Internet Une chance pour l’Afrique , livre ebook

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Date de parution

01 janvier 2002

Nombre de lectures

0

EAN13

9782845862593

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

1 Mo

Jacques Bonjawo
Internet Une chance pour l’Afrique
Préface de Cheick Modibo Diarra Karthala
INTERNET, UNE CHANCE POUR L¬AFRIQUE
KARTHALAsur Internet : http://www.karthala.com Paiement sécurisé
Couverture :
Photo de lauteur.
Éditions KARTHALA, 2002 ISBN : 2-84586-259-8
Jacques Bonjawo
Internet Une chance pour l¬Afrique
Préface de Cheick Modibo Diarra Avant-propos de Patrick Baudry
Deuxième édition
Éditions KARTHALA 22-24, boulevard Arago 75013 Paris
À mes parents, Joseph et Rachelle À mes enfants, de mêmes prénoms Aux enfants d¼Afrique
REMERCIEMENTS
Que le Dr Cheick Modibo Diarra, ambassadeur de bonne volonté à l¼UNESCO, président fondateur de la fondation Pathfinder mais surtout connu comme astro-physicien à la NASA, ayant notamment piloté de main de maître le projet Pathfinder de la planète rouge · auquel il dut une réputation mondiale ·, trouve ici l¼expression de ma vive reconnaissance pour avoir préfacé mon livre. Cheick est un frère qui représente un exemple incon-testable pour la jeunesse africaine. Je tiens à remercier Patrick Baudry, astronaute-spationaute mais aussi ambassadeur de bonne volonté auprès de l¼UNESCO, pour son avant-propos à mon texte. Patrick est aussi un frère camerounais car il est né à Douala, et à ce titre, est le premier homme né en Afrique à aller dans l¼espace. Patrick et moi avons souvent voyagé en Afrique pour motiver les jeunes sur les questions de technologie et de l¼espace. Je remercie mon assistante, Jennifer Lifsey, du concours dévoué qu¼elle m¼a apporté dans la promotion de la première édition de cet ouvrage ; de même M. Hervé Bourges, président de l¼UPF, pour ses encouragements et suggestions fort utiles allant dans le même sens. Je remercie également le Dr Karima Bounemra Ben Soltane, directrice informatique auEconomic Commission for Africa(ECA) à Addis-Abeba, de m¼avoir permis de citer ou de reproduire des documents appartenant auAfrica Development Forum(ADF). Mes remerciements vont aussi aux personnes suivantes pour la relecture du manuscrit et leurs suggestions :
8 INTERNET, UNE CHANCE POUR L¼AFRIQUE Olivier Aknin, mon camarade de classe de math sup au lycée Carnot à Paris, actuellement ingénieur/chef de projet chez Renault. Il y a vingt ans, nous faisions ensemble nos devoirs de maths dans le métro parisien, et passions le plus clair de notre temps à jouer au football dans la cours de recréation du lycée ; Cyrille Nkontchou, managing director, LiquidAfrica ; Richard Noukelak, vice-président à KAFInvest et ancien conseiller à la Banque mondiale ; Jean-Paul Mvogo, ancien étudiant à Science-Po Paris ; Salomon Samen, senior economist, Banque mondiale ; Bruno Donat, development officer, African Virtual University (AVU) ; Bertin Bonjawo, mon jeune frère, network consultant chez Microsoft et Boeing ; Grace Assouma, responsable des relations publiques, MBAC ; Kathleen Charles, consultante internationale ; Moustapha Kante, vice-president, Dresdner Bank, Franckfort. Je remercie aussi Jacques Attali, président de PlanetFinance, pour ses conseils et sa contribution à la lutte contre la pauvreté dans le monde grâce à l¼Internet ; François Jay, directeur général d¼Afrique Initiatives, qui m¼a fourni non seulement une documentation de première main sur l¼Internet au Sénégal, mais aussi, après avoir relu le manuscrit, m¼a fait des suggestions fort utiles. Je tiens également à remercier Microsoft, mon employeur, pour m¼avoir accordé un congé de parternité prolongé · un mois ·, lequel m¼a permis de terminer cet ouvrage. Plus encore, pour m¼avoir gracieusement offert les locaux de son musée pour célébrer le dixième anniversaire de mon mariage avec ma femme. Last but not least, mes remerciements vont tout particu-lièrement à ma femme Jamie, en ce dixième anniversaire de notre mariage : ce livre n¼aurait pas vu le jour si elle n¼avait pas pris une part positive et importante à sa réalisation.
Préface
Jacques Bonjawo me fait l¢honneur de me demander de préfacer son livre. Je me fais un plaisir d¢accepter, naturellement, en raison non seulement de notre amitié, mais surtout de l¢importance du sujet traité au regard des problèmes d¢éducation et de développement en Afrique. L¢étude qui nous est proposée ici repose sur des réalités concrètes, souvent vécues par l¢auteur lui-même. C¢est dire qu¢elle s¢adresse au non-spécialiste sans aucunement trahir la quintessence des concepts. En ce début de siècle, des débats passionnés sur la troisième révolution industrielle et la mondialisation animent les milieux politiques, universitaires et des affaires en Afrique. Les espoirs suscités par le premier thème et les craintes qu¢entraîne le second ont leurs origines dans les multiples questions qui sont posées dès que les débats mènent vers l¢analyse. Nous sommes passé de la maxime qui faisait de l¢information le pouvoir à la notion de société de savoir menant à la conclusion que l¢information, sans le savoir permettant d¢en extraire la graine afin de la semer, n¢est pas valorisée. On ne peut non plus aborder la question du savoir sans parler de sa gestion. En effet, les individus, les organisations, et les pays ayant pris conscience et analysé l¢avantage compétitif que le savoir leur donne, se
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