an Paul était aussi un excellent imateur. s saint pierrains se souviennent sa participation très active rs des fêtes aux écoles mais ssi lors des premiers Téléthons il tenait le micro 30 heures nsécutives. Il participa aussi à usieurs Fête de la Musique de Pierre avec son orchestre. ean-Paul ARRONDELLE était que les saint pierrains ont appris na ure emen c es ean- au marié et père de 4 enfants. le 22 juillet le décès subit de qui en prit la direction quand St Pierre Info s’associe à la peine dJeea5n-6PaanuslseAuRleRmOeNnDt,ELJLeEa.n-PAagulées1no9n7189p.8èQr3euJaeensatdnl-paParaFtiualnepfnaorrueertsdruiasiivtpeareuntdetoussesproches.it sa était un très bon musicien et un passion de la musique en créant eMxucseillceientn,ainlijmoautaeitur.dutromboneunorchestrequiassuraitdenombreuses animations. Bienvenue à Quantin Il est né le 20 août dernier et Les élus, les services c’est le fils de Samuel LACOMBE administratifs et techniques, les « l’informaticien du lundi » à la personnels des écoles remercient mairie et aux écoles. Le 27 août Samuel pour les 5 années de le personnel s’est retrouvé à la collaboration efficace passées fois pour un pot de bienvenue parmi nous. pour Quantin et pour un pot d’aurevoir à Samuel qui rejoindra en septembre DECAZEVILLE dans sa région d’origine.
C’est la Rentrée !
Les travaux d’extension de l’école maternelle sont presque achevés Prs de 400 coliers ont repris le chemin de l’cole : plus de 220 à l’cole lmentaire rpartis en 9 classes, 160 à l’cole maternelle rpartis en 6 classes. Afin que l’accueil de ces coliers soit bien assur la municipalit a beaucoup œuvr durant l’t. A l’école maernelle : L’extension de l’école sera opérationnelle à compter du 1er novembre. Une nouvelle classe a été réalisée mais aussi un espace multi-fonctions pour l’accueil des enfants en soutien scolaire, la bibliothèque centre documentation et une salle de réunion. Les artisans pratiquement tous locaux ont mobilisé toutes leurs compétences pour cette réalisation techniquement difficile qui s’intègre parfaitement avec les bâtiments existants. A l’école élémenaire : La municipalité a libéré un logement au rez de chaussée de l’école pour les besoins de l’équipe éducative qui ainsi disposera de plusieurs salles (réunion, rangement, espace cantine des maîtres…). En plus de ces investissements la municipalité assure la gratuité de toutes les fournitures scolaires. Les parents d’élèves Saint Pierrains ne connaissent donc pas les listes de fournitures et les achats dans les supermarchés dont les séances alimentent de nombreux reportages aux actualités télévisées. Les serices peri-scolaires : z Les cantines : près de 180 enfants fréquentent les restaurants scolaires : plus de 50 à l’école maternelle, 120 à l’école élémentaire. La municipalité s’efforce de pratiquer des tarifs raisonnables en prenant en charge une partie des frais de fonctionnement (environ 25 % en élémentaire, 45 % en maternelle). La mise en place du quotient
familial s’avérant très compliquée (éléments de calcul incomplets, grosse disparité dans les tarifs…), la décision prise a été d’aider à hauteur de 20 % du prix du repas les familles qui disposent d’un quotient familial inférieur à 500 dans le cas de l’abonnement (4 jours par semaine) z Les garderies périscolaires : Elles sont de plus en plus fréquentées. Là aussi la municipalité prend en charge une partie des coûts de fonctionnement. z La crèche halte garderie : Depuis un an, elle fonctionne au premier étage de la mairie. La municipalité a réalisé les investissements nécessaires et son fonctionnement est assuré par l’association « Les Petits Pierrots » (Présidente Karine ROMERO, Trésorière Claudine OURDOUILLIE, secrétaire Florent ROCHER) L’idée de base est que le coût de fonctionnement soit supporté pour 1/3 par les familles, pour 1/3 par les diverses subventions (CAF, Conseil général…) et pour 1/3 par la municipalité. Sa capacité est de 12 places, soit 47 enfants accueillis par foisonnement. Depuis plusieurs mois la municipalité travaille sur un projet de réalisation d’un équipement petite enfance. Le terrain qui a été acquis en juillet est situé derrière l’école maternelle. Cet équipement comprendra une structure RAM (Relais Assistantes Maternelles) et une structure multi accueil d’une capacité de 15 à 20 places, des espaces extérieurs de jeux et des aires de stationnement. Cela représente 400 m² de surfaces construites pour un coût qui avoisinera le million d’euros. En cette rentrée de septembre 2007, c’est l’occasion de dire à tous les écoliers de St Pierre qu’un jour, ils se souviendront de leurs maîtresses ou maîtres d’école comme nous le rappelle Didier PERRIN qui a quitté l’école de St Pierre en 1987, il y a déjà 20 ans ! (p.4)
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Hommage dun enfant du pays à ses instituteurs : Madame et Monsieur Font
point de vue orientation, pu c toyer des personnes d’exception qui m’ont rellement menes au mtier que j’exerce actuellement : enseignant-chercheur. C’est sûr, ça date ! Imaginez un peu : 1987-1988 ! 20 ans djà ! A l’époque, pas de portables téléphoniques, encore moins de ipods ou autres gadgets électroniques s u p e r - s o p h i s t i q u é s , v r a i s e m b l a b l e m e n t indispensables pour les gosses d’aujourd’hui asservis à des technologies de plus en plus coûteuses. J’avais donc dix-onze ans et j’étais en CM1-CM2. Comment qualifier ces professeurs ? Je dirais simplement des instituteurs hors pairs, voire « pédagosaures ». Néologisme traduisant simplement et affectueusement des personnes enseignant à l’ancienne tout en ayant des méthodes originales et un amour des élèves indéniable. Ah c’est sûr, la semelle – pointure 42 – du « Père Font » s’imprimait parfois gracieusement sur le fessier d’un camarade un peu trop loquace et on entendait de temps en temps les douces remontrances d’opéra de Mme Font soudainement embellir la salle de cours d’un son mélodieux…et criard quand un chahut un peu trop envahissant se faisant ouïr à l’horizon. Passons évidemment les coups de règle Plexiglas sur les doigts… C’est sûr, de nos jours, la seule pensée de tenter d’effectuer de tels gestes serait passible de la cour martiale ! Pourtant, un peu de discipline ne tue pas !... Mais quels résultats ! Un respect mutuel entre élèves et réciproque vis-à-vis des professeurs conduisant tout naturellement à l’envie d’apprendre et surtout d’écouter. L’enseignement, certes, était régi par le programme scolaire, mais la façon de l’enseigner était, là, véritablement propre à Mme et M. Font. Ce que je retiens de ces années, c’est l’acquisition de méthodes, d’un esprit d’initiative (je suis devenu trésorier en CM2, alors tout timide à l’époque !) et d’ouverture aux technologies (informatique, etc.)… et donc forcément aux sciences. Bien évidemment, à dix-onze ans, on ne résout pas encore les équations de la relativité d’Einstein, encore moins les intégrales triples curvilignes, mais, Mme et M. Font ont su, de part leur pédagogie, m’apporter ce petit quelque chose, une sorte d’étincelle culturelle et scientifique, qui m’a fait me passionner pour les choses à comprendre, les « comment ça
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marche ou pourquoi c’est comme ça ? ». Je leur dois cet éveil combiné à un farouche désir de toujours aller plus loin sans jamais baisser les bras face à l’adversité. Aujourd’hui, après un Baccalauréat S, un diplôme d’Ingénieur en Matériaux en poche, une Maîtrise de Chimie et un Doctorat en Chimie des Matériaux (thèse ayant eu le Prix de l’Innovation 2006 décernée par l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), je me suis tourné tout naturellement vers la Recherche tout en transmettant, à mon tour, en tant qu’enseignant-chercheur de l’Ecole des Mines d’Alès dans le Gard, mon savoir. J’essaye, tout comme mes « instits préférés », de dispenser le mieux possible et de manière assez conviviale cet enseignement, en n’omettant pas la rigueur cartésienne dans l’approche pédagogique qu’est l’apprentissage des sciences dites dures. C’est clair, sans eux, je n’en serais pas là. Merci infiniment…
Didier Perrin, lve de CM2…d’il y a 20 ans ! COMMUNIQUÉ DE PRESSE Les pleurs de l’enfant déclenchent des réactions de stress du fait de leur intensité et le la difficulté de les comprendre. Face à un nourrisson qui pleure, le parent ou le gardien peur passer à l’acte et secouer l’enfant pour le faire taire. Afin de prévenir ce geste, l’UNDDE a élaboré un DVD Package pro* sur le syn -drome du bébé secoué destiné aux professionnels de l’enfance, de la justice, de la santé mais égale -ment toute personne qui s’occupe d’un enfant. DVD Package pro bilingue disponible au tarif de 15 € TTC. Renseignements : 0871 464 759 ou sur le site www.undde.org L’argent récolté sert aux actions en faveur des en -fants * DVD : 25 min (symptômes, causes et effets, responsabilité pénale,…) interviews de professionnels UN pRojEt DE S.A.S.E.p (ServicedAcinSciEducaivedeprximié) L’Association ALTACAN qui gère la Maison Familiale d’Accompagnement Educatif du Barbaz à St Pierre d’Allevard prévoit la création de ce service au cours de l’année 2008 afin d’aider les parents dans la difficulté. Ce service s’adressera aux parents et à leurs enfants âgés de 3 à 12 ans, scolarisés en maternelle ou en élémentaire et domiciliés prioritairement sur les communes de St Pierre et d’Allevard. Il est destiné en priorité aux familles témoignant de grandes difficultés : parents « dépassés » et perdus dans l’éducation de leurs enfants, enfants en manque de repères ou présentant des difficultés accentuées de socialisation et de contenance dès les petites classes… L’accueil des enfants au SASEP intervient durant les temps non scolaires de l’enfant. Sa durée initiale est de 3 à 6 mois pouvant être renouvelée plusieurs fois par périodes de même durée sans excéder un total de 2 ans. Le but est d’offrir des prestations éducatives spécialisées et un accompagnement social dans le cadre de la prévention afin de favoriser le mieux être de l’enfant, son intégration sociale et soutenir les parents dans leurs fonctions parentales.