Donne petite chienne dominante contre bons soins , livre ebook

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Sur les conseils de son médecin, Anne-Charlotte doit se séparer de son adorable petite chienne car elle souffre de violentes allergies. De quiproquos en malentendus, sa quête du « maître » parfait va la plonger dans les méandres d’un univers érotique dont elle ne soupçonnait même pas l’existence.

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Date de parution

26 mai 2015

Nombre de lectures

55

EAN13

9782365408783

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

1 Mo

DONNE PETITE CHIENNE DOMINANTE Contre bons soins Acte 1 Doriane Still
« Le Code de lapropriété intellectuelle et artistique n'autorisant,aux termes des alinéas 2et3de l'article L.122-5,d'unepart,qu e les «copiesou reproductions strictement réservéesà l'usageprivéducopisteet nondestinéesàuneutilisation collective » et, d'autrepart,que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration,«oureprésentation ou reproduction intégrale,  toute partielle, faitesans leconsentementde l'auteuro udesesayantsdroitouayants cause, est illicite »(22-4alinéa 1er de l'article L. 1 ). « Cette représentation ou reproduction,parquelqueprocédéque ce soit,cons tituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal. » ©2015Les Editions Sharon Kena www.leseditionssharonkena.com ISBN : 978-2-36540-878-3
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Table des matières
1 Trois mois déjà que je n’arrête pas d’éternuer. San s parler des démangeaisons et autres symptômes plus ou moins gênants pour mon métier. Je suis commise dans une pâtisserie renommée de la ville, et, ce jo ur-là, mon patron en eut plus qu’assez de devoir refaire la décoration de sa Trop ézienne parce que je n’arrêtais pas de souffler sur le sucre glace en me mouchant. Ce n’est plus possible, Anne-Charlotte, il faut que tu ailles voir un médecin.  Mais ce n’est qu’un petit rhume, rien de plus, me défendis-je après avoir jeté mon kleenex à la poubelle. Trois mois ! Trois mois que tu te traînes ce fichu rhume ! On va nous coller le service d’hygiène aux fesses si ça continue ! Et tes mains, c’est une catastrophe ! Ce doit être un peu d’eczéma, rien de plus. Il n’y a rien de sale, je me les lave sans arrêt.  Écoute, je suis désolé de devoir te dire ça aussi brusquement, mais si tu n’arrives pas à régler tes problèmes de santé, je v ais devoir me passer de toi. C’est injuste ! Je ne fais rien de mal ! L’autre fois, quand tu as remplacé François à la v ente, une cliente est venue se plaindre parce que tu avais les doigts couverts de plaques rouges ! Tu trouves que ça marque bien pour une enseigne de notre standing ?  Eh bien, je resterai en cuisine désormais ! Puisqu e le fait de rendre service pendant l’absence d’un collègue me pénalise. Même en cuisine, ce n’est plus possible. Tu éternu es sans arrêt et la poubelle déborde de tes mouchoirs en papier répugnants. Je baissai la tête, honteuse de me faire ainsi répr imander pour quelques malheureux kleenex. Je vais prendre rendez-vous chez le médecin, laisse z-moi une chance, s’il vous plaît, quémandai-je, les yeux larmoyants. Ce n’était pas le moment de perdre mon emploi. J’av ais un loyer à payer et un crédit de deux mille euros sur le dos pour une voit ure qui commençait à montrer des signes de faiblesse. Elle faisait des bruits bizarres et une petite visite chez le garagiste n’aurait pas été du luxe. Seulement, se p ayer les services d’un mécanicien quand on finit toutes les fins de mois d ans le rouge, ce n’était pas chose facile. Je décidai donc de prendre rendez-vous chez mon gén éraliste afin qu’il me soigne une bonne fois pour toutes cette rhino-phary ngite récalcitrante.
2 Deux jours plus tard, le verdict tomba dans le cabinet du docteur Plochard. Mon problème ne venait pas d’un vilain virus mais plutô t d’une allergie. Sur les conseils de mon médecin de famille, je me rendis donc chez u n allergologue dont les dépassements d’honoraires m’auraient largement payé une révision totale chez Midas, gonflage des pneus et lustrage de la carross erie inclus. Lorsque, dans la salle d’attente, je découvris l’étendue des tarifs pratiqués dans ce cabinet, je commençai à douter de mes choix. Peu t-être que Plochard s’était planté, et une bonne cure de Doliprane pourrait cer tainement faire mon affaire pour une bouchée de pain. Je m’apprêtais à partir lorsqu ’une secrétaire en tailleur-jupe griffé GUESS vint me chercher, un large sourire des siné sur le visage. Avec le salaire qu’elle devait se faire, elle pouvait sourire… Mademoiselle Poulimet, veuillez me suivre, s’il vou s plaît, le docteur Barret va vous recevoir. J’hésitai quelques secondes entre m’enfuir à toutes jambes et me cacher derrière mon magazine pour faire comme si je ne con naissais pas cette mademoiselle Poulimet. Manque de chance, j’étais la seule dans la pièce et il était difficile de passer inaperçue. Forcément, à ce pri x-là, les pigeons n’étaient pas nombreux à se faire attraper. Finalement, je me levai et suivis sagement la bourg eoise au brushing parfait en me disant que c’était pour le bien de mon emploi, et que manger quelques pâtes au beurre pendant une année afin de m’offrir cette con sultation ne me ferait pas de mal.  Bonjour, m’accueillit l’allergologue à la bedaine bien dodue en me tendant la main. Qu’est-ce qui vous amène ? Je n’arrête pas d’éternuer depuis plusieurs mois, expliquai-je. Et vos yeux sont larmoyants ? Oui, très souvent. Maux de tête ? Aussi. Crise d’étouffement, sifflement ?  C’est tout à fait ça ! Et quelques plaques rouges sur mes bras, en plus du reste. En effet, constata-t-il en examinant ma peau. Nous sommes bien en présence d’un terrain allergique. Votre système immunitaire réagit de manière excessive à une substance étrangère. Il nous faut juste trouver laquelle. Comment allez-vous procéder ?
tances potentiellementJe vais mettre en contact votre derme avec des subs allergisantes et s’il y a une réaction, c’est que nous aurons trouvé le coupable. Sur ce, il traça des petits cercles sur ma peau et déposa une gouttelette dans chacun d’entre eux avant de les enfoncer à l’aide d’un engin pointu. Une vraie partie de plaisir ! Après quelques minutes, une rougeur se mit à gonfle r de façon affolante à côté du mot « chien » que le docteur Barret avait noté au stylo bille.  Vous êtes allergique aux chiens ! déclara-t-il le plus simplement du monde alors que j’avais l’impression que le ciel s’écroulait sur ma tête.  C’est impossible ! Cela fait trois ans que je vis avec ma chienne et je n’ai jamais eu de souci.  Parfois, les allergies se déclarent tardivement, s ans raison. Il va falloir vous séparer de votre toutou, si vous voulez guérir.  Il en est hors de question ! m’insurgeai-je. Il do it bien y avoir une solution, non ? Un shampooing canin afin d’atténuer l’odeur de sa fourrure. Vous n’êtes pas allergique à ses poils, comme tout le monde peut le penser. Les humains sont sensibles aux squames de la peau, ce sont de microscopiques flocons de peaux mortes qui traînent un peu partout chez vous à cause de votre compagnon à quatre pattes. Tant qu’il y aura un chien dans votre habitat, il y aura des squames et votre système immunitaire déploiera des anticorps. Tous vos symptômes désagréables sont la conséquence pure et simple de cette offensive. Il existe des médicaments ?  Oui. Mais ils ne feront effet que ponctuellement. Votre corps a besoin de cesser cette lutte et l’unique moyen de l’aider est de vous éloigner de votre animal. Moi vivante, jamais !
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