Atar-GullEugène Sue1831À Monsieur Fenimore CooperLivre premierI. La CatherineII. L’ouraganIII. Le courtierIV. La venteLivre deuxièmeI. L’inconnueII. La HyèneIII. Monsieur BrulartIV. Arthur et MarieV. Que le Bon Dieu vous punit de faire la traiteLivre troisièmeI. Le Faux PontII. Atar-GullIII. MystèreIV. OpiumV. SongeLivre quatrièmeI. La frégateII. Une ruseIII. Le colonIV. Le père et le filsLivre cinquièmeI. FêteII. Les empoisonneursIII. Le dominoIV. Le départV. RencontreVI. SongeLivre sixièmeI. La rue TirechapeII. Atar-GullIII. Le baptêmeIV. Le prix de vertuAtar-Gull : DédicaceParis, ce 15 mai 1831.Me pardonnez-vous, monsieur, de répondre publiquement à la lettre si flatteuse que vous avez bien voulu m’écrire au sujet de monpremier ouvrage ?Cette vanité de jeune homme impatient de mettre tout le monde dans la confidence de sa bonne fortune littéraire est sans douteblâmable ; mais, sentant le besoin de donner quelques explications sur ce nouveau livre, j’ai pensé qu’elles acquer-raient bien plusd’importance et de valeur en vous étant adres-sées, à vous, monsieur, qui avez créé le roman maritime d’une manière si originale etsi puissante, et qui partagez avec Gœthe et Scott le rare et précieux privilège d’être un des types de la littérature étrangèrecontemporaine.Je suis persuadé comme vous, monsieur, que si l’esprit gé-néral de notre nation pouvait arriver peu à peu à comprendre tout ce qu’ily a de forces, de ressources, de ...
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