De la natureLucrècetraduction Nisard traduction Lefèvre De la nature (traduction Nisard)De la natureLucrèceTraduction M. Nisard, Paris, 1857Livre I Livre IILivre IIILivre IVLivre VLivre VIDe la nature des choses (traduction Lefèvre)De la nature des chosesLucrèceTraduction André Lefèvrenouvelle édition, Paris, 1899TABLE DES MATIÈRES>>DE LA NATURE DES CHOSESLIVRE PREMIER>>>>LIVRE DEUXIÈME>>>>LIVRE TROISIÈME>>S O M M A I R E. — Éloge d’Épicure. Exposition : maux qu’entraînent l’ignorance de la nature de l’âme et la crainte de la mort, v. 1-99.— L’âme et l’esprit, ou raison, sont des parties du corps, de structure analogue. L’esprit siège dans la poitrine ; l’âme, qui lui obéit,est répandue dans le corps, v. 100-182. — L’âme et l’esprit sont faits d’atomes très subtils, très mobiles, v. 183-293. — Lestempéraments de l’âme, chez l’homme aussi bien que chez les animaux, sont déterminés par la proportion des éléments qui laconstituent. v. 293-327. — L’âme, intimement unie au corps, est comme lui mortelle ; elle naît, croit, vieillit ave lui, en ressent lesmaux, en partage l’agonie, et s’en échappe avec le souffle, v. 328-556. — L’âme ne peut exister sans un corps qui la contienne etdes organes qui l’impressionnent, v. 557-636. — Si elle était immortelle, il faudrait qu’elle conservât des sens après la mort, v. 637-684. — L’âme ne se souvient d’aucun fait antérieur à la vie, v. 685-694. — Autres raisons de la mortalité de l’âme, v. ...
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