Aide à la décision et expertise en gestion des risques , livre ebook
271
pages
Français
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2010
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Publié par
Date de parution
24 juin 2010
Nombre de lectures
21
EAN13
9782743018283
Langue
Français
Poids de l'ouvrage
15 Mo
L'activité d'expertise s'inscrit dans une démarche d'aide à la décision et intervient dans une grande variété de contextes dans le but de minimiser les risques pour les personnes, les biens et l'environnement, tout en prenant en compte les impératifs économiques et sociaux. Aide à la décision et expertise en gestion des risques propose un nouvel angle de vue de la pratique de l'expertise dans le domaine de la sûreté, de la sécurité et de l'environnement en présentant une approche méthodologique pour diagnostiquer les conditions de conduite d'une expertise scientifique. Il constitue un véritable guide dans le choix d'une démarche d'aide à la décision adaptée à la nature des incertitudes nombreuses et variées auxquelles les professionnels doivent faire face. Cet ouvrage offre une démarche de mise en questions de la demande d'expertise dans son contexte de réalisation , une cartographie des méthodes multicritères d'aide à la décision en fonction de leurs spécificités et de la diversité des contextes d'application en gestion des risques , une réflexion sur l'intérêt et les limites des démarches multicritères de type ELECTRE , une présentation d'une grande diversité de situations d'expertise en gestion des risques ainsi qu'une présentation détaillée de trois situations d'études de risques. Il s'adresse aux ingénieurs, experts, décideurs et citoyens qui s'intéressent aux questions d'expertise en gestion des risques et qui souhaitent se familiariser avec les démarches d'aide à la décision et apprendre à discerner les situations dans lesquelles ces démarches sont les plus utiles à travers des exemples concrets.
Avant-propos. Introduction. Organisation
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Date de parution
24 juin 2010
EAN13
9782743018283
Langue
Français
Poids de l'ouvrage
15 Mo
directeur du Centre de recherche sur les Risques et les Crises (CRC), Mines ParisTech / ARMINES
Aide à la décision et expertise en gestion des risques
Myriam Merad
11, rue Lavoisier F75008 Paris
Dans la même collection
série « Notes de synthèse et de recherche » Modélisation dynamique des systèmes industriels à risques E. Garbolino, J.P. Chéry, F. Guarnieri, 2010 Introduction à la sécurité économique G. Pardini, 2009 Retour d’expérience et maîtrise des risques – Pratiques et méthodes de mise en œuvre J.L. Wybo, W. Van Wassenhove, 2009 Cadre juridique de la prévention et de la réparation des risques professionnels P. Malingrey, 2009 Pratiques de prévention des risques professionnels dans les PME C. Martin, F. Guarnieri, 2008 Maîtriser les défaillances des organisations en santé et sécurité du travail – La méthode TRIPOD J. Cambon, F. Guarnieri, 2008 Maîtrise des risques et sûreté de fonctionnement : repères historiques et méthodologiques A. Lannoy, 2008 La défense en profondeur – Contribution de la sûreté nucléaire à la sécurité industrielle E. Garbolino, 2008 Le cadre juridique de la gestion des risques naturels V. SansévérinoGodfrin, 2008 Les plans de prévention des risques : la prévention des risques majeurs par la maîtrise de l’usage des sols G. Rasse, 2008 Risques et enjeux de l’interaction sociale J.M. Stébé, 2008 Retour d’expérience et prévention des risques – Principes et méthodes W. Van Wassenhove, E. Garbolino, 2008 série « Références » Traité du risque chimique N. Margossian, 2010 Risque environnemental et action collective. Application aux risques industriels et d’érosion côtière dans le PasdeCalais O. Petit, V. Herbert, coord., 2010
Risques et territoires Interroger et comprendre la dimension locale de quelques risques contemporains T. Coanus, J. Comby, F. Duchêne, E. Martinais, coord., 2010 L’expertise : enjeux et pratiques K. Favro, coord., 2009 Introduction à l’analyse probabiliste des risques industriels H. Procaccia, 2009 Le syndrome de vulnérabilité J. Bouisson, 2008 Les fondements des approches fréquentielle et bayésienne. Applications à la maîtrise du risque industriel H. Procaccia, 2008 La politique de sécurité routière – Derrière les chiffres, des vies J. Chapelon, 2008 La catastrophe AZF – L’apport des sciences humaines et sociales G. de Terssac, I. Gaillard, coord., 2008
série « Innovations » La santé au travail à l’épreuve des nouveaux risques N. DedessusLeMoustier, F. Douguet, coord., 2010 Les paradigmes de la perception du risque C. Kermisch, 2010 Réduire la vulnérabilité des infrastructures essentielles – Guide méthodologique B. Robert, L. Morabito, 2009 Climat et risques : changements d’approches D. Lamarre, 2008 Sociologie d’une crise alimentaire : les consommateurs à l’épreuve de la maladie de la vache folle J. Raude, 2008 La réduction de la vulnérabilité des PMEPMI aux inondations P.G. Mengual, 2008
série « Débats » Le débat public, un risque démocratique ? L’exemple de la mobilisation autour d’une ligne à très haute tension D. Boy, M. Brugidou, coord., 2009 Violences routières – Des mensonges qui tuent C. Got, 2008
DAN GER LE
PHOTOCOPILLAGE
TUE LE LIVRE
© LAVOISIER, 2010 ISBN : 9782743012656 ISSN : 19626053
Toute reproduction ou représentation intégrale ou partielle, par quelque procédé que ce soit, des pages publiées dans le présent ouvrage, faite sans l’autorisation de l’éditeur ou du Centre français d’exploitation du droit de copie (20, rue desGrandsAugustins 75006 Paris), est illicite et constitue une contrefaçon. Seules sont autorisées, d’une part, les reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective, et, d’autre part, les analyses et courtes citations justifiées par le caractère scientifique ou d’information de l’œuvre dans laquelle elles sont incorporées (Loi du 1erjuillet 1992 art. L 1224 et L 1225 et Code pénal art. 425).
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Cet ouvrage est l’occasion pour Myriam Merad de coucher sur le papier quelques étapes marquantes de son cheminement intellectuel et professionnel. De fait, le thème central en est l’exercice de l’expertise comme « activité », selon ses pro pos, et le questionnement de cet ouvrage ne se rapporte donc pas directement à « l’identité » de l’expert. Cette activité d’expertise s’inscrit principalement dansl’aide à la décision publique dans une grande variété de contextes avec un objectif de minimisation des risques pour les personnes, les biens et l’environnement, sans pour autant négliger les impératifs économiques et sociaux. On retrouve là évidem ment tous les enjeux du développement durable. Or, les informations disponibles relatives au contexte sont incomplètes et les questions scientifiques et techniques sousjacentes sont complexes ; de plus, les intérêts des parties prenantes sont souvent contradictoires. Pour faire avancer le processus de concertation vers une décision optimisée, la mise au point d’approches et de méthodes rigoureuses et transparentes s’impose. Myriam Merad nous propose un certain nombre de pistes pour répondre aux questions posées par l’exercice de l’activité d’expertise dans ces situations complexes. Myriam Merad nous aide tout d’abord à mieux comprendre en quoi les études de risques et les processus de décision sont intimement liés au sein d’organisa tions sociotechniques, où tous les acteurs ou parties prenantes sont appelés à jouer un rôle. Ces propos sont illustrés par 13 situations typiques, qui permet tent de décliner le contexte de décision (risqué, incertain, ambigu) ainsi que le mode de gestion des risques, en soulignant que ces modes de gestion doivent être appropriés aux contextes (de la prévention à la réparation), et enfin les différentes étapes de la gestion des risques. En effet, le risque, à partir du moment où l’on est capable de l’évaluer, peut être assumé (ou accepté), mais aussi réduit. C’est là que réside le véritable enjeu de l’aide à la décision. Myriam Merad réussit à nous convaincre avec talent de l’intérêt des méthodes multicritères en nous pré sentant leurs fondements mathématiques, et en particulier la méthode ELECTRE, déclinée sur l’analyse des risques. Elle développe ensuite la manière dont sont traitées les problématiques de préférence, et de poids des critères, ainsi que les procédures d’agrégation. © Lavoisier – La photocopie non autorisée est un délit
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Aide à la décision et expertise en gestion des risques
Ces développements théoriques sont illustrés par trois situations opérationnelles qui concernent la gestion des risques et l’aide à la décision publique liées aux affaissements et mouvements de terrain dans trois zones emblématiques : le bassin ferrifère lorrain, le bassin minier du NordPasdeCalais et enfin une carrière sou terraine de gypse à Grozon dans le Jura. Ces situations permettent d’illustrer le soin qu’il faut apporter à l’inventaire des critères techniques, et à leur hiérarchisation, mais aussi comment une présentation claire de ces critères permet d’asseoir le processus de concertation entre les acteurs. Ce processus aura ainsi de meilleures chances de faire émerger des propositions de gestion optimisées.
Myriam Merad s’appuie sur ces exemples très techniques pour nous convaincre que l’analyse et la gestion des risques sont au carrefour de disciplines et de cultures trop souvent opposées, ou s’ignorant superbement, et qu’il est impératif de conti nuer à développer ces approches qui structurent le dialogue nécessaire, non seu lement entre les disciplines (sciences dures, sciences humaines et sociales), mais aussi, et de manière plus impérative, entre les parties prenantes.
Pierre Toulhoat,octobre 2009
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Cet ouvrage est le fruit d’une longue réflexion dont il convient d’en retracer les principales étapes. Elle a commencé vers 1999 avec la réalisation de travaux de recherche au sein de l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (INERIS), dont une partie de l’effectif était basée à l’École des Mines de Nancy, et en collaboration avec le Laboratoire d’analyse et de modélisation de systèmes pour l’aide à la décision (LAMSADE) de Paris Dauphine. Mes recherches se sont bien vite orientées vers la modélisation des processus d’expertise collective en situation d’appui à un décideur public. Francis Wojtkowiak, Christian Tauziède, Mehdi Goreychi, Pierre Jossien et JackPierre Piguet alors respectivement directeur du pôle modélisation et évaluation des risques géotechniques à l’INERIS, directeur de la direction sol et soussol à l’INERIS, délégué scientifique de la direction sol et soussol à l’INERIS, directeur de GEODERIS et professeur à l’École des Mines de Nancy m’ont offert un cadre et des conditions de travail d’exception, je leur en suis fortement reconnaissante. Les stimulations intellectuelles ne manquaient pas sous l’encadrement bien veillant de Bernard Roy, Thierry Verdel et Samy Kouniali. Je me rappelle des longues discussions que nous avons eu qui m’ont toujours conforté et encouragé dans mes recherches et ont, surtout, forgé ma culture en décision et en science des dangers et des risques. Je tiens à remercier Thierry Verdel pour sa disponibilité et sa gentillesse précieuse à plus d’un titre. L’accident AZF en 2001 nous a tous marqué. C’est à cette période que j’ai réo rienté mes travaux de recherche autour de la décision en univers ambigu et incertain. Ceci m’a permis d’élargir mon champ de vision sur la pratique de l’expertise. Fin 2003, je rejoignais la Direction des risques accidentels de l’INERIS pour renforcer les effectifs, sur l’appui au ministère de l’Écologie et du développement durable, dans le cadre des développements méthodologiques nécessaires à l’application de la loi Bachelot du 30 juillet 2003. Pour conforter cet appui, on m’a confié dès 2005 la création d’une unité d’étude et de recherche atypique sur un thème au centre des préoccupations de société : la gestion sociétale des risques. J’exprime toute ma gratitude à George Labroye, Jacques Repussard, Vincent Laflèche, JeanFrançois Raffoux, Pierre Toulhoat, Didier Gaston et Olivier Salvi respectivement ancien © Lavoisier – La photocopie non autorisée est un délit
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Aide à la décision et expertise en gestion des risques
directeur général, ancien directeur général adjoint, directeur général actuel, ancien directeur scientifique, directeur scientifique, directeur adjoint à la Direction des risques accidentels et délégué scientifique à la Direction des risques accidentels de l’INERIS pour avoir cru en cette nouvelle équipe, pour m’avoir soutenue pendant les moments les plus difficiles et m’avoir fait confiance au quotidien.
J’ai eu la chance de bénéficier de collaboration et d’appui scientifique qui m’ont permis d’élargir mon champ de vision autour des problématiques liées à l’expertise et à la décision dans le domaine de la sûreté, de la sécurité et de l’environnement. Un grand merci à Nicolas Dechy, Claude Hansen, JeanLouis Deschanel, Romuald Salmon, Chabane Mazri, François Beaudoin, Michel Llory et Yves Dien qui ont rendu possible mon épanouissement entre des échanges techniques et scientifiques de qualité et une amitié précieuse. Je n’oublierai pas l’appui inestimable et rare dans les moments les plus difficiles de Gloria Senfaute, Pierre Roux, Dominique Guionnet, Mohamed Boudalaa et Rabia Badreddine.
Il est agréable et tellement précieux de bénéficier de l’appui inconditionnel des personnes qui vous aiment. Cet ouvrage n’aurait ainsi jamais vu le jour sans les encouragements et les recommandations précieuses de mes parents et de mon frère.
Je tiens à exprimer ma gratitude à Franck Guarnieri, du Centre de recherche sur les risques et les crises (CRC) de l’École des Mines de Paris, pour m’avoir permis d’échanger, de confronter et d’acquérir de nouvelles connaissances sur les risques dans le cadre du GEMRisques (Groupement des Écoles des Mines sur la thématique des risques) mais aussi pour avoir rendu la publication de cet ouvrage possible.
Table des matières
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Table des matières
Préface. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ... . . . . . . . . . . . . . . .III Remerciements. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . V.. . Table des matières. . . . VII. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . Avantpropos.. . . . . . . . . . .1. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Introduction. . . . . . . . . . .5.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Première partie Organisation, risque et décision
Chapitre 1 L’expert : un acteur comme les autres face à des situations problématiques
1. Définitions, rôles et règles d’intervention de l’expert . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .13 1.1. Rôle de l’expert et limites de l’expertise scientifique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .14 1.2. Règles formelles et informelles de l’intervention de l’expert. . . . . . . . . . . . . . . . . . .15 2. Treize situations d’intervention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .16
Chapitre 2 L’étude de risque : un projet au sein d’une organisation
1. Étude de risque : un problème de décision ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .23 2. Étude de risque : un cadre pour l’expertise ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .25 3. Étude de risque : les aspects influençant son orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .26 3.1. Le niveau où se situe le problème de décision . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .27 3.2. L’information et la connaissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .28 3.3. Les contraintes internes et externes : spatiales, temporelles et stratégiques . . . . . . .29 3.4. La démarche et la culture dominante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .29 3.5. La criticité du contexte environnemental . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .30 © La4vo.isiePrr–éLadpihaotgocnoopisetniocncauotonritseéexetsut uenlddéliets 13 situations d’intervention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .31
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Aide à la décision et expertise en gestion des risques
Chapitre 3 Le cycle de gestion des risques : définitions et prise en compte
1. Le risque : un concept ambigu ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .41 2. Une distinction entre situations d’incertain, d’ambigüité, de hasard et d’incertitude . . . .43 3. Les quelques principes d’analyse et de gestion des risques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .46 4. Une lecture des 13 situations d’étude au vu des principes de gestion des risques . . . . . .51 Que fautil retenir ?. .53.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Deuxième partie Apport des méthodes multicritères d’aide à la décision
Chapitre 4 Méthodes multicritères d’aide à la décision pour l’étude du risque
1. Méthodologie multicritère d’aide à la décision : Pourquoi ? Pour qui ? Comment ? . . . .57 1.1. Des acteurs et des décideurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .58 1.2. Des objets d’étude : la notion d’actions potentielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .63 1.3. De la solution optimale à la solution satisfaisante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .63 1.4. Structure des préférences et fonction critère : comment élaborer un indicateur ? . . .64 2. Méthodes d’aide multicritère à la décision : les grands principes . . . . . . . . . . . . . . . . . . .67 2.1. Quatre problématiques de référence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .69 2.2. D’une évaluation partielle à une évaluation globale : l’agrégation . . . . . . . . . . . . .70 3. Quelle méthode multicritère d’aide à la décision choisir pour des études de risque (ER)?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . .70 4. Lecture MMCDA des 13 situations d’intervention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .77
Chapitre 5 Méthode d’aide multicritère à la décision de type ELECTRE pour l’étude du risque
1. Concepts et principes généraux des méthodes ELECTRE III et ELECTRE TRI . . . . . . .80 1.1. Du concept de surclassement en études de risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .81 1.2. De l’indice de crédibilité dans ELECTRE III et ELECTRE TRI . . . . . . . . . . . . . . . .82 2. La méthode ELECTRE III . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .8.5 3. La méthode ELECTRE TRI. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .8.6 3.1. Du concept de catégories . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .86 3.2. De la détermination de profils limites aux catégories dans la méthode ELECTRE TRI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ... . . .88 3.3. Des procédures d’affectation et de l’impact du rangement des catégories sur la hiérar chisation du risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ..89 3.3.1. Les deux procédures d’affectation d’ELECTRE TRI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .89 3.3.2. L’impact du rangement des catégories sur la hiérarchisation du risque dans la méthode ELECTRE TRI et deux procédures d’affectation d’ELECTRE TRI .92 4. De la signification et des modes d’identification des poids . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .92 4.1. De la signification des poids dans les études de risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .92
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