Ponson du terrail forgeron cour dieu 1 ocr
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PONSON DU TERRAIL
DE
LÀ COUR-DIElf
TOME I ,-, ° '
VILLE d© PARIS
FONDS REVOLUTION
LES BELLES ÉDITIONS
63s Rue Servais
PARIS FORGERON.DE LA €001-DIEU
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lo 0 A
8 LE FORGERON DE LA COUR-DIEU
II
•— Parce que tous les moines, même le père portier,
sont à la chapelle, où ils chantent ((Matines ». La douleur que manifestait en ce moment le gentil
— Eh bien ? homme paraissait si vive, que Dagobert n'osa lui dire un
— Et la règle leur défend d'ouvrir. mot sur sa tentative infructueuse à la porte du couvent.
— Il faut pourtant que je voie dom Jérôme ! dit le Il 'demeura debout, muet, tout son visage respirant une
cavalier avec un accent de douloureuse impatience. j vive sympathie.
— Les « Matines » finissent avec le jour, répondit Da Le gentilhomme s'approcha de la petite fille et la tou-
gobert, et alors on vous ouvrira. I cha légèrement du doigt :
— Oh ! c'est impossible ! dit le cavalier. - — Jeanne ! dit-il.
Et, comme Dagobert le regardait : L'enfant rouvrit les yeux.
—: C'est impossible ! répéta-t-il, quand le jour viendra, — 0 mon bon oncle, dit-elle, je suis si lasse ! laisse-
il faut
