Documents Rencontres08_PresentationTR1_Vparis (262,93 Ko) Rencontres08_PresentationTR1_TCueni (167,38 Ko) Rencontres08_PresentationTR1_LRochaix (122,26 Ko) Rencontres08_PresentationTR1_MOCarrere (118,55 Ko) Rencontres08_PresentationTR1_GdePouvourville (137,13 Ko) Mis en ligne le 25 nov. 2008 Table ronde 1 du 18 décembre 2008 de 11h30 à 13h Copyright HAS - MMStudio - JP Quevilly La stratégie retenue par la HAS pour la mise en œuvre des nouvelles missions économiques qui lui sont confiées par la Loi de Financement de la Sécurité Sociale 2008 (LFSS) s’articule autour de deux dimensions : • l’aide à la décision publique, notamment dans le cadre d’actions et programmes de santé publique (dépistage, prévention, organisation des soins), mais également dans le cadre de l’admission au remboursement des produits de santé ; • l’aide à la décision professionnelle, en intégrant les aspects économiques dans la hiérarchisation des interventions diagnostiques ou thérapeutiques proposées aux professionnels. Cette stratégie est le fruit d’une réflexion préalable, menée par le groupe SERC (Service Rendu à la Collectivité) et dont les travaux ont été rendus publics lors des précédentes journées (17 décembre 2007). Elle vise à compléter les évaluations médicales des technologies (dispositifs médicaux, actes, médicaments) menés jusqu’alors par la HAS par une dimension plus globale (dimension économique, sociale, éthique), pour être en cohérence avec les travaux d’évaluation des technologies (Health Technology Assessment - HTA) réalisés depuis une vingtaine d’années dans les pays industrialisés. Avec la constitution en juillet 2008 d’une commission pluridisciplinaire dédiée à l’évaluation de cette dimension collective, dénommée CEESP (Commission d’Evaluation Economique et de Santé Publique), la HAS s’inscrit dans cette direction. Deux questions seront abordées lors de cette table ronde : • la légitimité d’une évaluation nationale, à la lumière notamment du rapport publié par l’OCDE en 2008 sur la comparaison des modes de fixation des prix et de remboursement des médicaments ; et de manière liée, la capacité des institutions nationales et réseaux européens de HTA à collaborer sans pour autant converger vers un modèle unique de recommandation ; • la capacité des économistes à mobiliser des techniques robustes et innovantes pour améliorer l’interface entre recherche et décision en santé. Deux dimensions seront plus précisément abordées : comment mesurer la valeur collective d’améliorations de la qualité de vie et comment prendre en compte les préférences tant des usagers que des citoyens ? Interviews vidéos de Lise ROCHAIX - Membre du collège, Haute Autorité de Santé Interviews vidéos de Catherine RUMEAU-PICHON - Adjointe à la direction de l'évaluation médicale, économique et de santé publique, Haute Autorité de Santé Consultez les diaporamas d'intervenants en bas de page Intervenants : Quelle place pour une évaluation économique nationale ? Valérie PARIS - Economiste, OCDE Y'a t-il une convergence des modes de fixation des prix et des remboursements dans les pays industrialisés ? Thomas CUENI - BIAC (Business and Industry Advisory Committee), OCDE Quelques questions suscitées par l’HTA : le point de vue de l’industrie. Lise ROCHAIX - Membre du collège, Haute Autorité de Santé Quelle place et rôle pour l’évaluation économique à la HAS ? Quelle capacité pour les économistes à innover en matière de méthodes ? Marie-Odile CARRERE - Economiste de la santé, GATE (Groupe d’analyse et de théorie économique) Pourquoi et comment prendre en compte les préférences individuelles et collectives ? Gérard de POUVOURVILLE - Professeur, titulaire de la Chaire ESSEC Santé, ESSEC Business School Comment mieux mesurer la valeur ajoutée des technologies : l’exemple de la qualité de vie ? Modératrice : Catherine RUMEAU-PICHON - Adjointe à la direction de l'évaluation médicale, économique et de santé publique, Haute Autorité de Santé Mis en ligne le 25 nov. 2008
Voir