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VOLTAIRE ET LA CHINE
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VOLTAIRE ET LA CHINE  OBJETS EXPOSÉS      LOrphelin de la Chine à Pékin   1. Yu Maoyang, Voltaire et la Chine , calligraphie originale, Shendong, 2002, Institut et Musée Voltaire, Genève.  Yu Maoyang est directeur de lInstitut des Beaux-Arts de Shendong, et membre de lAcadémie des Beaux-Arts de la République Populaire de Chine. Au départ uvre de commande, cette calligraphie a été offerte par lartiste à la Ville de Genève à loccasion de la présente exposition.   2. Voltaire, LOrphelin de la Chine , et Ji Junxiang, LOrphelin de la maison de Tchao, tragé-dies représentées en 1990 à Tianjin, films diffusés en continu pendant lexposition.  La traduction de M me Meng Hua a servi de base à cette production chinoise de la tragédie voltairienne. La mise en scène met en relief, dans une sorte de vision comparatiste, les deux tragédies de LOrphelin : la version chinoise traduite par le père de Prémare, et dont Voltaire eut connaissance par lintermédiaire de Du Halde, et celle que le maître des Délices sest fait fort de présenter aux Comédiens Français. On notera leffet de contraste produit par les deux mondes en présence : dune part le monde des personnages traditionnels de lopéra chinois, dautre part celui des figures plus stéréotypées de la tragédie française.  3. Voltaire, LOrphelin de la Chine , et Ji Junxiang, LOrphelin de la maison de Tchao, tragé-dies représentées en 1990 à Tianjin, photographies de scène, collection particulière.  En fond de scène, sur une estrade légèrement surélevée, lunivers à la fois très coloré et très lumineux des personnages de lopéra chinois présente lhistoire de La Maison de lOrphelin de Tchao , tragédie de Ji Junxiang traduite par le père de Prémare et dont Voltaire a eu connaissance par Du Halde. Sur lavant-scène, dans un espace de jeu plus conséquent, se déroule la tragédie de Voltaire. Le personnage de Zamti (gros plan) apparaît nettement plus âgé quIdamé, ce qui correspond effectivement au vu initial de Voltaire, mais a suscité des discussions lors des différentes reprises : comment, en effet, Gengis-Kan pouvait-il être jaloux dun vieillard ?.  4. Voltaire, LOrphelin de la Chine , et Ji Junxiang, LOrphelin de la maison de Tchao, tragé-dies représentées en 1990 à Tianjin, livret dacteur avec ratures et corrections, collection particulière.  Deux types de corrections apparaissent clairement : suppressions de quelques vers sans doute difficilement conciliables avec la représentation simultanée de la tragédie de Ji Junxiang, et retouches à la traduction. On dénombre en tout une vingtaine de corrections de dernière minute.  
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