Cybercafés de Bamako Les usages de l’Internet au prisme de la parenté et des classes d’âges , livre ebook

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Date de parution

01 janvier 2011

EAN13

9782811105259

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

1 Mo

Les terrains dusiècle
Cybercafés de Bamako
Lesusages de l’Internet au prisme de la parenté et des classes d’âges
Béatrice Steiner
CYBERCAFÉS DE BAMAKO
Cet ouvrage est publié avec le concours du Bureau de l’égalité des chances de l’Université de Lausanne et de la Société Académique Vaudoise
KARTHALAsur internet: http://www.karthala.com (paiement sécurisé)
© Éditions Karthala, 2011 ISBN : 978-2-8111-0525-9
Béatrice Steiner
Cybercafés de Bamako
Les usages de l’Internet au prisme de la parenté et des classes d’âge
Éditions Karthala 22-24, boulevard Arago 75013 Paris
Cet ouvrage est tiré de la thèse de doctoratUsages de l’Internet à Bamako. Des illusions universalistes aux contraintes des rela-tions de parenté, soutenue à l’Institut de hautes études interna-tionales et du développement (IHEID) en septembre 2009 (thèse n° 829), sous la direction du Professeur Gilbert Rist.
À mes parents et à mon frère, pour leur affection et leur soutien. À Boukary, Sékou, Daouda, Adama, Adam, Haby, Albert, Adjata, Talka, les Keita et à tous mes autresamis maliens, pour m’avoir accueillie, répondu si patiem-ment à mes innombrables questions et pour m’avoir fait découvrir les joies de la parenté ctive.
« La présence et la circulation d’une représentation [...] n’indique nullement ce qu’elle est pour ses utilisa-teurs. Il faut encore analyser sa manipulation par les pratiquants qui n’en sont pas les fabricateurs. Alors seulement on peut apprécier l’écart ou la similitude entre la production de l’image et la production secon-daire qui se cache dans les procès de son utilisation ». (de Certeau, 1990 :XXXVII)
Remerciements
Cette recherche n’aurait pu voir le jour sans l’appui de nom-breuses personnes qui m’ont transmis leurs connaissances, m’ont conseillée et m’ont encouragée. Mes premières pensées vont, bien sûr, aux personnes rencontrées sur le terrain, au Mali, à tous ces « alliés » qui m’ont accueillie chez eux et qui ont accepté de répondre à mes nombreuses questions. Leur patience a été exemplaire, tout comme leur gentillesse. Beaucoup d’entre eux sont d’ailleurs devenus des amis. Lors des mes déambula-tions cognitives et physiques dans les rues de Bamako, à la recherche des cybercafés et du sens à accorder aux pratiques que j’y observais, plusieurs personnes ont croisé ma route, notam-ment Younoussa Touré et Shaka Bagayogo, professeurs à l’Uni-versité de Bamako ; les entretiens qu’ils m’ont accordésm’ont permis d’approfondir mes connaissances sur l’organisation sociale au Mali. Boukary Barry et Talkali Wallet Aboubacrine, ont, quant à eux, été mes deux principaux « passeurs culturels » et m’ont aidée à décrypter ce qui, parfois, me semblait obscur. Bien souvent, ils ont été les premiers auxquels j’ai soumis mes ébauches d’hypothèses et nos discussions ont grandement con-tribué à les afner. Bamako, c’était aussi la maison à ACI 2000 dont la porte m’a été ouverte par les responsables de l’IMAS Bamako. Je remercie Daouda Diakité, Sékou Ballo, Boukary Barry et Dominique Rossier pour leur soutien logistique et rela-tionnel, mais surtout pour tous les moments conviviaux partagés dans nos maisons respectives, à Bamako et en Suisse. Enn, il faut rappeler que je n’aurais pu effectuer ces différents séjours sur le terrain sans le soutien nancier de la KfPE et de l’ex-IUED. Mes appuis furent également nombreux en Suisse. D’un point de vue académique, je dois beaucoup à Gilbert Rist, mon direc-teur de thèse, qui s’est engagé sans compter dans cette recherche. Son enthousiasme pour le sujet, l’énergie qu’il a déployée pour
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