La Lente Dépravation de ma Femme

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« La Lente Dépravation de ma Femme » est un roman érotique torride racontant la vie sexuelle d’Aïssatou, l’épouse sénégalaise de Raphaël Siouffi – narrateur de l’histoire, mari cocu heureux et voyeur. Depuis mère responsable et vertueuse, Aïssatou devient au fil des pages une pute nymphomane et exhibitionniste. Adultère avec des personnes âgées, fellations, sodomie, inceste avec ses trois fils, fessée, dépucelage d’adolescents, torture expiatoire, éducation sexuelle, initiation confrérique, etc. toute la dépravation graduelle d'Aïssatou y est relatée explicitement. Un magnifique témoignage d’amour bien écrit.
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02 novembre 2016

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Français

LALENTEDÉPRAVATION DE MAFEMMEAvertissement: Conformément à ce qui en a l’air, toute ressemblance avec des situations ou des personnages réels est voulue par l’auteur, et n’est absolument pas fortuite. Introduction Description amoureuse de ma femme, la protagoniste principale de ce récit. Je m’appelle Raphaël Siouffi, je suis franco-libanais, et je vais raconter ici les frasques sexuelles que j’ai découvertes chez ma nouvelle épouse, Aïssatou (née Diawara), pour mon plus grand plaisir. Nous nous sommes mariés en décembre 2009, et pour tous les deux il s’agissait d’un remariage, étant chacun divorcé d’une union précédente. Nous vivons actuellement à Angers (Maine-et-Loire, 49), où je travaille comme bibliothécaire à l’Université Catholique de l’Ouest, et elle comme assistante sociale et formatrice pour adultes au Centre Communal d’Action Sociale (CCAS). Ses trois garçons de son précédent mariage vivent avec nous : Chérif (17 ans, né en 1997), Mokhtar (15 ans, né en 1999) et Ibrahima (13 ans, né en 2001) – Chérif possède sa chambre propre, alors que Mokhtar et Ibrahima en partagent une. Aïssatou et moi formons un couple tout à fait normal : nous fréquentons nos amis ; allons au restaurant, au cinéma, au théâtre, au musée, au concert ; sortons avec les enfants (on les envoie en colo pendant les vacances) ; participons à diverses associations ; partons en randonnée ;etc. La seule chose différente, c’est son comportement sexuel dans certaines situations – ce que relate la présente histoire exclusivement.
J’avais souvent fantasmé de voir Cécile (née Labonne), ma première épouse, faire l’amour à d’autres hommes, mais sans succès. Nous avons divorcé après 10 ans de mariage, et elle habite maintenant à Nice avec nos deux filles : Ysée (19 ans, née en 1995) et Flore (16 ans, née en 1998). Je n’ai plus de contacts avec mon ex-femme, et je ne vois mes filles qu’occasionnellement. L’ironie du sort veut que je sois tombé par hasard l’année dernière sur des photos osées de Cécile postées sur un site porno de rencontres pour adultes. Elle y montre allégrement son beau cul de métisse Mauricienne, sodomisée par un énorme gode, le visage à peine caché par un loup noir en dentelle. Apparemment, elle monnaierait ses charmes à quelques clients pour arrondir ses fins de mois. Je la soupçonne également d’avoir entraîné nos filles dans ses turpitudes prostitutionnelles, car je crois les avoir reconnues sur d’autres photos du même site. Je compte investiguer un peu plus, mais tout ceci est le sujet une autre histoire.
Sur le plan de mes fantasmes libertins, de voir ma femme souillée par d’autres hommes, j’ai découvert qu’Aïssatou satisfaisait ceux-ci d’elle-même, sans même que je lui demande, et de manière absolument innocente. Tout en estimant que c’est une bonne action d’aider les personnes âgées même à un niveau très intime, elle se comporte avec celles-ci en vraie pute nymphomane et adultère. Quel spectacle jouissif ! Elle croit que les services spéciaux qu’elle rend à ses petits vieux constituent des activités sexuelles totalement normales – même si légèrement marginales – et qu’elle reste toujours une épouse fidèle et une bonne musulmane. Mais le meilleur c’est qu’elle pense que j’accepte – de mauvais cœur, spécule-t-elle – tout ce qu’elle fait avec eux uniquement parce que je l’aime (alors qu’elle assouvit
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sans le savoir mon fantasme secret bien au-delà de mes expectations) – et je compte bien la laisser dans cette conviction erronée. Laissez-moi vous décrire ma femme : Aïssatou est d’origine sénégalaise, elle est née à Dakar le 16 février 1967, mais elle a grandi en France. De taille moyenne, elle possède une peau noire de teinte plutôt marron semi-foncé, témoignant d’un métissage ancien d’origine mauritanienne. Son visage est beau, ses cuisses musclées, ses jambes harmonieuses, ses seins fournis et équilibrés, et ses fesses rondes et fermes. Aïssatou ne fait pas physiquement son âge, mais en parait facilement dix ans de moins. Elle se rase soigneusement le pubis et les aisselles, et n’a pas besoin de s’épiler les jambes, grâce à sa glabreté naturelle courante chez les Ouest-Africains. Très féminine, elle s’enduit quotidiennement le corps de diverses crèmes qui la rendent parfumée et très douce au toucher. Elle souffre de constipation chronique (comme beaucoup de femmes), et se retient d’aller aux toilettes quand elle se trouve hors de chez elle. Très sociable, elle est généreuse en amitié et possède de nombreuses amies fidèles. Aïssatou est musulmane pratiquante (elle prie les cinqṣalawât, mangeḥalâl, jeûneramaḍân, évite les rapports vaginaux durant ses menstrues,etc.), mais ne se couvre pas les cheveux (elle tond ses cheveux très courts et porte par-dessus une perruque longue). Elle s’habille toujours avec bon goût, portant des tenues coquettes aux couleurs assorties, sexy mais pudique. Le bas de nos armoires est envahi de grands cartons recueillant plus d’une cinquantaine de paires de chaussures (bottes et sandales incluses), coordonnées à ses tenues (et à ses sacs). Elle est sportive : elle jogge pendant une heure trois fois par semaine, et nous marchons durant trois heures également trois fois par semaine, dans la campagne autours d’Angers. Comme beaucoup de femmes ouest-africaines, mon épouse possède une grande résistance à la douleur, à la limite du masochisme. Devant être régulièrement en état d’ablution pour sa pratique religieuse, Aïssatou est très propre au niveau intime. Cependant, sa vulve dégage quand même ces odeurs féminines musquées qui en font tout l’attrait pour le connaisseur. Mon épouse possède un sentiment de culpabilité exacerbé qui la fait se questionner sur la licité religieuse de tous ses actes, mais sans vraiment la retenir de les faire et de transgresser, comme elle l’a démontré avec ses petits vieux. Sous son apparence de femme forte et déterminée, elle est en fait de nature fragile et sensible, évitant les conflits pour se protéger mentalement. Aïssatou est une femme étonnamment très sexuelle, malgré le fait qu’elle soit excisée (elle n’a ni clitoris, ni petites lèvres – qui lui ont été retirés à ses douze ans). Elle mouille très facilement, et est très sensible à mes caresses. Elle adore se faire peloter les seins et les fesses, même quand elle dort. Elle ressent énormément de plaisir lors de la manipulation de son anus, et arrive rapidement à l’orgasme par un cunnilingus accompagné d’une stimulation anale. Elle retire de la sodomie un plaisir coupable, mais réel. Un léger vaginisme d’origine psychologique présent au début de nos relations, qui engendrait des irritations au niveau de sa vulve, a disparu définitivement. Sa position favorite est la levrette, et elle se laisse facilement enculer. Ma femme apprécie quand je lui glisse mon pénis entre les fesses lorsque nous dormons enlacés en cuillères, et que je lui caresse les fesses durant son sommeil (signes d’affection et d’amour). Elle prodigue la fellation avec plaisir. Elle aime se faire belle pour moi en portant de la lingerie fine. Exhibitionniste refoulée, Aïssatou n’hésite pas à se promener dénudée dans notre appartement vêtue d’une simple petite culotte, devant moi, ou même devant ses garçons
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maintenant adolescents, et ce malgré le fait qu’on peut très bien la voir par la fenêtre depuis la rue. Par exemple, c’est toujours nue, au sortir du lit le matin, que ma femme ouvre les volets de la maison. Elle retire également beaucoup de plaisir alors que je lui fais parfois l’amour le soir dans des pièces suffisamment éclairées pour être clairement aperçus depuis l’extérieur à travers les rideaux. Ma femme et ses petits vieux Mon épouse possède une idée bien particulière du service aux personnes âgées. Quand nous avons fait connaissance, bien avant notre mariage, Aïssatou m’a dit : « Je m’occupe personnellement de quelques vieux, ici sur Anger, j’espère que ça ne te pose pas de problèmes ? » J’ai répondu qu’au contraire, j’étais fier qu’elle consacre de son temps pour des personnes âgées, surtout quand elles n’ont plus de famille. Elle en fut rassurée. Peu de temps avant notre mariage, Aïssatou me déclara : « Ouf ! Je suis soulagée. J’avais peur des réactions de mes petits vieux quand j’ai annoncé à chacun d’eux que j’allais me remarier. Que ce soit Papa Régis, Papa Jean-Marie ou Papa André, ils ont chacun été contents pour moi, et m’ont souhaité beaucoup de bonheur avec toi. Je les ai également rassurés que je continuerai à m’occuper d’eux, et que le fait que je sois mariée à toi n’allait rien y changer. » Sur le moment, je n’avais pas remarqué la tournure spéciale de sa phrase : c’était eux qui risquaient d’être jaloux de moi, et non le contraire. Bizarre, non ? J’ai compris plus tard pourquoi quand j’ai découvert de quelle manière ma femme s’occupait d’eux. Incidemment, du fait de sa culture sénégalaise, Aïssatou appelle ses vieux « Papa Untel », ou tout simplement « Papa ». C’est sa marque de respect envers les personnes âgées, mais ça sonne toujours bizarre aux oreilles des Français. Les petits vieux de ma femme se nomment André Poirier, Régis Baudoin et Jean-Marie Massé. Je considère qu’il n’est pas besoin de changer leur nom ici, car je doute qu’ils lisent un jour ce texte-ci sur Internet. Je vais vous décrire, chacun dans un chapitre différent, la manière spéciale avec laquelle ma femme s’occupe d’eux – qui me comble au-delà de toutes mes espérances – et qui doit répondre à son désir inconscient d’objectisation sexuelle. Considérez ces chapitres comme des témoignages d’amour envers ma merveilleuse épouse. Premier Vieux : André Poirier Tous les samedis matin, André vient se faire tailler une pipe royale par ma femme dans notre salon. « Papa » André est un retraité de 71 ans qui vit seul et n’a jamais été marié. Il passe ses journées à tourner dans Angers à bord de sa voiture pour passer le temps, et à chasser les promotions dans les hypermarchés, quand il ne joue pas aux cartes certains après-midi dans un club de retraités comme lui. Réservé et très serviable, engagé dans plusieurs associations caritatives locales, il rend souvent service à des femmes immigrées qui élèvent seules leurs enfants, en les véhiculant pour leurs courses ou leurs démarches administratives.
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Ma femme et André se sont rencontrés alors qu’Aïssatou, encore mariée à l’époque avec son précédent mari, faisait son jogging. Ayant l’habitude de se croiser sur la route, lui en voiture et elle à pied, puis de se saluer, ils ont fini par faire connaissance et se sont liés d’amitié. André a beaucoup aidé Aïssatou quand elle a eu ses problèmes de divorce, qu’elle s’est retrouvée sans un sou, démunie et déprimée. Il a été une présence réconfortante quotidienne à ses côtés pendant plus de trois ans (jusqu’à notre rencontre), la véhiculant pour tous ses besoins, l’aidant pour ses enfants, et même n’hésitant pas à lui prêter de grosses sommes d’argent (pour l’avocat et l’appartement, entre autres). Du coup, ma femme lui est d’une reconnaissance éternelle – et moi aussi d’ailleurs. Même encore maintenant, André la conduit le matin à son travail, la ramène le soir, mange avec elle à midi, l’accompagne pour ses courses, et amène ses garçons à leurs activités diverses quand nous ne pouvons pas le faire. Certains jours, ce vieux retraité voit mon épouse plus que moi, à tel point que certaines personnes croient que c’est lui son mari. Quelle que peu soupçonneuse de la pureté des motivations d’André la concernant, Aïssatou lui avait demandé il y a quelques années (après son divorce) : « Papa André, pourquoi fais-tu tout cela pour moi ? Quelles sont tes motivations ? Est-ce que tu voudrais que je couche avec toi ? » Il lui avait répondu, choqué d’ailleurs qu’elle ait pu penser ça de lui : « Aïssatou, je te considère comme ma fille. Il n’y a rien de sexuel entre nous. Tu es ma petite fille, celle que j’aurais aimé avoir. » Du coup, il l’appelle « ma fille » ou « ma petite fille ». Peu avant qu’Aïssatou fasse ma connaissance, devant les refus constants d’André d’accepter son offre de fellation, elle lui avait fait une sorte de chantage : « Papa André, ou bien tu me laisses te remercier convenablement, ou bien tu ne me revois plus jamais ! » C’était très important pour elle de lui prouver sa gratitude, tout en remédiant à l’abstinence sexuelle de son Papa si serviable. Du coup, c’est pratiquement forcé qu’André s’est laissé fellationner par sa fille de cœur. Il a eu du mal à éjaculer la première fois, parait-il, mais ça s’est arrangé ensuite, surtout qu’Aïssatou a pris l’habitude de n’être vêtue que d’une petite culotte afin de l’exciter correctement.
Depuis, tous les samedis matins, il se vide les bourses dans la bouche de ma tendre épouse. De plus, elle aime le sperme – qu’André possède en abondance – alors que moi, je n’éjacule pratiquement pas, ce qui frustre ma femme et l’oblige à chercher sa dose ailleurs. Apparemment, en Afrique de l’Ouest, le sperme est considéré comme un réjuvénant féminin, tant ingéré qu’en application sur la peau.
André est très pudique, et il était très gêné par sa situation avec Aïssatou lors de notre première rencontre. Mais je l’ai rassuré, et nous avons fini par devenir de bons amis et d’en sourire. Il est un peu voyeur et aime la lingerie sur le corps des femmes – je l’ai déjà vu passer des heures devant les devantures des magasins de sous-vêtements féminins. Des fois, pour nous faire plaisir, André achète à Aïssatou de la lingerie fine, et cela finit à la maison par un essayage sexy quand elle défile devant lui et moi vêtue seulement de son cadeau. Elle prend devant nous des poses aguichantes, et montrant la bosse tendue du pantalon d’André, elle lui dit : « Garde-moi bien tout ça pour samedi matin, Papa André, comme ça il y en aura plus. »
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Ce matin, c’est un samedi, André sonne à notre porte, il est 9H. Ma femme va lui ouvrir la tête découverte (sans sa perruque), les seins nus, vêtue seulement d’une petite culotte de dentelle rouge mise en valeur sur sa peau noire. « Bonjour, ma petite fille ! » « Bonjour Papa André ! » Ils se font la bise. Je reste dans notre chambre, alors qu’il pénètre dans notre salon et s’assoit sur le canapé, et qu’Aïssatou s’agenouille devant lui. André est trop pudique pour accepter ma présence lors de sa fellation, il a bien trop honte – j’en suis donc réduit à les observer derrière la porte entrebâillée à leur insu. Je commence à me masturber doucement. Mon épouse défait la ceinture de son petit vieux, déboutonne son pantalon, ouvre sa braguette et fait descendre légèrement son slip pour libérer son gros pénis tendu et décalotté (qu’il a légèrement plus long et large que le mien). « Oh, qu’il est beau ton sexe, mon Papa, » s’exclame-t-elle. Elle le regarde avec convoitise, comme un enfant à qui on a donné une friandise, et l’engloutit sensuellement dans sa bouche. Elle m’a dit plusieurs fois que l’hygiène intime d’André laissait à désirer, que son pénis incirconcis était « fromageux » et sentait assez fort, mais qu’au goût ce n’était pas plus désagréable que du Camembert, et qu’elle en profitait pour bien lui nettoyer. Aïssatou s’applique lascivement sur le sexe d’André, de sa bouche et de ses mains, lui caressant les testicules pendant que sa tête le pompe de bas en haut. « Oh ma fille, c’est si bon ce que tu me fais ! » s’exclame-t-il de temps à autres. Il a posé ses mains sur les seins de ma femme qu’il pelote maladroitement. D’habitude, c’est dans cette position qu’il jouit, mais aujourd’hui dans le feu de son excitation, voici qu’à force de pencher vers sa gauche, il se retrouve allongé sur le canapé. Profitant de la station couchée d’André, sans cesser sa fellation endiablée, Aïssatou se déplace et s’installe voluptueusement sur lui à l’envers (en 69), le cul sur son visage, lui offrant la vue (et l’accès) à son intimité. C’est la première fois qu’elle lui fait ça, je suis comblé ! Je me masturbe compulsivement caché derrière la porte. André, apparemment aux anges, masse les fesses noires de ma femme, puis les écarte pour dévoiler sa fente cachée par la dentelle rouge. Il pousse de côté l’entrejambe de sa culotte afin de plonger son nez dans sa vulve odorante, ruisselante de mouille. Je l’entends suçoter le sexe excisé d’Aïssatou qui soupire de plus en plus fort. Elle agite sa croupe comme une chienne en chaleur. Elle jouit ! Quelle salope ! Qu’est-ce que je l’aime ! La vue de cette scène obscène me fait jouir violement, mais je ne produis qu’une seule petite goutte. André éjacule soudainement dans un râle en se cambrant. Mon épouse, toujours sur lui en 69, avale goulûment sa purée abondante qu’il crache en saccades pendant de longs moments. Puis elle dévale de lui pour se remettre à genoux devant le canapé. Elle recueille dans ses mains le reste de sperme qui jaillit encore du sexe d’André – je n’ai jamais vu un homme en produire autant – et s’en enduit copieusement le visage et les seins. « Oh ma petite fille ! Qu’est-ce que j’ai joui ! Merci pour ton beau cadeau, » lui dit-il reconnaissant.
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« Je ne sais pas ce qui m’a pris, Papa André, mais l’essentiel c’est que tu te sois bien soulagé, » lui répond-elle dans un grand sourire, toute barbouillée de son foutre frais et odorant. « Mon chéri, nous avons fini. Tu peux venir maintenant, » me crie Aïssatou depuis le salon. André s’est déjà resapé ; je lui dis bonjour en l’embrassant (son visage est luisant de cyprine), et nous pénétrons tous dans la cuisine pour y prendre notre petit-déjeuner. L’heureux retraité nous a amené du pain tout frais et des croissants encore chauds. Il boit son café avec nous, puis il s’en va en nous disant : « Je vous laisse les amoureux, passez un bon week-end, et embrassez les garçons de ma part. » Ma femme a l’air totalement rassasiée, et reste parfaitement calme durant le reste de la collation, où nous discutons de choses et d’autres, sans jamais évoquer ce qu’elle vient de faire avec André. Elle laisse échapper de temps en temps un petit rot qui pue le foutre. Quand ses garçons se lèvent et viennent embrasser leur mère – toujours revêtue de sa seule culotte de dentelle rouge – pour lui souhaiter le bonjour, je suis sûr qu’ils ne peuvent s’empêcher d’identifier la nature de cette crème blanchâtre la recouvrant, par l’odeur forte qui s’en dégage. Ça doit leur donner une gaule d’enfer. Ma chérie garde le sperme fétide sur sa peau noire encore une heure, jusqu’à ce qu’il soit bien sec, puis part prendre sa douche matinale pour pouvoir prier. Aïssatou s’habille ensuite juste d’une petite robe d’intérieur, courte et transparente, qui laisse paraître ses cuisses jusqu’à sa culotte quand elle s’assoit, et ses seins par la longue fente sur le côté. Additionnellement à sa fellation hebdomadaire, des fois André reçoit plus de ma femme. Depuis deux ans, Aïssatou a décidé de lui offrir une sodomie exceptionnelle pour son anniversaire. Elle m’en avait parlé avant en me demandant : « Mon amour, tu crois que ça ferait plaisir à Papa André si je lui proposais mon cul pour fêter un évènement spécial ? Il est si seul,ndeysân(le pauvre), et il doit commencer à trouver mes gâteries monotones. J’espère que ça ne te gêne pas !? Et puis, il est ton ami également, n’est-ce pas ? » Je ne pouvais qu’acquiescer à sa proposition, totalement excité à l’idée, tout en lui faisant croire que tout cela ne m’enchantait pas vraiment. Elle en fut ravie. Le samedi qui suit l’anniversaire d’André (le 27 mai), à la place de sa fellation matinale, Aïssatou lui a proposé qu’il l’encule en levrette sur le canapé. Elle s’était lubrifiée l’anus préalablement en prévision de sa sodomie. Je les épiais à leur insu comme d’habitude depuis la porte entrebâillée de notre chambre, la main sur mon sexe tendu. « Joyeux anniversaire !Bismi-Llâh,» lui a dit maviens te faire plaisir dans ta fille, Papa, femme, agenouillée sur le canapé, la culotte descendue à ses genoux, et sa croupe dénudée obscènement arquée. Qu’elle était belle ! Après une forte surprise et une légère hésitation, André introduisit son gros sexe dans le fondement d’Aïssatou et commença son pilonnage. « Vas-y Papa, jouis dans ta fille ! » lui cria ma femme. « Oh ma fille ! Oh ma fille ! » répétait son petit vieux comme une litanie. Je me branlais comme un forcené, éjaculant dans ma main. « Oui Papa, défonce-moi le cul ! Fais-toi plaisir ! Encule ta petite fille ! » ajouta-t-elle.
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Quel spectacle magnifique ! André fut rapide à jouir dans le rectum d’Aïssatou, et celle-ci se décula rapidement pour recueillir dans sa bouche le reste de la semence de son vieux jaillissant par saccades, et s’étaler les dernières gouttes sur sa face et sa poitrine. Ça ne l’a pas dégoûté de sucer la bite merdeuse d’André barbouillée de ses propres fèces – chose qu’elle ne fait jamais avec moi lorsque ma queue est aussi dégueulasse que ça. Apaisé et souriant, le visage de ma femme rayonna toute la journée d’un éclat particulier, comme si une grâce spéciale était descendue sur elle, et elle me fit l’amour comme une diablesse le soir même. Dommage que les anniversaires ne se fêtent qu’une fois l’an ! Bien que ma femme nie retirer un quelconque plaisir des faveurs anales qu’elle octroie à André (par culpabilité certainement), j’ai remarqué récemment qu’elle trouve de plus en plus de prétextes pour se laisser sodomiser par lui. Sa fête (la Saint André, le 30 novembre), l’anniversaire de son accident de voiture (le 24 février), et même maintenant dès qu’il lui offre un beau cadeau (c’est-à-dire cher, du genre bijoux). Je suis loin de m’en plaindre, au contraire. Bien entendu, je ne suis pas censé le savoir, vu qu’Aïssatou ignore que je l’espionne avec son vieux. Toutefois, il ne lui ramone pas le cul suffisamment longtemps pour qu’elle atteigne un orgasme, mais elle semble en retirer quand même beaucoup de plaisir – plus qu’avec moi, peut-être – du fait que le sexe d’André soit plus gros que le mien. Deuxième Vieux : Régis Baudoin Tous les dimanches matin, ma femme va branler Régis chez lui, sous sa douche. « Papa » Régis est un vieux retraité de 83 ans, ancien communiste, athée, et veuf depuis dix ans. Il habite une maison à l’orée de la campagne, entourée d’un grand verger-potager. Comme André, Régis a également été d’une grande aide pour Aïssatou lors de son divorce douloureux, surtout du point de vue financier, ce pour quoi elle lui est éternellement reconnaissante. Ma femme (alors pas encore séparée de son premier mari) et lui avaient lié connaissance en tant que voisins, n’habitant qu’à quelques carrefours l’un de l’autre. Il y a quatre ans, elle lui a sauvé la vie alors qu’il avait eu un malaise vagal dans son jardin, en venant à son secours et en appelant les urgences – sa gratitude pour elle est désormais sans bornes, lui payant des cadeaux les plus chers et la couchant même sur son testament. Régis est un bavard invétéré, plutôt médisant, raffolant de ragots qu’il partage allègrement avec tous ses voisins, des vieux comme lui en général. Il est très confiant – trop même – et ouvre sa porte à n’importe qui, ce qui lui a déjà valu quelques ennuis. Jaloux de nature, il n’a pas digéré mon mariage avec Aïssatou, et bien que content pour elle, ses rapports avec moi restent très distants. Pour ne pas arranger la situation entre lui et moi, il est fan de foot, et peux passer des heures à commenter un match – ce qui m’est particulièrement insupportable. Régis est un peu handicapé par un léger Parkinson qui le restreint physiquement en l’empêchant de fonctionner comme avant – il ne peut plus jardiner, faire le ménage de sa maison, cuisiner, se laver correctement, ni même se masturber, par exemple. Comme c’est une grande gueule, plus têtu qu’une mule, les assistantes à domicile ne veulent plus s’occuper de lui, et Aïssatou reste la seule qui puisse lui faire entendre raison. Elle fait un peu de ménage dans sa maison, lave son linge, débroussaille son jardin et lui fait prendre sa douche, avec une branlette en prime. Ce dimanche matin, peu après 10H, j’accompagne ma femme en voiture chez Régis.
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« Bonjour Aïssatou. Bonjour Raphaël, » nous accueille-t-il sur le pas de sa porte. « Bonjour Papa Régis, » lui dit ma femme en l’embrassant délicatement sur la bouche. De tous ses petits vieux, il est celui avec lequel elle est le plus intime. Nous pénétrons dans le salon où je m’installe dans un fauteuil à côté de celui où s’assoit Régis. « Soyez sages, mes amours, pendant que je fais le ménage. À tout à l’heure, » nous dit Aïssatou. Elle part se changer dans l’une des chambres, et réapparait dans toute la splendeur de son corps noir, sans sa perruque, vêtue seulement d’une paire de baskets bleues, d’une petite culotte blanche et d’un tablier de cuisine qui cache à peine ses seins. Pour elle, très innocente, c’est juste une tenue confortable pour travailler, alors que pour nous, c’est d’un érotisme torride à faire bander un mort. Ma femme nettoie la maison de Régis dans cette petite tenue pendant plus d’une heure, à grands coups de chiffons et de serpillières, passant et repassant devant nous au gré de son activité, de plus en plus recouverte de sueur à chaque passage. La transpiration a tellement mouillé sa culotte, qu’elle en est devenue transparente, et lui colle à la peau, se coinçant entre ses fesses et dans sa fente, nous révélant tous les détails de son intimité. Quel spectacle ! J’ai fait du café entretemps, et Régis et moi-même sirotons nos tasses, bavardant poliment en attendant qu’Aïssatou ait terminé. Comme il fait bon dehors, ma femme en profite pour sortir jardiner, toujours dans la même tenue, se fichant pas mal de ceux qui pourraient la voir. Elle revient une demi-heure plus tard, couverte de terre et encore plus suante. Sa transpiration sent le sexe ! « Papa Régis, à la douche maintenant, » lui annonce-t-elle. « Je n’en ai plus pour longtemps, mon chéri, » me dit-elle en souriant, « nous rentrons à la maison dans un quart d’heure, promis. Excuse-moi pour tout ça. » Elle accompagne son petit vieux vers sa salle de bains. Je me lève pour les épier à leur insu, l’entre-bâillement de la porte de la pièce d’eau m’offrant une vue imprenable sur la douche. Ma femme, entièrement nue, a déjà déshabillé Régis, et ils se glissent tous les deux sous le jet d’eau tiède. Je sors mon sexe et commence à me masturber. « Laisse-toi faire, Papa, je vais bien te savonner, » dit Aïssatou à son vieux, dont l’érection est évidente. Elle l’enduit sensuellement de mousse, s’attardant spécialement sur son derrière et son pénis, pendant qu’il en profite pour la peloter maladroitement, une main glissée dans son entrejambe pour lui caresser la chatte. Sa bite est légèrement plus volumineuse que la mienne, mais il bande un peu mou. Ma femme commence à branler vigoureusement Régis pendant plusieurs minutes, afin de l’amener proche de l’éjaculation. « Ah, ça fait du bien, ma chérie, ça m’avait tellement manqué, » s’exclame-t-il. « Je vais te sucer maintenant, Papa Régis, » lui informe Aïssatou en s’agenouillant devant lui et en prenant son sexe dans sa bouche. « Attends, ma chérie, » lui dit-il, « j’ai envie de pisser avant. »
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Il se met à uriner sur ma femme – fait dont il a l’habitude, invoquant sa prostate (mais je suis sûr que ça l’excite de pisser sur une fille, le pervers !) – qui semble apprécier le traitement, s’offrant lascivement au jet nauséabond, chaud et doré, en se caressant les seins et la chatte. Quelle salope ! « Ça y est, tu as fini, Papa ? » dit-elle en reprenant sa fellation goulue. « Ma chérie, j’ai très envie de te baiser, j’ai pris du Viagra rien que pour ça, » lui prévient Régis au bout de quelques minutes. Mon épouse n’a pas l’air surprise, en effet il lui fait le coup de temps à autres, et elle s’exécute diligemment. Comme son érection n’est pas suffisamment dure, il ne peut pas l’enculer, mais se contente d’une pénétration vaginale. « Bien sûr, Papa, » lui dit Aïssatou en se retournant, «bismi-Llâh,viens te faire plaisir en moi. » Il se met à la prendre par derrière, debout sous la douche. Le pilonnage de Régis s’accélère, il est au bord de la jouissance. « Jouis en moi, Papa, vas-y ! » lui crie affectueusement ma femme. Qu’elle est belle ! C’est à ce moment que j’éjacule, n’émettant qu’une petite goutte dans ma main. Régis grogne et se met à jouir dans le vagin d’Aïssatou, qui lui braille : « Oui, Papa ! Oui ! C’est ça ! Remplis-moi de ton sperme ! Baise ta chérie ! Oui ! Jouis en moi ! Inonde ma chatte, Papa ! » J’en profite pour retourner silencieusement dans le salon, et à les attendre comme si de rien n’était. Le bruit d’eau cesse, et je peux distinguer leur voix. « Ça t’a plu, ma chérie ? » demande Régis à mon épouse. « Oui, Papa, » répond-elle, « mais chut, pas si fort, mon mari va entendre ! » Peu après, les voici qui arrivent, rhabillés, tout propres et souriants. Ma femme, radieuse, dit au revoir à son vieux avec un petit baiser sur les lèvres, et nous voici repartis en voiture chez nous. En chemin, elle me dit : « Papa Régis a voulu me baiser sous la douche cette fois-ci encore, mon amour. Je l’ai laissé faire, il est si seul,ndeysân(le pauvre). » Je joue l’innocent étonné. Elle ajoute : « Enfin, heureusement qu’il y a l’eau de la douche pour me lubrifier. Papa Régis ne me fait pas du tout mouiller, il me dégoûte plutôt. Si tu sentais comment il pue quand je le déshabille ! Je ne fais ça que pour lui rendre service, parce que je lui dois bien ça. » Je n’en crois pas un mot – Aïssatou me donnait plus l’impression d’être excitée que dégoûtée tout à l’heure avec son petit vieux – mais je la félicite pour son sacrifice désintéressé. Qu’est-ce que je l’aime ! Troisième Vieux : Jean-Marie Massé Un dimanche après-midi sur deux, Jean-Marie martyrise les seins de ma femme pour jouir.
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« Papa » Jean-Marie est un prêtre retraité de 78 ans qui loge dans une maison de retraite assez huppée d’Angers (Résidence La Retraite). C’est un vieil homme chauve de petite taille, intelligent, vif, prévenant, humble, affable et souriant, très cultivé, avec qui la conversation est un plaisir. Toujours parfaitement valide, sa vue et son ouïe ont quand même baissé, l’obligeant à porter sonotone et grosses lunettes. D’excellent conseil, son modeste salon ne désemplit pas de visiteurs divers venus s’entretenir avec lui, recherchant sa sagesse. Ma femme et lui se sont connus, il y a plus de dix ans déjà, en militant dans la même association de dialogue promouvant la paix et la non-violence, le CERDI (Centre de Rencontres et de Dialogue Interreligieux). Ils ont fait partie du CA ensemble. Jean-Marie a été d’un grand soutien psychologique lors du divorce douloureux d’Aïssatou, lui remontant le moral et lui montrant les fruits spirituels de son épreuve. Sa gratitude pour lui est absolue – et la mienne également. Mon épouse et moi avons énormément de plaisir à passer du temps avec lui, et il est devenu un véritable mentor pour nous. C’est d’ailleurs lui qui a concélébré la cérémonie religieuse de notre mariage à l’église Sainte Madeleine, avec l’imam d’Aïssatou, Aly Ka. À ce propos (en dépit de l’idée que vous vous faites de moi à cause de mes fantasmes), étant chrétien oriental – à la libanaise –, la fréquentation des chapelles et des prêtres fait naturellement partie de ma nature spirituelle profonde. Par contre, j’ai toujours trouvé moches ces vieilles cathos françaises mal-baisées qu’on croise dans nos paroisses – toutes sur le même modèle : cheveux courts, pantalon, lunettes et air grave (ça leur fait une vraie tête de chien). Pas étonnant que les églises se vident ici – c’est bien différent du Liban ou de l’Afrique, où les croyantes son belles. Depuis quatre ans, Jean-Marie souffre d’engorgements douloureux des testicules, lui procurant des souffrances insupportables. Après de très nombreux examens de cette pathologie extrêmement rare (orchiépididymite atypique aigüe), les médecins ont décrété son problème inopérable. La masturbation – médicalement conseillée dans ce cas – ne lui suffit malheureusement pas à apaiser son supplice, mais seulement à diminuer un peu la pression intolérable de son engorgement. Le vieux Prêtre, qui ne veut pas se gaver d’antidouleurs pour garder la tête claire, a découvert – l’inspiration divine, sans doute – que seule une émotion forte peut le désengorger. Connaissant bien Aïssatou, qui lui confie aisément tous les détails intimes de sa vie, Jean-Marie l’a sollicitée pour résoudre son problème d’engorgement, ce qu’elle a promptement accepté, bien sûr. Le vieux Prêtre essaye d’endurer au maximum de ses forces son épreuve douloureuse – sa croix, dit-il – mais deux semaines sont la limite supportable au-delà de laquelle il n’en peut humainement plus. C’est ainsi que s’est fixé le rythme des visites thérapeutiques de ma femme chez lui. Ce dimanche après-midi, c’est le jour de visite d’Aïssatou chez Jean-Marie. J’accompagne celle-ci en voiture jusqu’à la Résidence La Retraite, où nous montons directement pour rejoindre sa chambre. Le vieux Prêtre nous ouvre en nous souhaitant la bienvenue. Nous avons plaisir à nous retrouver. « Bonjour Papa Jean-Marie, » lui dit ma femme en l’embrassant, « comment va ton problème ? » « Intolérable, ma fille. Je n’arrive plus à dormir depuis quatre nuits. Les antidouleurs ne font plus d’effet, et je ne supporte plus le contact du tissu, » lui répond-il.
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En effet, il n’est vêtu que d’une robe de chambre, et semble ne rien porter en dessous de la ceinture. « Je vais m’occuper de toi, Papa Jean-Marie, » dit Aïssatou, « assieds-toi pendant que je me prépare. » Puis se tournant vers moi : « Toi aussi, mon chéri, mets-toi à l’aise. » Je vais préparer du café dans la petite cuisine pendant que mon épouse se déshabille innocemment devant nous. Elle enlève tout, des bottes à la perruque, ne gardant que ses bijoux, ses bas DIM-Up semi-opaques et sa petite culotte de dentelle verte. Elle est magnifique ! « Voilà, je suis prête ! » nous annonce-t-elle dans un sourire. Contrairement aux autres prestations de ma femme avec André ou Régis, ici j’assiste à tout. Jean-Marie, en tant que prêtre militant, insiste sur la transparence – il n’a rien à me cacher, l’opacité ayant suffisamment nuit à l’Église comme ça. Je m’assois donc sur une chaise légèrement en retrait pour profiter du spectacle, une tasse de café à la main. Jean-Marie est assis sur le sofa, et Aïssatou s’agenouille respectueusement devant lui. Elle écarte les pans de son peignoir pour dévoiler son pénis déjà rigide et décalotté, surmontant une paire de testicules ballonnés. Son sexe est plus petit que le mien, mais beaucoup plus dur apparemment. « Oh Papa, » lui dit mon épouse, « tu bandes déjà. » Elle commence à le branler doucement, en prenant bien soin de ne pas toucher ses bourses. «Bismi-Llâh.Vas-y Papa, tu peux y aller, je suis prête, » lui prévient-elle. Jean-Marie, la respiration lourde, se met soudainement à gifler les seins de ma femme.Paf! Paf! De ses deux mains, il lui assène de fortes claques qui résonnent dans la pièce. « Oui Papa, baffe-moi les seins ! » encourage-t-elle le vieux Prêtre qui redouble d’ardeur. Paf!Paf! Aïssatou accélère le rythme de sa masturbation. « Vas-y Papa, fais-moi mal ! » l’incite-t-elle, « gifle ma poitrine ! »Paf!Paf! Elle sait qu’il a besoin d’une très forte émotion pour se désengorger convenablement en éjaculant. Les claques de Jean-Marie lui font grimacer de douleur : « Aïe ! ».Paf!Paf! Des larmes commencent à couler de ses yeux. Elle éclate en gros sanglots.Paf!Paf! Quel tableau merveilleux ! Je me caresse discrètement le sexe à travers mon pantalon. « J’ai été vilaine, Papa, punis-moi fort ! Claque mes seins ! » réussit Aïssatou à balbutier à travers ses pleurs, tout en continuant de branler Jean-Marie.Paf!Paf! Ayant desserré petit à petit ses genoux depuis le début de son supplice, elle se retrouve maintenant les cuisses bien écartées, offrant une vue obscène sur l’entrejambe détrempé de sa culotte masquant à peine sa vulve ruisselante. Paf!Paf! La! Elle mouille, la salope respiration du vieux Prêtre annonce qu’il va jouir, il frappe ses derniers coups –Paf!Paf! – et s’arque pour éjaculer dans un rugissement digne d’un lion. Ses jets de foutre aspergent
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