2^2^.MEMOIRESDE LASOCIÉTÉ IMPÉRIALESCIENCES NATURELLESDECHERBOURG.(^li?J.-B. BAILLÈRE, libraire, rue Hautcfeuille, 19.cuEnnorno.FEl'ARDENT, imprimeur-libraire, rues des Corderies el Tour-Carrée.t855.^.MEMOIRESDE LA SOCIETE IMPÉRIALEDES SCIENCES NATURELLESDE CHERBOURG.2.s-s$.MÉMOIRESSOCIÉTÉ IMPÉRIALEDES SCIENCES NATURELLESCHERBOLRG.»• VO»i» ME.,^*^:ift^.L-,H,J.-B. BAILLKRE, librairie, nie liaiilelciiillc, 19,FEl'ARnK.N'T, impn'niciii'-lihi'iiire, riios dos (lonicrics r( Tmii-C irirc.NOTICEMACHINE DE RUHMKORFFTII.PAR M. DU MONCELLorsqu'un courant voltaïque circule en spirale autourfer, d'acier d'uned'un morceau de ou substance magné-quelconque il l'aimante et cettetique , , aimantation pour,d'une forcecertains corps doués coercitive non persistante,tels que le fer, disparaît aussitôt que le courant a cessé dela spirale métallique qui lui servicirculer dans a de conduc-phénomène constaté pour la premièreteur. Ce , fois parAmpère et Arago, peu de temps après laMM. découvertepar OErsted des réactions exercées par les courants surl'aiguille aimantée, a été le point de départ de l'électro-et de desmagnétisme la plupart applications mécaniquesl'électricité.deEn raisonnant d'après le système des réciproques, onaurait pu déduire à priori de ce phénomène, qu'un aimantcircuitpersistant réagissant sur un fermé disposé en spirale,devait déterminer dans ce circuit un courant électrique;mais ce ne fut que dix ans plus tard, ...
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