Décembre
11
pages
Français
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2014
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe Tout savoir sur nos offres
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J'ai pris un rendez-vous chez un photographe, on m'a dit qu'il était spécialisé dans les photos sexy et érotiques et comme je veux me faire un album personnel de ce type de photo et tenter d'exciter peut-être mon mari... Qui sait ! Je prends donc mon rendez-vous. Je me sens très fébrile quand je me prépare à partir, je change de tenue 5 à 6 fois. Finalement, je me décide, mets un string de dentelle noir assorti d'un porte-jarretelle de dentelle noire également, des bas en filet ajourés qui sont attachés au porte-jarretelle, un soutien-gorge demi-buste, de dentelle noire également, mais très transparent, passe un chemisier blanc, laisse quelques boutons détachés dans le haut, pas trop mais juste assez pour me sentir attirante, chemisier assez mince pour qu'on voie mon soutien-gorge au travers. Jupe assez moulante qui me moule les fesses et descend juste sous la ligne des bas, escarpins noirs. Je me maquille légèrement, me parfume légèrement, remonte mes cheveux pour ne laisser qu'une petite chaîne pendre dans mon cou, petits diamants aux oreilles. Je me regarde dans la glace et suis satisfaite de ce que je vois. J'ai des papillons dans le bas du ventre (j'ai toujours rêvé de faire ça ce n'est pas aujourd'hui que je vais me dégonfler). Ça y est, je suis prête, je mets mon manteau, prends mes clés et sors de chez moi.
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J'ai pris un rendezvous chez un photographe, on m'a dit qu'il était spécialisé dans les photos sexy et érotiques et comme je veux me faire un album personnel de ce type de photo et tenter d'exciter peutêtre mon mari... Qui sait ! Je prends donc mon rendezvous. Je me sens très fébrile quand je me prépare à partir, je change de tenue 5 à 6 fois. Finalement, je me décide, mets un string de dentelle noir assorti d'un portejarretelle de dentelle noire également, des bas en filet ajourés qui sont attachés au portejarretelle, un soutiengorge demibuste, de dentelle noire également, mais très transparent, passe un chemisier blanc, laisse quelques boutons détachés dans le haut, pas trop mais juste assez pour me sentir attirante, chemisier assez mince pour qu'on voie mon soutiengorge au travers. Jupe assez moulante qui me moule les fesses et descend juste sous la ligne des bas, escarpins noirs. Je me maquille légèrement, me parfume légèrement, remonte mes cheveux pour ne laisser qu'une petite chaîne pendre dans mon cou, petits diamants aux oreilles. Je me regarde dans la glace et suis satisfaite de ce que je vois. J'ai des papillons dans le bas du ventre (j'ai toujours rêvé de faire ça ce n'est pas aujourd'hui que je vais me dégonfler). Ça y est, je suis prête, je mets mon manteau, prends mes clés et sors de chez moi. Il fait froid dehors, je rabats les pans de mon manteau que je n'avais pas attaché, de gros frissons me parcourent le corps tellement il fait froid, je sens mes seins en érections sous mon manteau, rejoins ma voiture et m'y engouffre rapidement, mets le chauffage au maximum, il faut que je me réchauffe. (pourvu que mes seins reprennent leur état normal sur le trajet, il ne faudrait pas que le photographe pense qu'il m'excite quand même). Je finis par retrouver l'adresse qu'on m'a donnée, me stationne et sors de ma voiture. Le froid qui me mord, instantanément mes seins qui pointent encore. J'ouvre la porte du studio et une chaleur tiède vient me calmer. Dans l'entrée, un long comptoir de bois, des cartes d'affaire. Sur les murs, de magnifiques photos de femmes, pas vulgaires mais très sexy, très
érotiques, jamais totalement nues. (ce photographe sait comment faire se sentir désirable une femme). Certes, ce ne sont pas tous des mannequins, loin de là, mais le photographe a trouver le moyen de les rendre tellement belles. Je décide de m'asseoir et de patienter, mon rendezvous est dans à peine 3 minutes. Une porte s'ouvre au fond et un homme arrive. Il est grand, cheveux blond platine, très mince et à ses manières, je devine qu'il est gay, c'est certain. (tant mieux, pas de danger de vouloir lui sauter dessus) '' Bonjour, moi, c'est Jérémy, je suis le photographe'' '' Bonjour moi, c'est Arianne, j'ai pris rendezvous'' Il regarde dans son agenda et me confirme que c'est à mon tour. '' Vous avez pris un rendezvous de 4 heures n'estce pas ? '' '' Oui, comme c'est la première fois et que j'ai peur d'être très timide, j'ai préféré me donner un peu plus de temps, mais je vais payer, ne vous inquiétez pas'' ''Ça va, pas de soucis, c'est normal d'être timide, mais ne vous inquiétez pas, tout se fera à votre rythme, j'ai différents dessous qui éventuellement pourrait vous aider '' '' Merci, c'est gentil'' ''Il y a quelque chose que je dois vous dire par contre'' ''Quoi donc ?'' ''Dans le studio, il y a de la lumière uniquement dans l'espace que vous occuperez'' '' D'accord'' '' Il y a autre chose que je dois vous dire, dans un coin du studio, il y a un homme qui sera assis dans la pénombre, vous ne le verrez pas, mais lui vous regardera et c'est lui qui me dira à l'oreille de vous proposer telle ou telle pose '' ''Donc ce que vous me dites, c'est qu'un homme que je ne connais pas, qui
n'est pas mon mari, va m'observer durant toute la durée de la session de photo ?'' ''C'est qu'avec l'expérience, j'ai compris que les femmes qui se sentent observées, sont plus sensuelles et veulent plaire ce qui se traduit dans les photos et les rend désirables, et soyez sans crainte, ce n'est pas moi qui le dirai à votre mari '' ''Donc je n'ai pas tellement le choix, mais je crois que vous avez raison, de toute façon, je ne le connais pas et il ne me connaît pas non plus'' ''Non ou alors les chances sont très minces, car c'est un homme différent à chaque fois, ils consultent les rendezvous et choisissent qui ils accompagneront. Dernière chose, comme vous avez pris le forfait 4 heures, vous pourrez, si vous le désirez vers la moitié de la session, faire des photos disons... Plus intimes, seule ou avec cet homme, photo que vous garderez pour vous évidemment'' ''Ce sera seule, croyezmoi ! '' ''Ce sera à vous de décidez au moment opportun. Prête ? '' ''Prête ! '' Je le suis vers la porte par laquelle il est entré et j'entre dans le studio, une pièce de grandeur moyenne, très sombre ou seulement une lumière éclaire un banc genre qu'on retrouve dans les bars. Tout près, un grand fauteuil d'un blanc immaculé assez grand pour qu'on s'y allonge. De l'autre côté, des paravents pour se changer de tenue, derrière les paravents des dessous de toutes sortes, allant du très prude au très osé en passant par des déguisements de secrétaire, d'infirmière ou autre (certaines ont de drôles d'idées) Mes yeux font le tour de la pièce, je remarque qu'effectivement, quelqu'un est assis, près du mur du fond, dans la pénombre, près du trépied du photographe. ''Tiens voilà l'observateur et conseiller je présume ?'' ''Vous avez tout à fait raison madame, et vous ne pourrez le voir qu'à votre demande, et seulement à la moitié de la session. Je vous présente Gabriel. ''Bonjour monsieur Gabriel''
Aucune réponse de sa part ''Venez, je vais vous aidez à retirer votre manteau et on va pouvoir débuter'' Je le suis derrière le paravent, il m'aide à retirer mon manteau et me dit de rester tout habillée pour les premières photos, question de me mettre à l'aise. ''Je vais vous demandez de vous asseoir sur ce banc, sous l'éclairage, je vais faire les ajustements de lumière avant de débuter'' Je me dirige vers ce banc. La lumière est si intense qu'une fois dans le faisceau je n'y vois rien autour comme si j'étais complètement seule dans la pièce, seul le déclic de l'appareil me rappelle que je ne suis pas seule. Doucement, sournoisement, une douce chaleur commence à s'infiltrer dans mon corps. ''Alors on commence, je vais vous demander dans un premier temps de prendre différentes poses qui vous mettent à l'aise, comme vous êtes tout habillée, vous ne devriez pas vous sentir gênée. Bougez sur le banc de façon naturelle et ne vous occupez pas de moi'' ''D'accord''
Je ne suis pas à l'aise sur ce banc. Trop étroit, pas de dossier, je tente de croiser une jambe, mais ma jupe est trop courte et laisse entrevoir le haut de mes cuisses, ça me gêne un peu. Je décroise les jambes, tourne de côté, de l'autre. J'entends les déclics de la caméra qui se déclenche à la vitesse d'une arme automatique. Je me mets face à la caméra, genoux très collés, très timide. ''Écartez un peu les genoux Arianne.... Oui comme ça'' Je ne sais plus où me mettre, une chaleur m'irradie le bas du ventre. Puis c'est là que je me rappelle qu'il y a quelqu'un d'autre dans cette pièce. Et là, encore habillée, les jambes légèrement écartées, face à la caméra et à cet
inconnu, je réalise qu'il voit mon entrecuisse, mon string et probablement mon portejarretelle. Je fige dans cette position, un regard de braise m'observe et je le sens me transpercer comme un laser. ''Écartez un peu plus voulezvous... Oui, c'est bien'' Clic, clic, clic... Il n'arrête plus et je sens une drôle de chaleur dans mon basventre ''Maintenant, Gabriel vous demande de détacher votre chemisier...Oui comme ça..... Écartez les pans de façon à ce qu'on voie votre délicieux soutiengorge... Oui, c'est ça...'' Je sens ses yeux sur moi, ça me brûle, ça m'excite, j'ai envie d'exciter cet inconnu, envie de faire tous ces petits caprices, envie d'être désirée par lui. (Mais qu'estce qui me prends ? Je suis ici pour prendre des photos uniquement et me voilà à être excitée comme une chatte en chaleur, la belle affaire) C'est plus fort que moi, je suis sur ce banc, je cambre les reins de façon à faire ressortir mes seins, mon soutiengorge transparent ne cache pas mon excitation. Les mamelons gorgés au maximum, ils pointent à travers le tissu fin et me font mal tellement ça commence sérieusement à m'exciter tout ça. Clic, clic, clic... La caméra me torpille. ''C'est bien Arianne, vous faites ça comme une pro... Maintenant, il voudrait que vous retiriez doucement votre chemiser... Excellent ! '' Doucement, je retire le chemisier, les déclics se font entendre à une vitesse d'enfer. Il ne veut laisser passer aucune image et ça m'excite terriblement. Me voilà en soutiengorge, les mamelons au gardeàvous et la chatte qui commence à me brûler.
''Tournezvous de côté que monsieur puisse voir l'excitation sur vos seins ... Oui, c'est bien'' Je sens son regard me brûler. Mes seins qui n'arrêtent pas de pointer devant ces yeux qui m'observent, les déclics de la camera qui se succèdent. ''Jusqu'ici, vous tenez le coup Arianne ? '' ''Oui, oui, ça va '' ''Monsieur demande si vous êtes prête à aller un peu plus loin ? ''Euh... Je crois... Oui '' ''Vous allez maintenant, tout doucement, vous lever debout et faire glisser votre jupe sur le plancher'' Je prends tout mon courage et je commence par défaire l'agrafe et descendre la fermeture éclair qui longe mes fesses, et là, doucement, je laisse descendre ma jupe. Une grosse chaleur m'envahit. Les yeux me transpercent, je sais que je ne suis pas nue, mais je me sens déshabillée du regard, de la tête au pied. ''Tournezvous Arianne, monsieur aimerait avoir un regard d'ensemble'' (regard d'ensemble mon œil, c'est mon cul qu'il veut voir, espèce de...)Je me tourne, je sens la fine ligne de mon string insérée entre mes fesses, comme si je n'avais rien finalement et je suis terriblement excitée. Le photographe doit s'en rendre compte, car il n'arrête plus de faire cliquer son appareil. ''Dandinezvous les fesses, langoureusement... Comme si vous lanciez une invitation... Voilà... C'est bien... Vous bougez très bien '' Des frissons me parcourent le corps en entier, plus j'accède à ses demandes et plus ça devient insoutenable, je ne sais pas combien de temps je vais tenir. ( Je dois me calmer...Respirer...Penser à autre chose...) '' Maintenant, vous allez vous tournez... Non pas trop vite... C'est ça... Penchez la tête un peu... Oui comme ça... Vous être très attirante Arianne''
''Merci'' ''Monsieur demande que vous vous allongiez sur le fauteuil de ce côté, prenez votre temps, je vais changer l'éclairage'' Je m'approche de ce fauteuil, long, blanc immaculé, un seul accoudoir et m'assois. Je dois m'allonger, mais je suis complètement figée, l'éclairage trop clair qui me surplombe, les déclics encore et encore, ce regard toujours. ''Maintenant allongezvous sur le côté... Mettez votre bras le long de votre corps... Comme ça... Appuyez votre tête sur l'autre bras... Oui, c'est ça'' Je me sens chaude et excitée, une gêne indescriptible, mais qui semble vouloir s'estomper. Clic, clic... Ça n'arrête pas ''Pliez votre genou de façon à ce que monsieur voit votre entrejambe... Oui, c'est bien'' ''Vous tenez toujours le coup ?'' ''Oui, oui... Ça va, je tiens le coup'' ''À présent, vous allez retirer votre string... Ne gardez que le porte jarretelle, les bas de filet et votre soutiengorge'' Un long frisson m'envahit. Ma chatte si soigneusement épilée que je vais devoir laisser voir par un inconnu. ( tu es venue ici de ton plein gré, personne ne t'a forcée et tu ne reviendras probablement jamais donc vasy, lâchetoi) Mes pensées se bousculent dans ma tête. J'accède à sa demande, en soulevant mes fesses, je fais glisser mon string le long de mes cuisses, mes mollets et enfin mes pieds. Je ne suis pas à l'aise du
tout et cet appareil qui n'arrête plus, je suis paralysée ''C'est bien Arianne, monsieur demande de vous allonger, mais sur le ventre maintenant...'' Doucement, je me retourne ''Maintenant, vous allez remonter vos fesses... Offrezvous à lui'' Je me ferais toute petite et je disparaîtrais sous le plancher, mais je tiens à faire cette séance et je la ferai jusqu'au bout, je relève ma croupe de façon à avoir les genoux collés ensemble, ça me semble moins pire. ''Écartez les genoux Arianne... Oui comme ça... Encore un peu... Hummm, vous êtes parfaite, bougez vos fesses, attirez le regard de monsieur vers votre raie si soigneusement épilée'' Clic, clic, l'appareil se déclenche à une vitesse d'enfer, qu'on en finisse. Je commence à être sérieusement excitée, ça devient douloureux cette retenue, mais je ne peux tout de même pas jouir ici, je ne suis pas ce genre de femme. Un dernier déclic et la lumière qui me dardait s'éteint, il fait noir tout à coup, je n'y vois absolument rien. L'adrénaline retombe un peu et je m'assois sur le fauteuil. Une lumière tamisée s'allume audessus du photographe seulement. ''Arianne, nous arrivons maintenant à la moitié de séance et je dois savoir si vous désirez poursuivre seule ou si vous désirez prendre des poses un peu plus suggestives avec monsieur Gabriel... Soyez tout à fait à l'aise'' ''Je n'en sais rien en fait, si je refuse, il se passe quoi ?'' ''Nous poursuivons la séance, mais il est certain que monsieur deviendra un peu plus suggestif dans les poses demandées et si vous acceptez, il se joindra à vous et il pourra vous guider dans les poses à prendre au gré de ses envies'' ''Je me sens mal à l'aise et je ne sais pas quoi vous répondre'' '' Je peux vous proposer quelque chose ?'' '' Oui bien sûr'' '' Nous allons reprendre la séance, par contre je vais vous bander les yeux cela devrait vous rendre plus à l'aise pour les futures poses qui, vous vous en doutez seront beaucoup plus osées si je puis m'exprimer ainsi et nous laisserons monsieur prendre la décision qui lui conviendra... S'il décide de rester sur son siège ou d'aller vous rejoindre, ce sera sa décision... Qu'en pensezvous ?''
Ce qu'il me dit a un petit côté excitant que je n'avais pas prévu, je n'ai pas de décision à prendre, c'est cet homme qui la prendra à ma place... D'un autre côté si je prends la décision avec ma tête, je dois refuser et si j'écoute mon corps qui est dans un état d'excitation extrême en ce moment, je dirais oui à l'instant, mais j'aurais le désagréable sentiment de passer pour une femme facile. ''D'accord Jérémy, j'accepte votre proposition, bander moi les yeux et je reprends les poses'' ''Donnezmoi quelques minutes, le temps d'ajuster quelques éclairages et j'irai vous trouver'' Tout àcoup, j'ai chaud, très chaud. Je ne sais pas à quoi m'attendre, ça m'excite et ça m'inquiète, mais au fond ce ne sont que des poses de photos et les yeux bandés, je sentirai moins ce regard qui me brûle la peau depuis le début. Après quelques minutes, je suis toujours dans la noirceur, j'entends des pas qui viennent vers moi. ''N'ayez pas peur Arianne, c'est moi, Jérémy, je vais mettre un bandeau de soie sur vos yeux et retourner à mon poste de travail ensuite, la suite se passera sur le fauteuil où vous vous trouvez vous n'aurez donc pas à vous déplacer les yeux bandés'' Il passe derrière moi, pose délicatement le bandeau sur mes yeux, le serre derrière ma tête et il repart. J'entends les pas s'éloigner. J'entends un bruit et je sens la chaleur du projecteur sur moi, il a allumé et je n'y vois rien. '' On reprend, je vais vous demandez maintenant de vous asseoir sur le fauteuil, adossezvous bien droite'' Je me recule un peu et je m'adosse, mes genoux soudés ensemble. Les déclics de la caméra reprennent leur pétarade et une douce chaleur m'envahit, je commence à lâcher prise... '' Vous allez maintenant écartez vos jambes... Oui comme ça... Encore un peu... Vous êtes magnifique Arianne et très excitante'' Clic, clic, clic... Je me sens terriblement observée malgré mon bandeau et terriblement excitée et cela doit sûrement se voir... Je sens ma chatte luisante de désir... '' Monsieur aimerait que vous vous caressiez les seins pardessus votre
soutiengorge... Créez le désir, sentezvous femme Arianne...'' Je me sens mal à l'aise, mais j'en ai très envie alors je pose doucement mes mains sur mes seins, les caresses, les jambes bien écartées et les mains sur mes seins, j'imagine ce que je dois projeter comme image. Mes mains s'insèrent doucement sous mon soutiengorge et un vide se fait dans mes pensées. Profiter de ce moment au maximum. Je sens la pointe de mes mamelons qui sont dressés au point d'en être douloureux. J'ai l'impression d'être dans ma bulle, de ne plus être dans cette salle, j'entends à peine les déclics de la caméra qui pourtant ne s'est jamais arrêtée. Un baiser se dépose à la base de mon cou, derrière moi, des mains remplacent les miennes à l'intérieur de mon soutiengorge, me caressent doucement, tendrement. Je ne suis pas surprise, je le voulais, j'attendais inconsciemment ce moment du plus profond de mon être. Mon corps se tend, la douceur de ses caresses me bouleverse. Ces baisers dans mon cou, cette douceur, j'ai un vertige. Je relève mes mains et caresses ses cheveux, il me prend le menton, retourne ma tête et dépose un doux baiser sur mes lèvres. Je n'entends plus la caméra, je n'entends plus rien en fait, j'ai juste envie de me laisser aller à ses caresses, de profiter de chaque seconde comme si c'était les dernières de ma vie. Je sens ses mains qui frôlent les côtés extérieurs de mes seins, des frissons m'envahissent. Il me caresse la base du cou et descend vers le centre. Il défait l'agrafe devant mon soutiengorge et en écarte les pans de chaque côté. Je n'ai pas besoin de voir pour sentir la tension de son regard sur moi, il me brûle sous tes doigts, il les pince légèrement, fait rouler les pointes entre tes doigts, les tirent. Je suis bien, je n'ose pas bouger de peur que ça s'arrête. Puis ses mains se retirent de mon corps, je ressens un vide, je ne bouge pas, mais je sens sa présence, tout près, devant moi. Je gémis lorsque je sens sa langue qui remonte l'intérieur de mes cuisses et se dirige doucement vers mon pubis en feu. Mon clitoris gorgé de plaisir s'offre à lui, à sa bouche, ses lèvres, sa langue. Je me cambre lorsque sa langue s'insère en moi, une décharge électrique qui m'envahit et me fait gémir. Jérémy poursuit sa quête de la meilleure image possible de ce moment de sensualité hautement érotique qui se déroule sous ses yeux.
Puis, plus rien, plus de contact, je sens toujours sa présence, mais il ne me touche plus. Quelques secondes à peine, il est assis tout près de moi, son bras se glisse derrière mon dos et me tire vers lui en me soulevant et me déposant à califourchon, dos à lui. Doucement, je descends et m'empale sur son sexe, ses mains malaxant mes seins, les pinçant, les massant avec tendresse. Me laissant aller aux sensations qui déferlent dans mon corps, je commence à monter et descendre sur son pieu, lentement d'abord et avec un peu plus de rythme. Son souffle haletant dans mon cou m'indique que qu'il aime et qu'il y prend plaisir autant que moi. Je me sens remplie et tout près d'exploser lorsque ses mains prennent mes hanches et imposent un rythme à la fois rapide et régulier et c'est dans un cri qui fait écho dans le petit studio que nous jouissons ensemble. Aujourd'hui, je regarde la photo encadrée que j'ai donnée en cadeau à mon mari et qu'il a fixée au mur de notre chambre et je me revois dans ce studio. Il m'arrive à l'occasion de regarder les images bien cachées dans un coffre, nos corps chargés des plaisirs que nous nous sommes donnés et que Jérémy a immortalisés sur ses images...
