Enfin !Enfin, le rêve va devenir réalité ; car je ne me doute pas du succès de l’entreprise de B. Maria, N. Mamelle, B. Michelon etB. Carbonne. S’il en était autrement, ce serait à désespérer de notre spécialité, et de ceux qui ont en charge son évolutionet son avenir, c’est à dire tous les praticiens, œuvrant dans le cadre de la périnatalogie.Car, chers amis, si vous ne vous engagez pas avec détermination, conviction, enthousiasme dans cette voie, ne caressezaucune illusion, vous acceptez le déclin, la soumission, la fin de l’indépendance professionnelle.Ce projet périnatal est votre chance de survie, votre seule chance. Si vous ne la saisissez pas, d’ici peu, vous serezencadrés, manipulés, exploités, dirigés, par les techniciens et technocrates plus ou moins compétents qui hantent couloirsministériels et officines informatiques.Il y a peu, notre ami à tous, G. Bréart, l’avait affirmé avec force dans un colloque : « l’informatique médicale doit être faitepar les praticiens ». Ce n’est pas dire qu’il faille en exclure informaticiens, ni surtout épidémiologistes, certes non, et nousnous réjouissons tous de la présence efficace parmi nous de personnalités aussi compétentes et actives que N. Mamelleou G. Bréart.Mais l’initiative doit demeurer entre les mains des praticiens de terrain. L’initiative, et la motivation, et la volonté.Et l’expérience du passé doit être retenue :Lorsqu’il y a près d’un quart de siècle un ministre de la santé, actif, intelligent et ...
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