et au crâne rasé. En dépit de ses mots justes et de sa simplicité, son office fut un véritable supplice. Je n’ai rien à reprocher à la cérémonie ; ce fut court et inspiré. Sauf qu’il usait et abusait de l’encensoir ; l’ambiance me rappelait mes vacances en Thaïlande. J’aurais presque cru assister à une cérémonie exotique dans un temple nimbé d’une fumée ensorcelante, où la sculpture du Christ prenait les traits d’une divinité subtropicale. La remontée enivrante des souvenirs de vacances provoqua une dissociation pour le moins sulfureuse entre le rite solennel et les extravagances de mon petit théâtre imaginaire où le jeune curé tenait une grande place. Il m’était impossible d’échapper à une série de pensées plus obscènes les unes que les autres. Après que le prêtre eut béni le corps et le cercueil, vint le moment critique : suivre la file de bénédiction en résistant à la tentation de lorgner ce jeune...
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