COMTE U IIAUSSONVILLE nv r Vi'Alii-MIR FRANÇAISE LA DLUHESSE DE BOURGOGNE J/ALLIANCK SAYOYAIMIE SOCS I.OIITS XIV /jt/t^^ Jqu'à niellre en accusation les d'avoir collaboré au traitéministres coupables de corruption aidant, il lirapartage. La pression et la nouvelles un Parlement partagé à peudes élections moitié, où whigs et tories se disputaient laprès par mais se réunissaient dans un commun sen-majorité, de haine contre la France. En effet, au moistiment janvier 1702, le nouveau Parlement mettait àde l'unanimité d'importants subsides à la disposition de Guillaume III pour soutenir la guerre contre la France. C'était payer cher la faute, mais c'est encore Voltaire qui a porté l'appréciation la plus équitable, «lorsqu'il a dit, dans son Siècle de Louis XIV^ : 11 l'Angleterre se seraitparaît très vraisemblable que quand même iltoujours déclarée contre Louis XIV^ le vain titre de Roi au fds de Jacques IL »eût refusé savons au reste par Saint-Simon que, dès leNous moment même, l'acte de Louis XIV fut diverse- ment jugé. « Ce ne fut, dit-il, qu'applaudissements et que louanges. Le champ en étoit beau; mais les réflexions ne furent pas moins promptes, si elles '.moins publiques » les poli-furent On savait que édit.i. Sainl-Siinon, Boislisle, t. IX. p. 2SS. DÉCLARATION DE GUERRE. 37LA pro-comme Beauvilliers, Torcy s'étaienttiques amis désap-noncés contre la reconnaissance, et leurs observatrice sou-prouvaient à voix basse.
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