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L'histogramme Partie 1/2 - L'histogramme mis à nu. (Première ...
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Français

L’histogramme mis à nu
. (Première partie)
Qu’est-ce qui différencie un photographe numérique d’un photographe argentique ? A cette
question sans intérêt, j’aurais tendance à répondre : l’histogramme. En photo numérique, ce
dernier est en effet présent dans toute la chaîne de production, de la prise de vue jusqu’au
post-traitement. Mais le bougre est rebutant et nombreux sont ceux qui ne s’en soucient que
lorsqu’il est trop tard : juste avant de passer la photo à la poubelle… pour les plus réalistes
d’entre eux !
Avant d’en arriver à cette extrémité, commençons par le début :
Que raconte l’histogramme ?
Vous n'ignorez pas qu'une photo est
constituée de multiples points (pixels) et
comme vous êtes observateurs, vous avez
remarqué que certains sont plus lumineux
que d’autres…
L’histogramme
donne
simplement
la
répartition des pixels selon leur luminosité.
Il les compte du noir au blanc, en passant
par tous les états intermédiaires du sombre
au clair, sur un total de 256 niveaux.
Chaque niveau dessine une barre verticale
dont la hauteur est d’autant plus importante
que le nombre de points est élevé.
Ces barres sont dessinées côte à côte, la plus à gauche représentant les pixels strictement
noirs, la plus à droite comptant les pixels strictement blancs. (NB : certains appareils ou
logiciels présentent également des histogrammes pour les canaux Rouge, Vert et Bleu, voire
même les couleurs complémentaires. Le principe reste le même, mais appliqué à la couleur
concernée, du sombre au clair)
S’il n’y a pas de pixels noirs, (comme sur l’exemple ci-dessus) il n’y a pas de barre à gauche.
S’il n’y a pas de pixels blancs, il n’y a pas de barre à droite. Ce constat ne pointe pas
obligatoirement un problème : photographiez un ciel d’été ; si vous avez des pixels noirs,
c’est que vous avez simultanément shooté un vol de canards…
Voici quelques exemples bien caricaturaux pour expliquer la théorie :
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