A-t-il de grandes difficultés à respirer ? Gémit-il une grande partie de la journée sans jamais trouver le sommeil ? Est-il atteint d'une tumeur incurable qui le fait souffrir ? Souffre-t-il d'une affection que votre vétérinaire que votre vétérinaire est incapable de soulager totalement ? Est-il incapable de manger et de boire lui-même ou refuset-il même toute boisson ? Est-il incapable de faire ses besoins sans l'aide d'une tierce personne et/ou n'est-il définitivement plus propre ? Est-il incapable de se déplacer de lui-même ? Montre-il des troubles comportementaux (désorientation, exploration du territoire diminué ou abandonné, troubles du sommeil, agressions) ? A-t-il diminué ou arrêté les prises de contact avec vous ou avec ses congénères ? A-t-il un regard « triste », « vide » ou « plein de reproches » ou l'air « de vouloir vous dire qu'il n'en peut plus ».
Résultat : Si vous avez des réponses affirmatives à une ou plusieurs de ces questions, non pas sur un court terme, mais en ce qui concerne le restant des jours de votre animal, il est temps d'envisager sérieusement d'abréger les souffrances de votre compagnon par l'euthanasie. Une autre façon de procéder, consiste à essayer de se mettre « dans la peau » de son animal, de voir le monde avec « ses yeux à lui », afin de vous rendre compte si sa vie lui procure encore du plaisir ou s'il se trouve régulièrement confronté à des situations difficilement supportables ou anxiogènes.