C-ë.i.11 -i. ''-^K ^: 231 froideurchacun garde son quant à soi, ce qui met un peu de nos réunions elles n'ont lieu qu'au repas. archi-dans Entre; nous sommes très-unis : on nous trouve fiers, je netectes, sais pourquoi. Je suis souvent avec Duc, Labrouste et Duban mais eux-mêmes qui voudraient être plus de temps avec moi, regrettent d'être retenus dans leurs chambres par leurs envois. voir lesQuand il fait beau , Duc et Labrouste me conduisent Vatican. M. Guérin aantiquités. Duban m'a mené lundi au jeudi le dimanche : rien n'est plus triste. Ilses soirées le et n'y a que des hommes , et c'est à peine si on ose parler. Com- une journée,bien il est pénible, après avoir travaillé toute Enfin, je doisde ne pas trouver un motif de distraction!... regretterai cette Rome qui m'at-croire ce que l'on me dit : je triste aujourd'hui; mais n'en serai pas moins bien heureuxje le jour oii je rentrerai au sein de ma famille et de mes amis. Hélas sera dans cinq ans ! Je compte les jours : en voilà! ce déjà douze que je suis pensionnaire. )) Une de ses observations touchant les concours pour le prix Dans lede Rome, mérite d'être remarquée. « programme du tropgrand prix, donné par l'Institut, il y a beaucoup de ter- rain faire lâche. Leurs com-ce qui habitue les concurrents à, positions fermeté. Si chaque édi-manquent de concision et de fice eût occupé à la place qu'occupe chaqueautrefois , Rome, année le grand prix, Rome monuments auraient envaliiet ses toute l'Italie.
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