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N° d’ordre : 212-2009 Année 2009
THESE DE L‘UNIVERSITE DE LYON
Présentée devant
L’UNIVERSITE CLAUDE BERNARD LYON 1
L’ECOLE DOCTORALE INTERDISCIPLINAIRE SCIENCES-SANTE
pour l’obtention du
DIPLOME DE DOCTORAT
(arrêté du 7 août 2006)
par
Virginie LECOMTE
Rôle des facteurs de transcription SREBP-1
dans la fonction musculaire :
Implication des répresseurs transcriptionnels BHLHB2 et BHLHB3.
Directeur de thèse : Dr Etienne Lefai
Soutenue publiquement le 20 Novembre 2009, devant un jury composé de
Pr Chantal Simon Présidente
Pr Xavier Bigard Rapporteur
Dr Dominique Dardevet Rapporteur
Dr Damien Freyssenet Examinateur
Dr Etienne Lefai Directeur de thèse
tel-00583077, version 1 - 4 Apr 2011tel-00583077, version 1 - 4 Apr 2011tel-00583077, version 1 - 4 Apr 2011tel-00583077, version 1 - 4 Apr 2011Remerciements
Pour commencer ce (long) manuscrit, je sacrifie au traditionnel exercice des remerciements.
Etudiante en tout début de thèse, je considérais cet exercice inutile et futile, même si ces
quelques pages sont toujours les plus réjouissantes à lire d’un manuscrit de thèse. Mais alors
que cette belle (mais parfois difficile) aventure qu’a été ma thèse touche à sa fin, après plus
de quatre ans, je me rends compte que de sincères remerciements s’imposent. Car sans avoir
été bien entourée, professionnellement comme personnellement, les obstacles auraient été
plus difficiles à franchir.
Merci donc à tous ceux qui ont participé de près, de très près ou de plus loin à cette aventure.
A Madame le Professeur Chantal Simon pour avoir accepté de présider le jury de ma
soutenance de thèse.
Au Professeur Xavier Bigard et au Docteur Dominique Dardevet pour avoir accepté d’être
rapporteurs de ce travail et de m’accorder un peu de leur précieux temps.
Au Docteur Damien Freyssenet, pour avoir accepté d’ examiner ce travail, auquel il a
apporter son aide précieuse, en nous accueillant dans ces locaux à Saint Etienne et en nous
initiant à l’étude in vivo du muscle chez la souris. Pour son habileté à l’injection
intramusculaire et à la dissection.
Au Docteur Hubert Vidal pour m’avoir accueilli dans son unité, ou recueillie devrais-je plutôt
dire, après une première année de thèse avortée. Pour avoir eu confiance dans mes capacités
à rebondir et à m’adapter.
A Etienne, à qui je décerne ici le prix du meilleur directeur de thèse. Il n’aime ni les
honneurs, ni les compliments, il me répondrait donc certainement que ce paragraphe est
inutile car il n’a fait que son travail. Seulement voilà, il le fait bien. Avec une grande
pédagogie. Toujours disponible mais pas trop présent. Sachant remotiver ses troupes lorsque
le moral scientifique est à la baisse. Se réjouissant avec nous (parfois même plus que nous)
d’un beau résultat. Enthousiaste et passionné. Merci de m’avoir transmis ton savoir
moléculaire et ton goût de la « Bonne Science ». J’espère avoir été à la hauteur de ton
exigence scientifique au cours de ces trois années.
A l’ensemble des membres de l’U449 puis de l’U870 pour entretenir l’esprit accueillant et
l’ambiance conviviale de ce laboratoire.
Aux chercheurs de l’unité, Sophie, avec qui j’ai partagé une fructueuse colaboration, mais
aussi Anne-Marie, Jennifer, Brigitte, Georges ainsi que Martine et Danielle qui nous ont
récemment rejoints, toujours disponibles pour livrer conseils avisés et encouragements.
A tous ceux qui m’ont accompagnée au cours de cette thèse.
5
tel-00583077, version 1 - 4 Apr 2011A la Amsterdam team, fine équipe.
Avec par ordre alphabétique pour ne vexer personne:
Amélie, appellation scientifique : Homo Teckelus, animal au premier abord un peu revêche et
quelque peu agressife, mais qui se révèle avoir un fond gentil et un tempérament de
clown…Oups ! Pas trop de compliments car a une tendance au gonflement des chevilles très
rapide (si, si, à en faire craquer les fermetures éclairs de ses bottines…) Pour soigner une
crise intempestive, tu peux toujours composer mon numéro en urgence, au besoin je me
déplace. A nos soirées partagées à pratiquer le grimelin, l’alien et mon préféré, la
marmotte…Tout ce petit bestiaire bien sympathique va me manquer… Ils sont tous si
attachants…
Cécile, ses « ça m’agace » dégénérant au file de la journée en « ça me soûle, ça me re-
soûle » puis « ça me b… ! » (L’expression est bien trop vulgaire, surtout pour les gens du Sud
paraît il, pour être ici inscrite), ont rythmé la vie de notre bureau, au son de ce discret mais si
charmant petit accent Aurillacois. Mais ces petites râleries n’entamment en rien la bonne
humeur perpétuelle de ce petit bout de femme dynamique et pétillant avec qui le fou rire n’est
jamais loin. A nos échanges de fromages de nos régions respectives, elle, Le Cantal, moi, La
Savoie, bref ce qui ce fait de meilleur en France, en Europe et dans le monde je pense.
Combien de fois auront-nous soupiré ensemble pour un bon morceau de fromage
accompagné bien sûr d’un bon verre de vin ! A nos discussions, passées et surtout
prochaines, sur les nombreux plaisirs de la vie…
Diane, « caillera de la téci nantérienne » qui a fait ses classes avec la bourgeoisie
Neuillienne (en compagnie de la nièce Sarkozy…si besoins de piston), la parisienne, pardon,
la banlieusarde du labo, qui a finit par quand même trouver des avantages à la vie
lyonnaise : mais oui à Lyon on a des musées, des théâtres, des salles de concert et même des
cinémas multiplexes et en plus les films sortent en même temps qu’à Paris… Z’auréole un peu
ricaine sur les bords (un séjour aux states en pleine adolescence laisse des traces…), c’est un
joli melting pot culturel à elle toute seule…Bonjour à ta grande sœur, le futur docteur en
lettre « pff ! », quand tu iras la voir (pas) au Texas. Et surtout, Nanterre pas tes Rêves !!!
Manu, le Manu de Diane, pour l’identifier, car dans le labo, trois Manu différents co-
habitent, la Petite, la Grande, et…Le Manu de Diane. Certes ce surnom fait un peu « Homme
objet », mais il aime ça apparemment, jusqu’à partir en vacances avec 5 filles un peu
allumées. Et oui c’est lui l’homme de la Amsterdam team, qui a supporté avec patience et
docilité une bande de fille en goguette accros au shopping et aux discussions de
chiffons…j’espère que cette expérience, n’aura pas été trop traumatisante. Merci pour le petit
coup de pouce chocolat quand j’en avais besoin, mais chut…il ne faut pas trop ébruiter cette
réserve secrète…
Sévy, Mamy pour les intimes…mais qui est restée très, très jeune dans sa tête. Faut dire que
la compagnie des jeunettes du fond du labo, ça conserve la vivacité d’esprit ! La ch’ti du
labo, d’origine picarde certifiée (ça maîtrise du patois le confirme), elle a la gentillesse et la
générosité des gens de là-bas. Comment ça le prince charmant ne l’a pas encore trouvée ?
C’est que ce n’est pas évident de la suivre : de la Louisiane à Melbourne, de Lyon Sud à
Oxford pour peut-être se poser enfin à Paris. Globe trotteuse qui aura réveillé mes anciens
rêves d’Australie grâce à son enthousiasme communicatif pour ce pays… Et oui la fautive
c’est elle si maintenant à mon tour j’ai envie d’aller rendre visite aux kangourous…
d’ailleurs si t’en connais deux ou trois sympas qui pourraient me trouver un job…
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tel-00583077, version 1 - 4 Apr 2011A Rami, qui aurait eu sa place dans la Amsterdam team s’il était arrivé au labo dans le bon
timing. Le transfuge libanais de la Doua à Lyon Sud. Tant pis pour les Villeurbannais,
maintenant c’est nous qui profitons de sa bonne humeur, de son humour, de son
bavardage…et de sa mauvaise fois. Une bonne recrue tout de même dans notre bureau, dont
nous avons fais, avec Cécile, petit à petit l’éducation. Il tient à cultiver son image d’homme
fort libanais à coup d’expressions machistes : « Faîtes votre travail les filles », lorsque nous
rangions notre bureau ou vidions les poubelles, « Euh…j’ai besoin de toi, tu peux m’aider »
en me montrant une montagne de vaisselle sale…Mais ce n’est qu’une façade, une fois, il
nous a même fait la notre, de vaisselle !
A Sara, qui a délibérément refusé de faire parti de la Amsterdam team. Comment ça tu as
déjà pris un mois d