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Communiqué de presse Téléphonie mobile, technologies sans fil et ...
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Français

République Française
OFFICE PARLEMENTAIRE DÉVALUATIONDES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES
Communiqué de presse
Téléphonie mobile, technologies sans fil et santé : sortir du manichéisme
11 uin2009
M. Alain Gest, député, a organisé le 10 juin 2009, dans le cadre de l’étude sur les conséquences éventuelles pour la santé de la téléphonie mobile, une audition publique sur la téléphonie mobile et les technologies sans fil. Ouverte parM. Claude Birraux, député, Président de l’OPECST, l’audition a rassemblé des parlementaires, des scientifiques, des associations et des opérateurs. LePrésident Claude Birrauxinsisté sur le rôle d’interface que l’Office – et au-delà le a Parlement – devait jouer, à travers les auditions publiques, entre la communauté scientifique et les citoyens. Une telle exigence est d’autant plus forte que, malgré le succès commercial incontestable du téléphone mobile, des controverses traversent la communauté scientifique et deviennent un enjeu de société très médiatisé. M. Alain Gest, député, a insisté, dans son propos introductif, sur la nécessité de prévenir toute diabolisation des développements technologiques et d’engager une réflexion prospective sur les conséquences de ces derniers. Il s’est déclaré perplexe devant la diversité des réponses apportées par les scientifiques aux problématiques, telles que les effets du téléphone mobile sur les enfants, l’existence ou l’inexistence d’effets non thermiques associés à l’exposition aux radiofréquences et les incidences éventuelles du brouillard électromagnétique. Dans la première table ronde,Mme Martine Hours, Présidente du Conseil scientifique de la Fondation santé et radiofréquences et responsable pour la France de l’étudeInterphone, a tout d’abord rappelé l’objet et les outils de l’épidémiologie. S’agissant de l’étudeInterphone, elle a indiqué que celle-ci avait pris en compte les différents biais envisageables: entre autres, sélection de l’information, facteurs de confusion, troubles de mémoire. Evoquant les liens entre cancer et radiofréquences,Mme Martine Hours, tout en soulignant l’importante hétérogénéité des études publiées, a déclaré que s’il n’existait pas d’effet notable en cas d’exposition inférieure à dix ans, en revanche, des tumeurs, telles que le neurinome, le gliome ou affectant la parotide pourraient se développer. Monsieur le Professeur François Berger, chercheur à l’INSERM, a évoqué les effets biologiques des ondes électromagnétiques observés par les différentes études, sur la génotoxicité, les voies de signalisation cellulaire et la barrière hématoencéphalique.
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