Léon Trot sky :Léon Sédovle fils – l 'ami – le mi litantdédié à la jeuness e prol étarienne 20 février 1938A l 'instant où j 'écris ce s l ignes, à côté de la mèr e de Léon S édov, d es t élégrammes me parviennent dedivers pays, m' apportant l'expression de condoléances. Et chacun d e c es t élégrammes sus cite l a mê meet ins upportable qu estion : "A insi tous no s a mis de France, de Holl ande, d'An gleterre, des Et ats-U nis e t du Can ada e t d'ici, auMe xique, considèrent c omme définitif le f ait que Sédov ne soit p lus ? "Chaque t élégramme es t un e p reuve nouv elle d e sa m ort. Et pou rtant, nous ne pouvons en core y cr oire.Et non p as se ulement pa rce qu'i l es t not re fils, f idèle, dévoué, a imant. M ais a vant tou t, parce qu e plusque qui conque au monde, il es t e ntré da ns not re vi e, s'y est lié avec ses r acines, com me camaraded'idées, com me collaborateur, com me gardien, c omme conseiller, comme am i.De cette g énération a înée, dans l es ra ngs de l aquelle nous som mes ent rés à la fin du s iècle de rnier, surla r oute de la Ré volution, tous, sa ns e xception, ont été balayés de l a s cène. Ce qu e n'ont pu f aire lesbagnes du ts ar, l a dé portation r igoureuse, les be soins d es a nnées d' émigration, l a g uerre civile e t l esmaladies, St aline l 'a f ait au c ours de s d ernières a nnées, comme le f léau l e plus malfaisa nt de larévolution.
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