L’EFFET TUNNEL par Miles Mathis Ce second des cinq problèmes de « chimie impossible », publié récemment par le New Scientist, est beaucoup plus facile à détruire que le premier, qui s’occupait des quasi-crystaux. Dans les années 1970, Vitali Goldanski proposa l’effet tunnel comme solution aux réactions moléculaires froides dans l’espace. C’est ce qui arrive quand des physiciens tentent de répondre à des questions à l’aide d’une théorie qui est déjà compromise au niveau fondamental. Vous pouvez voir ce problème comme un produit dérivé de la théorie de la catastrophe du vide, grâce à laquelle les équations quantiques sont erronées d’environ 120 ordres de magnitude. Du fait que tous les domaines de la physique sont erronés en ce qui concerne les tailles, à la fois dans l’absolu et relativement l’un à l’autre, ni les physiciens, ni les astronomes, ni les chimistes ne possèdent un champ pouvant expliquer les actions, les réactions et les évènements qui s’y déroulent. Ils sont dès lors forcés de manipuler leurs équations afin de les faire coïncider avec les données. L’effet quantique n’est rien d’autre qu’une manipulation évidente de plus, tout comme les particules virtuelles, la brisure de symétrie, l’emprunt au vide, la renormalisation, la causalité inversée, l’intrication et ainsi de suite. L’effet tunnel est (ou devrait être) la manipulation la plus embarrassante et la plus transparente de toute l’histoire de la science.
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