Le Cap ÉternitéPoèmesuivi desÉTOILES FILANTESCharles GillPosthume1919Préface d’Albert LozeauLe Cap ÉternitéPrologueChant I. Le GoélandChant II. La Cloche de TadoussacChant III. Le DésespoirChant IV. Le Silence et l’oubliChant V. Clair de luneChant VI. AuroreChant VII. Ave MariaChant VIII. Le Cap TrinitéChant IX. Le Cap ÉternitéChant X. Le Rêve et la raisonChant XI. Vers la cimeChant XII. La FourmiStances aux étoilesPatrieLes Étoiles filantesPremière page d’un mémorialLes ClochesNeige de NoëlLes Deux ÉtoilesL’AigleOrgueilLes Chercheurs d’orVive la CanadienneCrémazieGeorges-Étienne CartierÀ Victor HugoSonnet à LamartineLes Deux PoètesLes Trois MajestésÀ Théodore BotrelMusa te defendetLa Conférence interrompueDu blanc, de l’azur et du rosePremier amourLa Mort de RoseCe qui demeureMortuae, moriturusDans le lointainLarmes d’en hautFantaisieChansonTraductions d’HoraceÀ LeuconoëÀ LolliusÀ DelliusÀ SestiusLe Cap Éternité : PréfaceQuand nous interrogions Charles Gill sur ce poème qu’il regardait comme l’œuvre capitale de sa vie, il répondait : « Il avance. » Et,jugeant la preuve indispensable, il nous lisait ― rarement en vérité ― un fragment nouveau, de sa voix chaude, à la sonorité debronze, et qui s’amollissait d’émotion aux beaux endroits. Si, la lecture finie, nous hasardions : « Est-ce tout ? » les promesses detravail sérieux recommençaient, sincères et jamais tenues. Gill s’imposait bien, par-ci par-là, de courtes ...
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