Déniaiserie

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Jusqu'à hier, j'étais niais, vierge, puceau malgré mes dix-sept ans, car mes parents me tiennent serrés.
Mais là, ça y est je me suis rattrapé, et comment !
J'ai brûlé les étapes, nom d'une pipe !
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10 avril 2015

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Français

Un – télescopage.
J’aurai bientôt dix-sept ans. Je suis assez grand pour mon âge et pas trop mal bâti, bien que loin d’être le plus costaud ou le plus grand de ma classe. Non, je me situe objectivement dans le meilleur quart, mais sans plus. Par contre, je suis dans les tout meilleurs au niveau du résultat scolaire ! Pourquoi ? Non que je sois le plus doué, je ne crois pas l’être, mais je bosse, comme un malade. Pourquoi ? Mes parents, surtout mon père, sont très exigeants, très stricts ; ils supporteraient difficilement que je ne soit pas dans les premiers en classe. Donc je bosse, pour compenser mon manque de dispositions naturelles, comme me dit Papa. Mais travailler d’arrache-pied, si cela amène des résultats, a aussi des inconvénients ! Prenons l’exemple des sorties : d’une part, elles me sont quasi interdites, sauf sous un contrôle strict, d’autre part une fois mon travail fait, il ne me reste plus guère de temps libre de toute façon. Dans mon cas, travailler d’arrache-pied a l’inconvénient principal suivant : je suis toujours niais, puceau, vierge ! Et la discrète risée de ma classe : presque tous mes condisciples mâles ont une copine, choisie dans la classe ou ailleurs. À les en croire, ils ont tous baisé, leur copine ou d’autres filles, tandis que moi non. Oh, je sais comment ça se passe, par mes lectures ou des vidéos éducatives ou cochonnes ! Je sais aussi que mon outillage personnel fonctionne ; il lui arrive de prendre des dimensions, des formes et des positions incompatibles avec celles du zizi avec lequel on fait pipi. Non, c’est un outil différent ! Et parfois, cet outil me fait comprendre qu’il aimerait bien commencer à remplir la fonction pour laquelle il existe. Il m’arrive de tenter de le calmer, la nuit, de ma main droite ; le résultat est obtenu, la jouissance me traverse, il reprend sa dimension et forme normales, mais je ressens une sorte de culpabilité, de malaise, qui me gâche mon plaisir. Je trouve ça triste, jouir tout seul ! Ça doit être plus drôle à deux ! J’ai dit que je n’ai pas de temps pour la gaudriole ; cela ne m’empêche pas d’apprécier le spectacle des jolies nanas. Je les préfère un peu plus âgées que moi : leur corps a atteint sa plénitude, leur visage est libéré des disgracieux points d’acné, leur démarche est plus ondulante que celles de mes condisciples femelles, dont certaines ressemblent à des échalas mal taillés, d’autres pouvant faire, comme dit un de mes copains, top-model chez Olida. À celles-ci, je reproche aussi de toutes se ressembler, vêtues, coiffées et maquillées selon la même moule. Il m’a semblé que deux ou trois d’entre elles cherchaient à établir avec moi une forme de relation peut-être différente de la simple camaraderie ; je n’étais pas contre, bien au contraire, mais la discipline de fer sur mon emploi du temps que mes parents font régner l’interdisait totalement, en dépit de mon envie. L’une en particulier, Emma, a insisté assez longtemps, mais j’avoue que j’ai eu la trouille des conséquences avec me parents si je commençais — seule solution possible - à mentir pour me préserver un peu de temps libre en dehors des cours, trouver la possibilité d’aller boire un coca au café du coin ou d’une promenade amicale. Ma mère étant naturellement soupçonneuse, mes mensonges n’auraient pas fait long feu ! Comme il m’était impossible de donner suite, les candidates en question, de guerre lasses, se sont tournées vers d’autres coups, meilleurs que le mien, car moins strictement tenus familialement. Et moi, Gros Jean comme devant !
Et puis, l’autre jour, un incident a changé le cours des événements ! Ça a plutôt mal commencé, il faut le dire ! Voici comment ça s’est passé : je revenais du lycée et entrais dans le hall de notre immeuble, l’esprit ailleurs, chargé de ma serviette de classe, et me dépêchant, car j’avais bavardé quelques minutes avec Emma, et me devais de rattraper le temps perdu pour éviter les regards soupçonneux et les questions embarrassantes. Je me précipitais donc vers l’ascenseur avant qu’il ne parte avec sa tournée d’utilisateurs quand, badaboum ! Je percute une autre personne qui se dirigeait vers le même endroit. Comme je me déplaçais à une vitesse non négligeable, mon énergie cinétique (je sortais d’un cours de physique au lycée) accumulée se dissipant brutalement fit tomber l’autre personne, et moi par-dessus en un pêle-mêle compact. Je me dégageai et vit que la personne que j’avais fait tomber était une représentante du beau sexe, plus ou moins recouverte de ses achats emballés dans des sacs de papier. Je me redressai, et me confondis en excuses, aidant cette dame à se remettre debout et rassembler ses affaires disséminées autour d’elle. La dame semblait fort en colère et fulminait, me fusillant du regard, un regard qu’elle avait d’ailleurs fort beau : des yeux bleus presque violets, dans un visage angélique, encadré par une chevelure blond cendré ondulée. Une fois debout, je me rendis compte qu’elle n’était pas si vieille que je ne l’avais supposé : par rapport à moi, vieille, bien sûr, mais pour un niais de seize ans, une trentenaire est une personne âgée ! Celle-ci ne me paraissait pas avoir de beaucoup dépassé la trentaine : plutôt grande, mince, bien roulée, élégamment vêtue d’un tailleur gris souris, chaussures à talons, foulard de chez Cacharel, bijoux discrets, mais de prix. Ma victime siffla : — Tu es le gamin du troisième, n’est-ce pas ? J’aurai une conversation avec tes parents ! — Oh, Madame, je vous en supplie, non ! Ils vont me tuer ! À ma surprise, la femme ne répondit pas de suite : elle m’observa un bon moment, puis me demanda : — Quel âge as-tu ? — Dix-sept ans, Madame. Je mentais, mais de peu, et m’auto-accordai l’absolution tout aussitôt : péché véniel ! — Dix-sept ans ! Et tu ne sais toujours pas te déplacer sans te cogner partout ni faire tomber les gens ? Ne trouvant rien à répondre, je me tus. Un long moment s’écoula ; nous étions maintenant seuls dans le hall de l’immeuble. Au bout d’un moment elle prononça, ne me quittant pas des yeux : — Je veux bien ne rien dire à tes parents, mais tu devras me prouver que j’ai raison de ne pas le faire. — Mais comment puis-je faire ça, Madame ? — Tu m’as fait tomber, tu me dois réparation ! — Je veux bien, Madame, mais comment ? — C’est demain samedi : tu n’as pas école, n’est-ce pas ? — C’est vrai, Madame. — Viens me voir à seize heures, et je te donnerai ta punition. J’habite l’appartement au-dessus de chez toi. J’avais effectivement déjà croisé cette dame, mais ne lui avait jamais prêté attention : regarde-t-on les vieilles ? Qu’est-ce qui m’attend ? Quelle corvée va-t-telle m’imposer, me demandai-je. Malgré son visage d’ange, cette dame n’avait pas l’air commode et me parut devoir distribuer plus de gifles que de baisers aux enfants de son entourage. Bon, à dix-sept ans (presque) on est plus vraiment un enfant, mais cette femme m’impressionnait tant ! Je réfléchis : demain, mes parents allaient rendre visite à ma grand-mère, en ce moment hospitalisée à Paris. Voyageant par le train, ils partaient habituellement après déjeuner, et rentraient vers vingt-
et-une heure. Il m’était donc possible d’obtempérer à cet ordre sans provoquer de questions embarrassantes. Avant de partir, mes vieux allaient me confier une certaine quantité de corvées, c’était classique ; avec un peu de chance, je pourrais les avoir expédiées avant seize heures. — Alors, gamin, que décides-tu ? Je préviens ou tu acceptes de venir demain ? Je n’ai pas toute la journée, décide-toi ! — Je viendrai, Madame. — À seize heures ! Sois ponctuel ! Et propre ! Et elle prit l’ascenseur, me laissant penaud et les escaliers à avaler. Qu’est-ce que cette personne allait bien pouvoir inventer pour me punir ? Pourquoi devais-je être propre, je le suis toujours ? Avais-je été sage d’accepter plutôt qu’elle ne prévienne mes parents ? Mon père n’aurait pas pris ma bourde à la légère, j’en suis certain, ce qui m’aurait coûté une lourde punition. Mais avais-je eu raison d’opter pour celle que cette vieille blonde allait m’infliger ? De toute façon, il était trop tard pour changer d’avis.
2 – Punition
Comme prévu, les parents m’avaient donné une série de corvées avant de partir. J’ignorais ce qui m’attendait à l’étage au-dessus, mais ne savais que trop bien ce qui se passerait si la moindre trace de poussière apparaissait encore sur la grande moquette sombre (et sur une moquette sombre, la poussière se voit comme un nez au milieu d’une figure) quand mes parents seraient de retour. Donc priorité aux corvées ! Je ne me rendais pas compte que l’heure du rendez-vous était si proche quand j’eus enfin terminé ! Je me précipitai sous la douche, me récurai à fond, m’habillai et me ruai dans l’escalier ; seize heures dix ! Haletant j’ai sonné à la porte au-dessus de notre appartement ; aucun nom n’apparaissait à la sonnette. Le coeur battant, j’attendais ; la porte s’ouvrit soudain et j’entendis une voix féminine : — Entre ! Je suis entré, un peu inquiet. — Je t’avais dit « seize heures », il me semble ! — Oui, Madame. Bonjour Madame ! — On dit d’abord : « Bonjour Madame », et ensuite « Oui Madame » — Bonjour Madame. Oui, Madame. Je ne voyais toujours pas mon interlocutrice : le couloir d’entrée étais peu éclairé, j’entendais la voix venir, me semblait-il, de devant moi. — Retire tes chaussures et avance ! Jusqu’à la porte au bout du couloir ! Je m’exécutai, pas trop rassuré, et atteignis la porte pieds nus. — Entre ! Je suis entré. Entré dans un grand salon où trônaient deux immenses canapés, ainsi que des fauteuils et une table basse. La femme blonde était installée à demi allongée sur un des canapés. Mais dans quelle tenue ! Une robe noire, moulante, très longue, fendue sur les côtés jusqu’à mi-cuisse, un profond décolleté laissant apparaître une gorge magnifique. Elle me faisait penser à une panthère noire, tapie dans la jungle et surveillant sa proie. Et j’avais le sentiment inquiétant que la proie n’était autre que moi ! Si cette femme était superbe, elle était encore plus inquiétante ! Elle se releva avec langueur en position assise et me dit : — J’avais dit « seize heures » il me semble, pas seize heures quinze ! Pourtant j’avais dit « sois ponctuel » et j’avais dit « sois propre » ! Tu n’as pas respecté mes désirs et tu seras puni pour ça. As-tu au moins obéi à ma dernière demande ? — Je sors de la douche, Madame. — Ça t’évitera une punition de plus ! Va jusqu’à cette table, là ! — Mais… — Ne discute pas ! Obéis ! J’obéis et me dirigeai vers la table basse en question. La voix derrière moi cingla : 4 — Retire ta chemise et penche-toi en avant en posant tes mains sur la table ! Sans discuter ! J’étais désorienté : cette femme voulait me punir de ma bourde en me faisant retirer ma chemise ; le côté rationnel de cette demande m’échappais complètement, mais je n’avais guère de choix : accepter les demandes de cette femme ou subir les foudres de mon père. Puisque j’étais là, autant aller jusqu’au bout !
En désespoir de cause, je retirai ma chemise et me penchais en avant, m’appuyant sur la table basse. Je me sentais parfaitement ridicule dans cette position, et attendis la suite. J’entendis la femme se lever et s’approcher de moi ; très inquiet, je n’osais bouger quand soudain un sifflement sinistre se fit entendre tandis qu’une douleur cuisante me traversait le dos. Selon ma perception, elle m’avait fouetté avec un martinet quelconque. Je ne pus m’empêcher de pousser un « aïe ! », ce qui me valut aussitôt une deuxième cinglée. — Tais-toi, pleutre, subis ta punition en silence ! Je n’avais aucune envie de subir à nouveau ce traitement, et me tus. La troisième cinglée ne vint pas ; à la place, je sentis une caresse très douce sur mon dos ainsi maltraité, et, sur un ton très tendre : — Oh, pauvre chéri, tu as eu mal ? Laisse-moi te consoler ! Et les caresses continuaient sur mon dos, suivies d’un contact froid, mais m’adoucissant la brûlure des cinglées précédentes, un contact que l’on étendait en lentes rotations d’une main infiniment douce. Un baume ou onguent quelconque, supposai-je. Ma logique était mise à mal : cette personne voulant me punir me cinglait, puis venait m’adoucir, avec beaucoup de compassion – apparente –, la douleur engendrée par son propre traitement. Pourquoi me faisait-elle souffrir puis s’évertuait-elle à calmer ma douleur ? Elle eût gagné un temps fou à ne pas m’endommager dès le début ! Autant les coups de martinet m’avaient-ils fait souffrir, autant l’antidote était-elle délicieuse ! Mon sens critique en était quelque peu engourdi, et l’illogisme de la situation ne me gênait plus. Le lent massage à l’aide de cet onguent pris fin. Je sentis sur la zone cinglée un contact d’une nature différente : non pas une main mais… plus chaud et plus humide ! Ce ne pouvait être… qu’une bouche ! Qui me déposait des baisers sur la zone endolorie ! Une bouche, et une langue, si j’interprétais correctement mes sensations. Le résultat ne se fit pas attendre : mon attribut viril ne fit pas la sourde oreille (je me rends compte de l’incongru de cette métaphore) et commença une lente croissance dans les deux dimensions. Heureusement, ma position penché en avant rendait ce gonflement invisible à ma tortionnaire. Les caresses, baisers et lèches sur mons dos cessèrent brutalement. — Redresse-toi ! me fut dit d’un ton sec. Aïe ! Je me redressai, face à la table. — Tourne-toi ! Aïe, une seconde fois ! Je dus m’exécuter. Je vis qu’elle avait à la main, non pas un martinet, mais une badine à l’extrémité très fine. De cet objet, elle désigna ma braguette déformée. — Qu’est-ce que c’est que ces manières, jeune cochon ? — Je… Je ne sais pas Madame ! — Tu ne sais pas ? Menteur, en plus ? Je vais t’apprendre à ne pas mentir, moi ! Et de sa badine, elle me cingla la zone critiquée. Le tissu du pantalon me protégeait, mais la douleur fut vive. On aurait pu croire que cette agression aurait incité ma virilité à retourner à sa dimension de repos ; il n’en fut rien ! Au contraire, je ressentis, à mon plus grand embarras, que mes corps caverneux (je suis puceau, mais pas ignorant, et j’ai de bonnes lectures) continuaient leur remplissage sanguin. Au grand dam du tissu de mon pantalon. — Petit morveux ! Tu oses me défier ? fit-elle, observant ma métamorphose. Retire ton pantalon ! — Mais, Madame ! — Obéis avant que je ne me fâche vraiment !
Je n’avais pas trop envie de regoûter de sa badine, bien que ressentant une étrange sensation : ses coups m’avaient fait mal, mais j’y trouvais, sans comprendre pourquoi, une sorte de jouissance. N’ayant aucun choix, je déboutonnai mon pantalon et, honteux de le faire devant une dame et d’exposer ce qui se passait en dessous, le retirai. Mon boxer short avait pris une dimension supplémentaire vers l’avant de mon bas ventre. De lâche qu’il était habituellement, il était devenu un peu étroit. La femme toucha ce dernier du bout de sa badine. — Jeune cochon ! Est-ce une manière de se tenir devant une dame ? Fait tout de suite disparaître cette grossièreté ! Allez, allez, dégonfle-toi ! Facile à dire ! J’essayai, mais en vain, de convaincre mon embarrassant attribut de reprendre ses dimensions normales, mais comment s’y prend-on ? Malgré mes efforts, Monsieur restait érigé, en dépit des menaces de la dame à la robe noire. Me prenant aux épaules, cette dernière me força à me retourner contre la table et à me pencher à nouveau. Un sifflement sinistre se fit entendre en même temps qu’une brûlure me traversait les fesses, une fois, puis deux, puis trois, le fin tissu du boxer étant insuffisant pour amortir les coups. Je serrais les dents pour ne pas crier et m’en attirer plus ! La punition cessa soudain. Je n’osais bouger de peur qu’elle ne reprenne et attendis ; mon érection avait, si c’était possible, encore progressé et mon membre avait pris des dimensions jamais atteintes jusque-là. Derrière moi, j’entendis le bruit de la badine tomber au sol ; mon supplice était fini ! Je sentis deux mains venir me caresser les fesses et une douce voix me dire : — Mon pauvre chéri ! Dans quel état je t’ai mis ! Fais moi voir ça ! Et je sentis les deux mains attraper mon boxer à la taille et le faire descendre le long de mes jambes. — Madame ! protestai-je — Laisse-toi faire, mon chéri, détends-toi ! Elle me fit lever les pieds pour quitter mon sous-vêtement, me laissant nu comme un ver et revint à mon postérieur douloureux. — Oh, mon pauvre chéri ! Ces zébrures ! Que je suis méchante ! Il faut que je me fasse pardonner ! J’étais complètement désemparé : cette femme me frappant puis me consolant était-elle saine d’esprit ? En même temps, que je trouve une sorte de jouissance à ses coups ne prouvait-il pas que moi aussi j’étais anormal ? Elle caressait mes fesses douloureuses, puis se mit à y étaler de cet onguent qui m’avait soulagé le dos. Elle frotta longtemps, voulant sans doute faire pénétrer le produit, mais son massage tenait plus de caresses que d’un acte médical. Elle me pétrissait le séant ; je sentais ses pouces descendre dans mon sillon. Cet partie de mon fondement n’avait pas été atteinte par les coups, mais elle ne semblait pas s’en rendre compte et la massait autant, peut-être plus, que le reste. J’avoue que de sentir ses doigts aussi proches de ma partie la plus intime m’inspira un certain trouble et des pensées que je n’osais m’avouer. J’avais envie qu’elle persiste ! Quelle honte ! Étais-je devenu pédé, comme on disait dans ma classe ? Elle me massa de sa façon caressante pendant très longtemps. Plus longtemps, sans doute, que ne le nécessite un simple massage à fonction thérapeutique (oui, oui, je vous ai dit que je suis bon à l’école, ne vous étonnez donc pas de mon vocabulaire). Bref, ça se prolongeait, et plus ça se prolongeait, moins j’avais envie que cela cesse. Je savais pas que mes fesses étaient autant amateurs de massage. Le traitement qu’elle subissaient m’avait rapidement fait oublier les coups ! Le femme prodiguait ses soins tout en murmurant des mots dénués (à mes oreilles) de sens.
— Mes pauvres chéries, je vous ai fait mal, mais je vous en demande pardon ! Oh je vais vous soigner ! Peut-on s’adresser à des fesses et leur débiter des âneries pareilles ? En attendant, ces traitement me faisaient toujours de l’effet côté face : qu’allait dire, et me faire, cette femme si elle découvrait mon érection toujours et plus que jamais persistante ? Elle passa sa main entre mes cuisses, effleura mes bourses et remonta la main à l’avant. — Oh ! Elle se redressa : — Vilain garnement ! Ne peux-tu obéir ? Je t’ai dit de dégonfler ce… cet objet de stupre ! Je ne connaissais pas ce mot. Pour pouvoir lui obéir, il me fallait savoir ce qu’elle me demandait ! — Qu’est le stupre, Madame ? — Tu me le demande pour me faire dire des insanités, j’en suis sûre ! Et la badine siffla, pour s’abattre sur mes fesses maintenant dénudées. Je ne pus retenir un « Aïe ! » de douleur, ce qui me valut un nouveau cinglement. — Le stupre, imbécile, c’est la luxure, la vilenie, la débauche, tout ce que l’Église nous interdit ! Et elle ponctuait ses explications de coups, mais beaucoup moins forts sur mon postérieur. Ah, alors c’était une grenouille de bénitier ! Ça pouvait expliquer sa conduite étrange, après tout ! — Je n’ai pas été élevé dans la religion, Madame, expliqué-je. — Oh, mon pauvre chéri, alors, tu ne pouvais pas savoir ! Je te pardonne cette question. Me prenant aux épaules, elle me fit redresser. — Viens t’asseoir, mon enfant.
Trois – Consommation. Et elle me conduisit à son canapé, où elle me fit asseoir près d’elle. Ses cuisses magnifiques ressortirent de la fente de sa longue robe (qui remontait très haut) quand elle croisa les jambes. Elle me passa un bras autour des épaules et m’attira à elle. — Allons, je ne suis plus fâchée contre toi. Embrasse-moi, pour me montrer que tu ne m’en veux pas de ces petites misères. Gauchement, j’approchai mon visage du sien et déposai un bécot sur sa joue. — Pas comme ça ! Embrasse-moi correctement, voyons ! Et, prenant ma tête de ses deux mains, elle m’embrassa sur la bouche, m’introduisant sa langue, ce qui me fit tressaillir, car je ne l’avais jamais expérimenté, mais que je trouvai infiniment agréable et même excitant. Pendant le baiser, j’avais sous les yeux le magnifique spectacle de son profond décolleté à quelques centimètres de mon visage. Je ne pouvais quitter des yeux ces deux rotondités jumelles exposées à mon regard, reposant comme deux pigeons dans le même nid. Elles se gonflaient et se dégonflaient au rythme de la respiration de la femme qui continuait son baiser enflammé. Je mourais d’envie d’y poser la main, mais n’osais pas, pas plus que de caresser ces magnifiques jambes que la femme croisait de plus en plus haut. La femme me relâcha, haletante. Elle me présenta son dos et me dit : — Défait le bouton ! Ne sachant plus très bien ce que je faisais, je me mis à défaire le bouton fermant sa robe sur sa nuque. La robe s’échancra aussitôt, encore retenue pas une longue fermeture éclair. — Descend-la ! Sans vraiment me rendre compte de ce que je faisais, je la fis glisser jusqu’au-dessous de sa taille, les deux pans de sa robe s’écartant au fur et à mesure de ma progression, découvrant le bandeau noir de son soutien-gorge. Arrivé tout au bas, là où sa silhouette s’élargissait, une ligne noire : sans doute la ceinture de sa culotte ? J’agissais comme dans un rêve, fasciné par la situation et ma propre audace, oubliant ma nudité. Je n’osais pas lui toucher le dos, bien que mes mains y fussent attirées presque magnétiquement. — Fais glisser ma robe de mes épaules ! Mécaniquement, je passai les mains sur les épaules de sa robe, les repoussant vers l’avant ; le dessus de sa robe tomba aussitôt le long de ses bras, qu’elle dégagea. À part son soutien-gorge, elle était maintenant torse nu. Je ne voyais que son dos, mais tout de même, quel spectacle ! Elle se releva ; de quelques ondulations du bassin, elle fit tomber sa robe à ses pieds l’enjamba puis se tourna vers moi. — Viens ! Obéissant, je me levai, oublieux de ma nudité – et de mon érection. Elle m’attira à elle et repris son baiser de feu, ses mains me caressant le dos et les fesses. Empoté comme je suis, je laissai les miennes pendre le long de mon corps, jusqu’à ce qu’elle s’en empare et en place une sur sa culotte noire, l’autre sur son dos. Sa bouche me dévorait, sa langue s’enfonçait, tournant autour de la mienne et l’enveloppant ; c’était la première fois qu’une femme m’embrassait, me fouaillait de sa langue c’était le première fois que je voyais une femme en sous-vêtement et surtout c’était la première fois que je me trouvai nu entre les bras d’une femme (excluant la période
de ma très tendre enfance). Toutes ces nouveautés ô combien excitantes contribuaient à me faire tourner la tête. Mes parents m’interdisant de boire, je n’avais jamais connu l’ivresse éthylique, mais ce que je ressentais, là, ça devait y ressembler. Mes mains, une fois placées comme elle le souhaitait, semblèrent acquérir une vie propre, indépendante de ma volonté. La droite se mit à lui caresser le postérieur, pendant que la gauche parcourait son dos, effleurant, palpant, tâtant, de ses épaules jusqu’à sa taille. Je ne savais pas si cette femme était d’accord, mais mes mains s’en moquaient éperdument, il m’était impossible de les retenir. La belle blonde ne semblait pas avoir d’objection : sous mes mains, son dos ondulait, son bassin se dandinait dans toutes les directions. Bien qu’étant béotien dans l’art du rapport charnel, j’en conclus qu’elle manifestait ainsi son plaisir, ou ses encouragements. Ses mains à elle continuaient leur danse ; celle qui s’occupait de mes fesses descendait de plus en plus, se glissant entre mes jambes, parcourant mon périnée et venant jusqu’à effleurer mes bourses. Je me sentais complètement à la merci de ces mains, tel un jouet qu’elles auraient manipulé. Elle libéra soudain ma bouche et me tourna le dos : — Défais mon soutien-gorge ! Facile à dire ! Moins facile à faire quand ne sait pas ! Je voyais bien où les deux pattes se rejoignaient, mais comment les détacher l’une de l’autre ? Je tirais, mais sans succès. — Alors, tu te décides ? — Je n’y arrive pas, Madame. — Tu n’as jamais défait le soutien-gorge d’une femme ? — Jamais, Madame. — Et tu n’avais jamais embrassé de femme, avant ? — Jamais. — Donc tu es puceau ? — Oui, Madame. —Ça explique tout ! Un soutien-gorge tient avec des agrafes. Rapproche les deux pattes d’une de l’autre. Je m’exécutai. Et ô merveille, les deux côtés se séparèrent, et il tomba de lui-même : j’avais maintenant un dos complètement nu devant moi. Je ne pus m’empêcher d’y déposer un baiser tant il était attirant. La femme me tournant toujours le dos m’attrapa les deux mains et les ramena devant elle, pour les poser sur chacun de ses seins : impression divine ! Je n’avais, bien entendu, jamais touché de sein, et l’impression était fantastique tant ils étaient doux. Je découvris que leurs pointes gonflait sous mes doigts. Plus je les titillais, plus elles prenaient de volume et durcissaient. — Tu vois, moi aussi, je bande ! Descends ma culotte ! Ça, c’était facile ! Je m’agenouillais derrière elle, glissai mes deux mains sous l’élastique et tirai vers le bas ; le tissu noir glissa le long de ses fesses puis de ses cuisses. Elle leva un pied puis l’autre pour que je la libère de ces quelques grammes de dentelle noire. Je me redressai, toujours derrière elle, et repris mes caresses sur sa poitrine. Elle m’attrapa une main et la fit descendre sur son ventre, atteignant une petite toison très douce. Ma main la lui caressa, mes doigts s’emmêlant dans ses boucles soyeuses. Elle me laissa faire pendant un moment puis se retourna, me faisant face. Quelle splendeur, cette femme nue ! Ses seins que j’avais caressés mais pas encore vus étaient d’un rose pâle superbe, les pointes un peu plus foncées ; son ventre, à peine rebondi, était parfaitement accueillant : on avait
envie d’y déposer des baisers ! Les hanches étaient amples et sa petite toison triangulaire aussi blonde que ses cheveux. Elle me laissait la regarder : — Tu n’avais jamais vu de femme nue ? — Seulement en photo. — Et qu’en penses-tu ? — Vous êtes superbe, Madame. — Puceau peut-être, mais tu sais tourner un compliment ! Bon, je vais continuer ton éducation ; Viens ! Elle me prit par la main et m’entraîna à sa suite vers une autre pièce : sa chambre. Un lit immense y trônait. Elle me lâcha et alla s’y allonger. — Approche ! Intimidé, je m’approchai du lit. — Fais moi ce que tu as envie de me faire ! J’avais envie de tout, mais étais fasciné par son ventre, son pubis blond et les mystères que devait recéler son entrejambe. Je grimpais au bord du lit et, à genoux, déposait des baisers sur son abdomen, autour du nombril, qu’elle avait petit et bien noué. J’alternai baisers et coups de langue, puis m’enhardis à descendre lentement, finissant par atteindre ses boucles blondes ; que c’était agréable ! Leur odeur était suave, légèrement musquée. Je couvrais cette zone de mes baisers et me rendis compte qu’elle écartait progressivement ses cuisses. L’invite était claire ! Ma bouche descendit mais resta à quelques centimètres de sa féminité, que je n’osai toucher de mes lèvres. J’ouvris la bouche et exhalai légèrement, comme on le fait pour nettoyer des lunettes. L’effet fut foudroyant : elle cambra brusquement ses reins et amena son sexe au contact de ma bouche ! C’était… c’était délicieux, chaud, humide ! Je me mis à la lécher, promenant ma langue sur ses lèvres écartée, puis m’aventurant à l’intérieur. — Oh oui, comme ça, c’est bien, murmura-t-elle d’une voix douce. Encouragé, je léchai de plus belle et plus profond ; son bassin bougeait lentement sous ma bouche, la caressant de son sexe. Une main m’attrapa aux cheveux et me fit relever la tête, tandis que son autre main venait se poser sur la partie supérieure de sa fente, la frottant doucement. — Ici aussi, s’il te plait ! Et elle retira ses mains Il me plaisait ! Ma langue atteignit l’endroit voulu et le lécha. Je sentis, au milieu de ces douces chairs, la présence d’une partie plus dure, qui semblait gonfler sous ma bouche. Un gémissement m’indiqua que j’étais sur le bon chemin, et je me concentrai sur cette zone : Les gémissements, les halètements continuèrent, et s’accélérèrent. Le bassin se cabra à plusieurs reprise, les gémissements se transformèrent en un long cri étouffé. Je perçus un fort tremblement, sa vulve se contracta spasmodiquement et du liquide coula venant me tremper la bouche. J’avais lu que l’orgasme des femmes était souvent accompagné d’une émission de liquide ; là, ce n’était plus de la littérature ! Je lapai ce liquide avec délice, tandis que les mains de la femmes vinrent me caresser les cheveux, me masser les tempes et la nuque. Je venais de provoquer un orgasme ! Quel plaisir ! — Continue ! me supplia sa voix. Trop heureux d’être utile, je repris mon travail lingual, cette fois en m’enfonçant aussi loin que possible, ma langue venant caresser les paroi de son antre.
Les gémissements de plaisir reprirent, mais je sentis qu’elle me prenait la jambe et l’attirait à elle. Bien que sans comprendre son but, j’accompagnais son mouvement et rapprochais mes genoux de son visage, comme elle semblait le souhaiter, puis l’enjambais. Et là ! Je sentis une main prenant mon sexe, puis une chaleur humide venir l’entourer ! Elle me suçait ! Elle l’avala, en caressa le gland de sa langue tandis qu’une de ses mains m’entouraient les bourses, les palpant longuement, l’autre allant s’introduire entre mes fesses. L’impression était si forte que je sentis le plaisir au creux de mes reins s’amplifier brutalement, une onde de jouissance m’envahit et j’éjaculais ce qui me parut un flot de sperme. — Petit porc ! siffla la voix, tu m’as salie ! Tu ne pouvais pas te retenir ? Et elle me repoussa sans ménagement hors du lit. Elle s’était relevée, magnifique dans sa nudité et sa colère. Ses yeux bleus lançaient des éclairs — Petit cochon ! Malotru ! Je ne savais plus où me mettre ! — Mais Madame… — Pas de mais madame qui tienne ! Tu es dégoûtant ! Répugnant ! Elle sortit de la chambre d’un pas vif, pour réapparaître aussitôt tenant sa fine badine à la main. — Couche-toi à plat ventre, ordonna-t-elle, me désignant le lit. J’obéis. Pourquoi je le fis, sachant ce qui m’attendait, je n’en suis pas sûr ; est-ce cela, le masochisme ? J’entendis la baguette siffler et le trait de feu me traversa le dos, suivi d’un autre, et encore un autre sur mes fesses nues. Je ne pus me retenir de hurler de douleur à cette dernière agression : la peau de mon postérieur est très sensible, ce qui me valut un nouveau coup. — Arrêtez, Madame, s’il vous plait ! sangloté-je. — Tais-toi ! C’est moi qui décide, morveux ! J’ai horreur qu’on m’appelle morveux ; la crainte et la timidité furent d’un seul coup remplacées par la colère, qui m’envahit comme un torrent de lave. Je me redressai brutalement, me retournai contre mon ravissant bourreau dévêtu, lui arrachai sa badine des mains et d’une bourrade l’envoyai sur le lit. Je la mis de force sur le ventre, la clouant sur le lit d’une main et lui administrai une fessée monumentale de l’autre. Ah, j’y mettais du cœur, je vous en réponds. La femme n’avait pas eu le temps de protester que ses fesses étaient déjà rouges. Elle hurla, mais en vain : ma main vengeresse continuait de s’abattre sur son ravissant séant. Elle passa des protestations aux larmes, puis aux prières. — Arrête, je t’en supplie ! — C’est moi qui décide ! C’est ce que tu as dit tout à l’heure ! Je remarquai que j’étais passé au tutoiement tout naturellement. — Pardon ! Je te demande pardon ! Je cessai mes coups pour demander. — Pourquoi devrais-je te pardonner ? — Je te promets d’être gentille ! Tu ne le regretteras pas ! hoqueta-t-elle. — Tu promets ? — Je jure. Il y avait un accent de sincérité dans cette phrase.
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