Carton plein , livre ebook

icon

13

pages

icon

Français

icon

Ebooks

2017

Écrit par

Publié par

icon jeton

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Lire un extrait
Lire un extrait

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne En savoir plus

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris
icon

13

pages

icon

Français

icon

Ebooks

2017

icon jeton

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Lire un extrait
Lire un extrait

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne En savoir plus


Etre serviable peut avoir certains avantages lorsqu’on vous remercie en payant de sa personne...


« Je remontai sa jupe pour avoir une belle vue sur ses fesses magnifiques. Elle prenait son pied autant que moi, et nous n’avions besoin d’échanger ni regards ni paroles. Mes coups amples et profonds lui suffisaient, alors je continuai comme ça, en lui caressant, claquant, malaxant le cul, les mains pleines de sueur et d’odeurs brutes. Jusque-là, il ne s’agissait que d’un plan baise tout ce qu’il y a de plus classique, mais tout dérapa quand je me mis en tête de lui enfoncer un doigt dans la rondelle. »



Jon Blackfox a le chic de prendre une tranche de vie ordinaire pour l’assaisonner avec les épices du sexe. D’où il ressort que la serviabilité aura sa récompense, ô combien voluptueuse, quand la maturité se trouve être débarrassée des chichis. On s’active à fond, on épuise les désirs réciproques : carton plein !

Voir icon arrow

Publié par

Date de parution

01 novembre 2017

Nombre de lectures

48

EAN13

9791023406542

Langue

Français

Jon Blackfox Carton plein nouvelle QQQ
CollectionCulissime
Q = romance rose QQ = libertinérotique QQQ = pornobscène
Mon esprit divaguait en attendant que mon ex-belle-sœur ouvre la porte.me demandais comment la situation avait pu Je m’échapper à ce point, sans présager l’issue désastreuse de cette visite de courtoisie. Dimanche dernier, alors que la famille s’était réunie pour filer un coup de main lors du déménagement de mon frère, un carton était resté dans un coin. Le nom de son ex-copine y était écrit en gros, au marqueur, comme un signal d’avertissement. Personne n’y avait touché, et quand toutes les pièces furent vides, l’inévitable question se posa. Qui allait rapporter ses affaires à ’Isabelle ? De fil en aiguille, tout le monde s’accorda à me désigner comme la victime idéale. Selon ma mère, Isabelle avait déménagé à l’autre bout du département. Mon père déclara alors que je me rendais parfois dans le coin pour le travail. Puis mon oncle me demanda si l’équipe de cette ville ne jouait pas dans mon championnat de foot. Mon frère porta le coup de grâce en déclarant que j’y jouerais le dernier match de la saison à la fin du mois. En moins d’une minute, mon sort était scellé. Personne n’aurait voulu affronter la douce angoisse que représentait une rencontre avec Isabelle. À vrai dire, cela ne me dérangeait pas plus que cela, même si je ressentais un mélange de sensations bizarres à l’idée de me retrouver seul avec Isabelle. Quinze jours auparavant, elle faisait encore partie de la famille. Voilà qu’elle n’était déjà plus qu’une vague connaissance. Nous avions entretenu une relation plutôt curieuse, presque intime, puisque nous nous retrouvions très souvent dans les réunions familiales, à profiter d’une pause cigarette pour discuter au calme. Si tout le monde s’était mis d’accord pour me refiler le colis, c’est que tous avaient intégré l’existence de cette relation privilégiée, sans y voir...
Voir icon more
Alternate Text