Auguste Lacaussade — Les SalaziennesÀ Victor Hugo Yet there are souls, proud Bard, who feel thee not,Bounded and blind with but a single thought ;Who'd tear the laurels from thine honoured brow,And force us grovelling to their gods to bow;Proudly thou answer'st in yet nobler strainAnd shak'st the vermin from thy regal mane.Thy fame hath been the theme of loftiest lyres,In their rich sweil my feeble song expires,Yet spurn not, laurelled head, the wreath I twineThough all unworthy this poor lay of mine!More than the rich man's gifts the orphan's miteFound larger favour in the Man-God's sight.I yet am young, and years may give me strengthTo reach the grandeur of my aim at length;Then will I tell thee all l've felt and feelAnd all my bosom's gratitude reveal. IEt l'invincible fils d'Alcmène,Poursuivant ses faits glorieux,Révélait sous sa forme humaineLe descendant du roides cieux.De sa prunelle ardente et fièreMesurant la vaste carrièreQue le ciel réserve à ses jours,Il s'élance an sein des tempêtes,Et, partout semant les défaites ,Héros altéré de conquêtes,Il terrasse.... et marche toujours!D'un siècle d'erreur et de crimeS'éveillant à la vérité,Le monde à son vengeur sublimeAdresse un chant de liberté,Mais lui, déifiant sa gloire,Par une dernière victoire,Il veut couronner ses travaux ;Il déracine un mont antiqueSépare l'Europe et l'Afrique;Et la mer et l'onde AtlantiqueA sa voix ont uni leurs eaux.Et 1'homme sur ces mers ...
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