Le mille et unième mensonge des capitalistes

icon

2

pages

icon

Français

icon

Documents

Écrit par

Publié par

Lire un extrait
Lire un extrait

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne En savoir plus

Découvre YouScribe et accède à tout notre catalogue !

Je m'inscris

Découvre YouScribe et accède à tout notre catalogue !

Je m'inscris
icon

2

pages

icon

Français

icon

Documents

Lire un extrait
Lire un extrait

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne En savoir plus

Publié par

Langue

Français

La «Pravda» n° 73, 17 (4) juin 1917 Conforme au texte de la 1917 «Pravda» Œuvres t.25, pp. 4344, ParisMoscou Lénine Le mille et unième mensonge des capitalistes LaRetchécrit aujourd'hui dans son éditorial : «Si un Lénine agissait en Allemagne, avec l'aimable concours étranger desRobert Grimmdes etRakovski, il resterait à supposer que l'Internationale ne veut pas empêcher la grande révolution russe d'affermir ses positions et, ce qui est le principal, de creuser profondément son sillon. Mais les Allemands ont pour l'instant répondu avec politesse n'avoir pas besoin de république et être satisfaits de leur Guillaume. LeVorwärts[1], par exemple, est plus poli encore : il démontre que la démocratie russe ne doit pas tolérer les traités secrets ; sur la démocratie allemande l'organe socialiste garde modestement le silence. » Que « les Robert Grimm et les Rakovski » aient prêté le moindre « concours » aux bolchéviks (avec qui ils ne furentjamaisd'accord), c'est faux. Confondre les Plékhanov « allemands » (ce sonteux, et eux seuls, qui écrivent dans leVorwärts) avec lesinternationalistes révolutionnaires allemandsenfermés parcentainesdans les prisons allemandes (telKarl Liebknecht), c'est le mille et unième mensonge
Voir icon more
Alternate Text