Les Caractères
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Les Caractères ou Les mœurs de ce siècle
Jean de La Bruyère
précédé des Caractères de Théophraste, traduits du grec par
La Bruyère ; texte établi par Robert Garapon
Préface
Des ouvrages de l'esprit
Du mérite personnel
Des femmes
Du cœur
De la société et de la conversation
Des biens de fortune
De la ville
De la cour
Des grands
Du souverain ou de la République
De l'homme
Des jugements
De la mode
De quelques usages
De la chaire
Des esprits forts
Les Caractères de Théophraste
Les Caractères
Théophraste
Traduction de Jean de La Bruyère
Théophraste : Les Caractères
Discours sur Théophraste
Traduits du Grec
Je n'estime pas que l'homme soit capable de former dans son esprit un projet plus
vain et plus chimérique, que de prétendre, en écrivant de quelque art ou de quelque
science que ce soit, échapper à toute sorte de critique, et enlever les suffrages de
tous ses lecteurs.
Car, sans m'étendre sur la différence des esprits des hommes, aussi prodigieuse
en eux que celle de leurs visages, qui fait goûter aux uns les choses de spéculation
et aux autres celles de pratique, qui fait que quelques-uns cherchent dans les livres
à exercer leur imagination, quelques autres à former leur jugement, qu'entre ceux
qui lisent, ceux-ci aiment à être forcés par la démonstration, et ceux-là veulent
entendre délicatement, ou former des raisonnements et des conjectures, je me
renferme seulement dans cette science qui décrit les mœurs, qui examine les
hommes, et qui développe leurs caractères, et ...
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Jean de La Bruyère
précédé des Caractères de Théophraste, traduits du grec par
La Bruyère ; texte établi par Robert Garapon
Préface
Des ouvrages de l'esprit
Du mérite personnel
Des femmes
Du cœur
De la société et de la conversation
Des biens de fortune
De la ville
De la cour
Des grands
Du souverain ou de la République
De l'homme
Des jugements
De la mode
De quelques usages
De la chaire
Des esprits forts
Les Caractères de Théophraste
Les Caractères
Théophraste
Traduction de Jean de La Bruyère
Théophraste : Les Caractères
Discours sur Théophraste
Traduits du Grec
Je n'estime pas que l'homme soit capable de former dans son esprit un projet plus
vain et plus chimérique, que de prétendre, en écrivant de quelque art ou de quelque
science que ce soit, échapper à toute sorte de critique, et enlever les suffrages de
tous ses lecteurs.
Car, sans m'étendre sur la différence des esprits des hommes, aussi prodigieuse
en eux que celle de leurs visages, qui fait goûter aux uns les choses de spéculation
et aux autres celles de pratique, qui fait que quelques-uns cherchent dans les livres
à exercer leur imagination, quelques autres à former leur jugement, qu'entre ceux
qui lisent, ceux-ci aiment à être forcés par la démonstration, et ceux-là veulent
entendre délicatement, ou former des raisonnements et des conjectures, je me
renferme seulement dans cette science qui décrit les mœurs, qui examine les
hommes, et qui développe leurs caractères, et ...
Les Caractères ou Les mœurs de ce siècle Jean de La Bruyère précédé des Caratcère sde Théophraste,t raduit sdu gre cpar La Bruyère; t exte étalb ipar Robert Garapon Praféce Deso uvragesd e' lesprti D uméiretp ersonnel Des femmes Du cœ ru Des al oéict éted ealc onvesratoin Des b ei n ds e of r ut ne Dal e ville De la coru Desg arnds D usouvearni o udel aRépuilbque Dh'l eomme Des jugemenst D le a mode Deq uqleueu ssages De al charie Dese sprti softrs Les Caractères de Théophraste Les Caractères Théophraste Traduitcon de Jean de La Bruyère Théophraste : Les Caractères Discours sur Théophraste arTdtiud s uGrec Je n'estimep asq uel h'omm esoitc apabled eof rme rdanss one spiru tnp orejt puls vian te pulc sihméqiruq ,eu edep éretnder,e nécviratnd equelquea rt ou deq uqleue sicence que ces iot, échappe rà ottu eso etrd eircqitu,e e tenleve rless furfages de touss esl ecetur.s Car ,sans mé'etndre sur la difféernce des espir stde shommes ,auss iprodgieiuse ene uxq uc eleeld e leursv isages,q iuiaf g toetû raux un sels chose sdes pécualoitn et au xautres celles de pratique ,qu iaftiq ue quelquesu-nsc hecrhed tnansel slirves àexercerl eu rimagnitaoin ,quleques ature sof àrme relruj ugemen,t q'uentre ceux qui lise ,tnceux- iciamen tà têre forcé spa rl adémonsrtation, et ceux-l àveuelnt eetnndre dléciatemen,t o uformer des rasionneme stn tedes conjectures, ej me reefnrm eseuelmetn dan sce ettseicnc eq iudécrti les mœurs ,q iuexamin eles homme ,s teq iudéveloppe elur scaracèter,s e to'jse dire que surel souvarge sqiu rtiaetnt desc hose sqiul est ouchetn de si près, e toùi l ne s'ag tiqu ede'ux-même,s li ssotne ncoere xêrtmeme tndifficlies à cotnenet.r Quleque ssavatn sne goûte tnqu eel sapopthegme sde sanicens et les exempels érits de sRomani,s des Gercs ,des Perse,s des Egyptiens; l'hiiots erd umonde présen tleru ets inspidi;ei sl nes o tnptnioot uchés des hommes qiuel s envorinnent et avec quii l sivvetn ,te n efont nulle atteniton àel usr mœusr .Le sefmme ,sau conrtaier ,el sgen sdel aco,ru e ttous ceux q iuno'tn que beaucoup d'espri tsans éuriditon ,nidifférents pour toutes les chose squ iel son tprécédé,s sont avdie sde ceells qiu se passent à leru syeux e tqu ison tcomm esous el rumia :n sliels examnien,t i slles discernent, sli n epedre tnpas d evu ele spersonne sq iules entouretn, is charmé sde sdesrcpiiton ste des pietnures que lo'n iaf tde elusr contemporains, de elru sconctioyens ,dec eu xenifnq el iuuer rssembletn et à qui isl nec oreitnp aser ssembel,rq ue ujsqued ans al chiaerl o' nsec roit obilgé souvend te suspend erlE'vangli eporu elp srendrp ea rleu rfabile ,etl esr amenerà lerud sevoris pard e schosesq ius oeid tn eelg ruoût et de leur porét.e Lac ou rou nec onnaît pasl aliv ,elo ,upa rel mép sirque'ell a pou relel, négilg ee'dn releve rel rdicilu,e te ne' tspiotn rfappée des image squ li'petu ofruinr; e tis au conrtiaer lo' npeil tnc aouc ,romme ce'st touojursa ve cel sménagementsq uil uis otn dul ,siv an elle tire pas de cteeté bauched q euioer mlps ri acruoiisét ,tes ef iaeru ne ujts eidé ed'un pays oùli afu tmêma evior vécup ou rl econnîart.e D'autre par,t il est nature laux homme sde n eponi tconvein rde l abeatu éo ud eal dléictaesse du'n tar tid emoarel qu iel speni,t q iuel sdégisn ,ee toù isl se reconnaissent eux-même :sli ss eteritn d'embarars en el condamnan;t te tles n'apporuvel tn asait ,erquel orsque ,commençant àl âche rpsire te à'séiolgner de elurs personnes ,leelv amordr equlequ ea.ertu E nifnqullee apparence de pouvorier mlprit ou sel sgotûis s idfférenst des hommes pa run seul ouvrage de morela ?Les un scherchen tde sdéifntioins ,de sidivsions, des tables, e tdel a méthode :liv seelunq t'uonl eu rexlpqiuc eq eue'c e tsque lav ertu eng énéar,le tceettv erute npatrciilueq ;ruled elfiéfernc eset oruvee ntre l avaelual ,r focr e tel amagnanimti;é el sivce sexrtêmes par le défau to upa re'lxcè setnre elsquels chaqu evetr use trouv ealpcé ,e teduquel de ces deux etxêrme sleel emprutn edavatnag ;eottua eud ertoctrin ene leurp altîp as .Le saertu ,scoetnstn que lo'n érdusiel e smœusra uxp assoins et que lo' nexlpqiuec leles-c ipa rle mouvement d usang ,par celui des fibrese tde sarètres, quittent una tue rudt eo tul eretse. l Ise'nt oruv e'dunt orisième ordr equip ,esruadéq su etouetd ocrtni edes mœur sdoit tendr e àel sérofrme,r à dsicerner el sbonne sda'vec les mauvasies, e t àdémêelr dansl es homme sce qu li' y ad evia ,nd eafielb ted eriidcuel, 'dave cce q'ulis peuvent avoir de bo ,nd esa ni ted eolualbe, s elpasien tniifinme tndans la letcure des lvier squ,i supposan tel spirncipes physique ste moaru xerbatut spa rels ancein steel smodenres ,sej etetnt 'dabor ddansl eu raplpcitaoi naux mœurs du temps,c orgiretnel h sommesl esu nsp a rel saurtes ,par ces images de choseq siu el rusotn s ifamilières, te dont néanmion si sln e'savisaeitn pas d eteri relru niurtsction. Te lest le rtiaét des Caractères des mœusr qu enou sl asias éThéophar.etslI l a' puis édans el sEtihque se tdan sles grandes Morelas A'dotsiret, dont il uft le dsiiclp.e Le sexcellentes déifiniton squ e'lo n tila ucommencemetn d echaque chaiprts eo tnéatbiless rul esi dée stes l rue sprincipe sde ce garnd piholsoph,e et l eofndd esc aractères qui ys otnd écstire ts prisd eal mêmes oucr.eI e ls tvra iqui'l s eleser ndp orperp sarlé' etndueq 'uil leur donne, etp arl asaiterni génieuseq u'li en itc erortnel es vcies des Grec,s te sutrou tdes Ahténiens. C elrvi en epe tuguèr epasse rqu epou rle commencemetn du' nlpusl ong ouvrage que Théoparh etsav tiaenrtepir.s L eproej tde c ephliosoph,e comme vous el remarquere zdan ss apaférc ,eétait de traite rd eottuesl es vetrus et det ousel s cives ; tecommei l assuer lu-imême dan sce tendrio tqui' lcommence un s igrand desse ni àâ'lge d equtaerv-nig-tid-xnefu ans ,il y a apparence q'uun eporm etpmort le'mpêchad e lec onduir eà s apefreciton .'Javoueq uelo' ipnoinc ommun a eotujours été qu'il avia tpoussé s avei a udeàl d ece tnan,s tesani tJéôrm ,edan sun eeltter qui' lérctià Néptoei ,nassureq u'li es tmorà tc ens tep tan saccompils :des oretq ue j ene douet point q'uli n'y ati e uun eanceinn eerreu,r ou dans le schfirfes gerc squi otn servi d eèrg elà Doigène Laërce, qui ne elf ia tivrv equ equtaerv-nitgq-uinze années, ou dansel s permeisr manuscrtis qui o tnéétf iast de cte histoiren ,i's lest iarva'dlielrus qu eel squatrev-ingt-di-xnefu ans quec e tauetrus e donn edansc ttee pérfac esel isent égaelmetnd an squart emanuscirstd l ehtoilbib aèqu ePatalni,eo ù l'on a ausis toruvél es cni qdenriers chapitres de sCaarcèter sde Théophrats equi manquaeitn aux anciennes impresisons, e toù lo'n av udeut xertis, l'un :du Goût quo' n aporul es iviceu,x e t'la :ertud uGa nisordide, qui sont selu s tedénué sde elru schaptiers. Anisi cet ouvrag ee'ns tpe-tutêer même quu' nsimlp erfagmetn ,mais cependant un ersp etériceud x el'antiquit,ée t un monument d ealv viacti éde' lesprtie tduuj gemetn efrmte e solided e ce phliosophed an sun âge isa vanc.é Ene ftefli ,ot a oju sru étéul comme u nchfed-'œurv edans so ngenre:i l ne s evoi tire noel ù goût attqiue se fass emieu xermaqruer et où l'éléganc egrecqu eécaltd eavanatg;eo nl'aa ppleé un liverd o'.rL ess avatns,f iasanta tettnoi nal àvid ersité des mœursq iuy s on trtiaétes te àl amaèinre naïve dont otu sel scaarètcer sy sotn expirmés ,tel acompaarnt 'dailleusr ave cc elled upoetè Ménandr,e dsiciple de Théophrats,e e tqu iseivrt ensiute de mod elè àTéernce ,qu'o na dans nos ojru sis heuerusemetni miét ,ne peuve tnse'mpêche rdeer connaîert dans c epeti touvargel apremèire source de tout el comqiuj :e edsi d eceul iqu ie tsépuér des poinets, des obscéinté,s des éqiuvoqueq ,se iup tsris dans la natuer ,qu iaftir eril ess agese tlev seutreu.x M siapetu-être que pou rerelve rel mérti edc e erttiaé des Caratcèree te sni nseripr l aeltcru,ei ln esearp asi nulite de drie quelquc ehosed eciuled e elrua uteur. Ilétait dE'rès,ev lield L eesbo,sf lis 'dunf oolunli ;e p tuoru premier maîtred an sso npaysu n certian Leucpip ]1[ e ,qu itéa tid al emêm eelliv qu eul;i d eàl li pass aàl é'cole de Pltaon ,et a'sr atêrensetiu àcell e'dArsitto,e o ùli s eidstingua entre tou sses disiclpes. C enouvea umtîare, charmé de laf acliti éd eso nesprti e tdel a douceru ds eo nélocution, lui change aso nnom, qu iétiat Tyrtame ,enc leu idE'uphraste, qui signiif eceul iqu iparel bein; e tce nom nr eépondatn ponit asse zà l ahatu eesitme qui' laviad te al beaut édes ong éin eted ese sexpressions, il la'ppaleT héoparhst,e 'ces-tà-ider un homm edon tel langag ees tdivin. Et il sembl eque Cciéron ati entré dan sle sseitnmetn sde c ephiolsophe,l orsqu edansl eilrve q'uli itntilu e B ur ut s ou de sOrtaeusri llusrte , s il palre ainsi :"Q iue tspul sfécon dte plu sabondan tque Palotn? lpus soldie e tulp sefrm equA'irtstoe? pul sagérabel e tlpus dou xque Théopharste?" Et dans qulequesu-ned ses e séptîre sà Attciuso ,nv iotq ue, parlant du mêm eThéopharts,ei a'l lpplle eso nami ,qu eall ectru ede sesl viers liu éatit afmilèierte ,q 'ue linf aisatis esd éilce.s Arsiotet disait d elui et de Callisthène, un atuer d ese sdsiiclpes ,ce qu ePlotan avatid ti la première fosid A'irtsto emêm eetd e Xénorca :etqu eCallihtsèn eté tiaeltn àconcevori e taval tie'spirat trid,f e tqu eThéoprhaset a ucotniarre l'avait si v ,fiis peçrant ,is péntéartn, qu'i lcompernait d'abor du'dn echose tout ce qui en pouvati têerc onn;uq uelu' navatib esioé'd nperon pourê tr eexcti,ée q tui' lafiall à tla'u ertun freni pour el eretin.r lI etsimait en celui-ci s ruottue schoses u ncaratcèr ed edouceu rqu iérgnati également dans ses mœurs e tdan sso ntsly.e 'Lon raconte qu eel ssidpicels d'Arsitoet, voyan telru mîart eavanc éen âge e tu'dns eaof étn trfaafbiil,el epirèrent de leur nommers ons uccesseru; que comm ei lavia tdeuxh ommesd ans so nécoel su rqu iseu slc echiox pouvia totmber ,Ménédèm el eRhoeidn , teThéopharste d'Érès ,epa ru nespri tde ménagement pou rce iulqli'u voulati exclur,ei ls edécalar d eceett maèiner:i lefigin,t pe udet emps après qu eses disciplesl u ieerunaf tit cetet pirèr e teenl eu rprésence, que le vin donti l afisiat u nusageo rnidaeril iué atti nusibii ;el ls e tifapporter des vin sd eRhodes e td eLesbos ;li goût adeot uel ss deu,xd tiq 'uli sn edémentaien tpoi tnel ruetiorr ,rteq ue chacu ndan sso ngern eatéit excellent; quel e permeir avia tdel a ofrc,e mias que celu id eLesbos avai tplus de douceur e tq'ulil iu donnia tal prééfernce .Qu ioq li'ue nsoi tde ce afit quo' nil tdans Au-ulG,elleli e tscertia nque olrsque Airtsto,e accusé par Eurymédo ,nptêr erde Cérès ,'davio rmal parél des Deiu,x carignantl e destin de Socrate ,volutu soritr d'Athènes te s erriteeà r Cha,sicl vlile d'Eubée,i a lbandonn asoné coel a uLesbie,n ul ico aifnse sécir stà conidtion del es teni rseterc ;se t'cets par Théoprhats eque sontv enus jusques àn ousel o suarvgesd e ceg arndh omme. Son nom devni ts icèlébr epa rotutel a Grèc eque ,successe rudA'rsitoet, li ptu comtpe rbeitn tôdans l'école qu'i lul iavia talsiséuj esque s àdeu xmill eidscpiels.lI exicatl e'nvi ede Sophocleif , sldA'mpilcihde, te qiu pourl or stéia tpretéur: ceuli-ci, en efeft son ennem,i mia ssou sptérexet d'une exac etpcilo ee te'dmpêcher les assemlbée,s fti une ol iqu idéefndiat ,su rpeni ed el aiv,e àaucun philosophe d'ensegine rdan sel sécoel.s Isl obérietn ;ma sila'nnée suivanet, Philo nayatn succéd éà Sophocel ,qu iétiat sotr ide chagre el ,peup eld'Athènes abroge acette lio oideus equ ece derine rav tiaetiafl ,e condamna àun eamend ede nic qelat,stn érat tilbThéophratse te elr esetd esp lihosophes. Plus heeruu xquA'tsireto ,qu iavia ttéé conrtiatn d ecéder à Eurymédon ,il fut sur le poni tdev io runc etrai nAgnonide puinc ommi empei pa rle sAthénienss ,eelumen tà caus equi' laviat osl éa'ccuse rdi'mpéiét :attn était grande l'afeftcoi nqu ec epeuple avai tporu ul,ie tqui' lméritiat par sa ver.ut E ne ,teffon ul iernd c eétmoginage q'uli av tiaun esnigluèire prudence ,qu'li éatti zé élpourl e iben pubilc ,alboeiru,x iffocieux, affable ,beifnsiaatn .Ani ,isa uarppotr de Pulatrque ,olsrqu eÉèrsef tua ccalbée de ytranq sua iveianu tsupré al domintaoin del eu rpaysi ,l se joignit à Phiidas ,so ncompartoiet ,cotnbiruaa ve cul ide se seibns po ruarmer les bannis, qu iertnèrertn dans leu rivll,e e nchassèernel t srtîartes ,te erndiernt à toute î'ld eleL esbo ssai lbert.é aTtn der ares quailéts ne lui acquire tnpa sseuelmetn al beinviellanc edu peu,elp msia encoer le'stim ee talf amliaiirté des rois. Il tufam id eCassandr,e qui avati succédé à Adiré,e frère d'Alexandr ele Garnd, au oryaum ed eMacédoine; et Ptolomée ,ifsl d eLagu se tpremei ror idÉ'gytp ,eennitertt otujours un commecre rtéio tavec c ephliosoph.e Il mourut enfi naccalb é'dannée set de aftigue,s teli cess aotut àla foi sde artvlliae r ted eivrv.e Touetl a Grèce el pleura ,tet ou tel peulp eathéinen assits aàs euf snéarilles. Lo'n arconet d eul iqu edan sso nexrtêm eeivelliss ,en epouva tnlpu smacrhe rà peid,i lse afsiia tpoetrr en ltiière par laliv ,eloi ù ltéati v udu peulpe , àqu ili éatti si cher. L'on dit ausis que ses dsipicel ,sq iuentoruaient son ltiol rsq'u limorutu, uli ayant demand é's lina'vait rien à leur recommander ,lil eu rittn c eidscour:s "La vei nou ssédtiu , ellenous porme tde garnds palsiri sdans la possession d e algriol;e mia sà pein ecommencet--o nà ivvr eq'uli afu tmorui.r I l'n y asouve tneir nd eulps stéril eque l'amoru d ealr éptuaiton .Cependant ,me ssidcpiel,s conetetnzv-ou:s is vousn égligezl e'tsim ede shommes, vous vous épagrne zv àou-smêmesd egrands tarvaux;'s li sne rebutetn piontv torec ouarge ,i lpe tuavirre rque la gloire ser avorte récompense .Souvenezv-ous seelume tnqu li'y adans l avie beaucou pd echoses inuitel,s e tqu'il y en a pe uqiu mène tn àune fin slodie. Ce ne'ts pio tnà moi à délbiérer su el rpa itrquej e dio sprendr,ei l n'est plus temp:s pou rvous ,qiu avez à me surrviv ,evou sn esaureiz pese rtro psûermetn c eque vou sdeve zafi ".erE tce ufertns àl ed senrèiersp arloes. Cciéro,n dan selt orsiièm elirves des Tuscalunes ,d tique Théoprhaset moruan tse lpiagnit de l anature ,dec eque'll eavia taccodr éaux cefrs et aux conrielles unev ei s ilongue et quiel u res tis niutile, lorsqu'ell e'navia tdonn éau xhommes q'uune vei très courte ,bei nq li'uelru imporet s iofr tde vervi lonetgmps; que si l'âg edes hommese tûpu sé'etndreà u n lpus grand nomberd a'nnée,si ls eriat arirvéq uel eru eivaaruit été cultivée pa run edotcirne universelle, e tq'ui ln y'aiaru teu dansel monde ni art in sicenc equ i'neû tttaeint sa perfectoi .nE tsa tniJérôm,e dans le'ndrio tdéàj cti,é assuer que Théophraste , à'lâg ed ece tnse tpan ,sfrappé de la maaldeid o tnli morutu ,ergrteatd es otrd ri eeiv al dans un tempso ùi lnef siaatiq ue commencer à être sage. Il avac tioutumed id er equi'l ne fautp asa imers esa misp our le séporuve ,rmel sias époruver pou rels aimer; que les amsi dvioetn êert communs enter el sèrfer,s comm etotu ets commun etnerel s ami ;squ e'lon deviat p tôtulsf eei r àu nchevla sanf serni qu' àceuli q iuparel sanj sugement; que l aulpof s etrdépense que lo'n piussef iaere tsc llee du temps. Il dtiu nojruà u nh ommq eus iat eisati àt abel dans uf nesit:n" S iut e sun habli ehomm ,e utaot srt de n epas parel;r mia s'sli ne' tspas ians,it u e nsais beaucou ".pVioq àluqleuesu-nes des es maixme.s Masis inous parlons de se sourvagesli ,ss on tinifni,s et nousn 'apprenonp saq sue nlua nicena tip ul séq tircuT ehéoparhste. Doigène Laërcef ia t'lénuméartiond eplus d edeuxc estn artétis fidéfern ste tsu rottues sotres d esuejst qu'il a composés. La ulpg sarndep atreis e'tsp erduep arl emahleru des temps ,etl a'uter s erédui à tnivgt artéti,s qui sont recueliil sdansl evolum ede ses œuver .so'Ln yvio tneu flivres de l'ihtsioer de spaltnes ,is xilrves de leusr causes .lI aétirc des vent,s d ufe,u des eiperrs ,du miel ,de ssignes d ubeaet ump ,sde sisgnes d eal pluie, des signe sde alt empêetd ,es odeur,s d els aue,rud uvetrige ,de la alssiutde ,dur âlechemen tdes nersf ,d e aldféalliance ,de spsioson squ iivvetn hor sd ee'la ,ude sainmau xqui changent d ecoelu,ru de sanimau xqui naissen tsuibetme,tn des ainmaux sjute sà l'envei ,de scaarcèter sdes mœurs. Volià c equ inous erset de ses ércit,s ertne elsqulec se dernier seul, don ton donnel artaducoitn ,petu réponder non seelumetn dl eb aeauétd eceuxq ue 'lonv eitnd edéduire, mais encod er uméretiu'd nn ombre ifnin i'daurtes quin e sonp toni tvenu sjusquà' nou.s Que q isulequesu-ns se refroidissaien tporuc teo uvrage mora lpa rlec shoseq susli' y vioent, qiu sotn d uetmp sauque lli a éét érci ,t tequ in esont point selon lerus mœusr ,qu epeuventi-lsf aier d epul slitu e ted elpu sagéralbe pour eux que d ese dé eriafd ecett epréveniton porul eusr couutmes et elurs manèier ,sq ,iusans autre dsicussoi,nn ons euelmetn elsel rutiaf rt ouver les miellerued s eotetus ,mias elurf ait persqu edédice rque tout ce qui n' yes tpa scofnorm ees tmépsirabel ,te qiul es prive ,dansl aelutcre desl ivers de sancein ,sd ulpiasi rte de 'ilnsrtucoitn q'usli en doivent attendre? Nous, qui somme sis modernes ,seorns ancein sdan squqleue ssièlces. Alors l'ihtsioer d unôertf er agotûer à alpoétsétir al vénail étdes charges, ce'st-à-dil ere pouvrio d eportége r'ilnnocence ,d epurin le cirme ,et de fria eujscit e àtotu le monde ,acheét à deneirs compatn stcomm eune métairie; la slpenderu des patrisans ,gens s imépsiré schezel sHébreux et chezl e sGercs .'Lo netnendar parel rdu'ne Captial edu' ngran dRoyaume où il n'y avai t inalpce spubilques ,in bani,s inof nniates , inamphithéâters, ni galeires ,ni potrqiue,s n ipromenori,s qiu téa tipouatr tnunv eille merveilleuse .'Lo ndri aquet ou telc ousr dl eiv a's e ypasstia persqu eà sortri de sa maiso npou rella rse erfnerme rdans cell e'dun atuer; que d'honnêtes efmme ,sq iuté'naeint ni marchandes n ihôetilère ,saveia tnelsru maisonso uvertesà c euq xup iayiaent poruy etnerr ;qu eo'lna vait à chiosir desd és, de scaret s tedeot u selej sux ;que 'lon mangeati dan sce smaisons, et qu'eells iatée tncommodes àtotu commerce .'Lons au arque le peuple ne paraissait dan sal iv ellqu epou ry passer avec péripicitaton :nul entertien, nluelf amliaiir;ét quet ou ty éati taforuch e tecomm elaarmé par le bruit des char squ li'llaf tiaéivte,r e tqui sa'bandonniaen tau miileu desr uesc ,omm eoiaf n tdan sune ilcep ou rremporetr el p xirdl e acousr.e L'on apprendr asan soténneme tnque' nlpiene pa xi tedan sune artnqiulltié publqiu ,ede scotiyen seniarten tdan sels eTmpels, alaleitn vio rdes efmmes, ou visitaei tnelu sram siave cdes arme soffenisve,s e tq'uil n'y avati presqu epersonne qu ie'nû t àso ncôt éde quo ipouvo ridu' nse lucoup en tuer un autr.e O uisc eu xquiv iendrotn aprèn sou ,serbuétp sard e smœru s isétarnges e tsi déffieretn sdesel ru,s s edégotûetn parl àde no smémoires, de no spoéeiss ,de nrto ecomiqu eet d eno ssatier,s pouvonsn-ou snel es pas plaindre par avanc ede se prvier eux-mêmes, par cte etfausse délicatesse, d eal lecuter d e isbeaux ouvarges,s irtaviallés,s iérguiler,s et d elac onnaissance d uulps beaur ègne dont jamasil h'siotri eiat été embellie? Ayons donc pour elsl vier sde sanceinsc etet mêmeni dgluenc equ enou sespérons nou-smême sde al posétirét, pesruadésq ul eeh somme s'nonp toni tdu'sages in de couutmesq ius ioed tn etousl es sèicel,sq le'uel schangent avecl es etmpsq ,uen ous sommest or pléiognés d ecellesq uio np tass,ée t trop proches de cellesq iur ègnent encore, pou rê ertdans al idatsnc equ'il afut poruf iaer des une se tde saertus un jusetd iscenremetnA .lor,sn i ce qu enous appolenp al setilossed eno smœrus ,inl a beinséance d eno scotuumes, in ntore fast,e n inort emagniifcenc ene nous péreivndornp ta sdavantage contr ealv eis imlp edes Ahténeinsq uc eotnerc led eles permeisr hommes, grands par eu-xmême,s ni tedépendammen tde mill echoses exéteirures qui ont ét édepsiuni veétne sporu suppléer petuê-rt e àcet etvératielb garndeu rqu in'est pul.s La nta erus emontarti en eux dan sot etus apureté e tsa dignti,é e t'ntéia tptnio encos eroiulél epar alv aniétp ,a relul x,e etp ar la sottea mboiti .nUnh omme né'tati honor ésu ralt erer qu'à cause de sa force o ude sa verut ; liné'at tipoin tirche par de schagre so udes pensoins ,mai spa rso ncham ,ppa rse srtoupeaux ,pa rses eafnnste tse ssevretiurs; sa nourrit eruiatés tanie e tnautrelle,l e srfiustd ealet rr,e le lai tde se sainmau x tede ses breib;s ses vêtemenst simpel s teuofinrme,s leurs alines, leusrt sioons ;ses palsiri sninocen ,stun egarnd erécolt,e l emaraig eds ees efnan ,stu'lnoi navec ses voisnis,l apia xdans s aafmille. Rien n'es tpul soppos éà no smœrus qu eotuet sce schoses ;mai sl'éloignemetn des temp snous les fait goûter ,ani isqu al editsance desl eiu xnousf ia tercevoir tout ce qu eels videsres leraiton soul eslvi re sdev oyages noua sppernnend tesp ay solniatind te sen soitans étrangères. Ils arcotnen tun elergiio,n une ploic ,eun emainè erd es enou ,rirrde sh'abilel,r de bâit rted eaferi l aguerre ,qu'on ns eavatip nio,t des mœursq u e'loni gnoria .tCelles qui approchetn des ntôer snouot suchen ,tcelels qui 'sen légionen tnous étonnetn; mias otuet snou samusen.t Moins rebutés pa ral barbair ede smainères e tdes coutumes de peulpes slé igioné,s q'uintsrutise tmêmer ojéusi pa rleur nouveali ,étu nous sffui tqu eceuxd on til s'aigt soien tSiamio,s Cihnoi,s Nèger sou Abysisn.s O rceu xdont Théophraste nou spietn els mœru sdans ses Caarètcer séeiattn Ahtéeinne ,sn tou ssommes Françasi ;tes inousoj ignons à la divesrd étieeil su xte du clima tel olngi tnervall edest emps, te que nou sconsidéroin squ ecl eervi a pu êter écrit al derèinr eannée d eal CXV eloymaipd ,e siortcent quatorze ans avatn lè'er crhtéeinn,e e tqa'unisi li y a deux mlli ean saccomlpi squ eivvati c epeulpe dA'htènes dont i lfait l apierutn ,enou sadmireron sde nous yreconnîatre nou-s même ,sno samsi ,no sennem ,siceux ave cqiu nous vivons, e tqu ecette ressemlbance avec des homme ssépaér spaat r tnd eèislces sio tis etnèir .eEn ffete ,els homme sn'ont piotn chang ésolenl e cœru et seolnl es pasison ;sils sotn encore tle squ'isl éatei tnolar s teqi'uls sont maqrué sdan sThéopharets :vanis, idssimuél,s falettur ,sintéressés, effornét,s imporutns ,déifanst ,méidsants, querelleuxs ,upetsritieu.x Iles trvia, Athènesé ttial bier; cé'tati l ecenertu'd neér pulbiqu;es esc tioyens étaient égaux;i sln eorugsisaient poin tl'un dl ea'tu ;er slimarchaient presques eusle t àiped dan sun eivlle porp,er psialbi ete spaeicus ,eetnraeitn dan sles bouqitues e tdans les marchés,a chateeie tnu-xmêmesl esc hosesn écessaries ;é'lmualtion du'ne cour n ele sfasia tipiotns or ritd'une vie commun;ei slr éservaein telrus eslcave spol rues bnia,s poru les repas ,pou rel serivcei étnreiru des maisons, pou rle svoyagessli ; passiaen tun epatri ede leu riv edans les places, dan sel setmpel ,saux amphihtéârtes, sur un port, sou sde sporitque,s e tau mliei uu'dn elliv edont ils étiaent égaelmetnel s mîaert.s L àelp eulp ea'sssemialbp tod rubilééerd res faafries pulbqiues ;ci ili se'tnretenait avec le stéarnge;sr lialeurs les phiolsophe sattntô enseignaient leur docrtni,et anôt tcoéfnarei tnavel ceusr dsicilpes. Cesl eiux éateint tou t àal fiosl ascènd eealp sisirs te des afafrieslI .y a vatid an sce smœsru quelque chose d eismelp ted epopularie, et quir essembel peu aux nôtres, ej l'avou ;emsia cependan tquel shommes en général quel es Ahténeins ,e tquleelv ilel qA'uhtène!s qullees olis !qulele pocile !quleel vaelru !quleel dsinilpic !equ ellepereftcoi ndans toute sle ssceince ste dan sotus les arts! mais qu ellepetilosse dansl e commerce odrniiaere tdans el langage! Théopharts,e l emêm eThéoparh etsdont l'on vient de ider d eis garnde schoses ,ce paelru ragéraelb, cte homme qui 'sexprimiat vidniemen,tf tuer connu térangere t apped élec n eomp aru nes imlp eefmmed eq ui i lachetait des herbesa u macrh,ée q tiu reconnut,p ar j ene sai squo i'dtaitquq eul iiu manquatie tquel e sRomanio snt depuis appeléu branti,éq 'u li'nétiat pas Athéein;n te Cciéorn arppotr equ ece gran dpesronnag edemeru aéotnné de voi rqua'yatn eiv illidan sAthènes ,possédan ts ipafriaetmetn le langage attique e ten ayatn acqu'l siacce tnpar une habiutde deat n t'dannée,si l ne sé'tati p udonnec re qu ele simple peuple avati ntaruleelmetn es tans nllue pein.e Que sil o' nneial ss epas de lri equlequeofsi ,dansc t eratié des Caracèter ,sdec etrniaes mœusr q'uon ne peut excuser e tqu inousp ariassentr idciules, li aftus esouveni rqu'elles on tpaurt leel sà Théopharst,e q'uiel l s aergadrée scomm ede scives don tli a fiat une pietnrue nïave, quif it honta eu xAhtéeinn se tqu isevrtià elc sorrgie.r Efnin,d an sl'espritd e contente rceu xq iuerçovient froidement tou tceq iua ppareittn au xétarngersa te u xancein,s etq ui n'etsimetnq uel eu srmœur,so nle sjaoutc à ete ouarvg .eL'o na cru pouvoris eidspense rd esuvirel e pro tejdc e epholisophe, soit parce qui' les totjuou srpenreiciu xde porusuvierl etarvali da'tuur,i sutrou tsi c'ets u'd naneicn o udu'n auetru du'n egrand eréptutaion; soti encore pacre que cette unqiue fgi eruqu'on appelel descoitpir no uénumération, employé eave cattn de succès dans ces ivnh-tg tiuchapiert sde sCaarètcre,s pourriat en avu rion beaucou pmonidr,e s ileel téia trtiaét epar un géine fort éfnieir ru àciule de Théoprhaset. A ucotnrarie, se erssouvenan tque, parmi le gran dnomber des tiarét sde ce piholsoph earpporét spar Diogène Laërc,e i l’sen toruv eun sou sel ttir ede Proverbe,s ’ces-tà-ider d epièces détachées ,comm ede slféreixon sou des ermarques ,qu eel premeir te l eplus grand livre d emorla equ iia téét fiat port ece mêm enom dan sels idvines Ecritrues ,on se’ts rtouvé excti épa rd e isgarnds modlèes às iurv esleon sesf orces uns eemalbelb mainère ’décirre de smœru s ;te ’lo nn’ aponit téé doténrud ées one nrtepirsep ard eu xourvagesd emoarq elus iotn dans els main sde ottul emond,e et d’o,ù faute d’ettaoitn nou par un espirt de criitqu,eq ueqlueu-snp sorueiarp tnenserq uec esr emaqrue ssotni mitée.s L’un, par le’ngagemen td eso nauetur ,fati sevrril améatphysique à la relgiio,n fiat connaîrt’l eâm,es esp assoins ,se sivcert ,sel etiag srands e tles séreiux mtofi sporu conduri e àla ver,ut tevetuer ndr e’lhomm echtérie.n L’auter, q iuel ts apordutcoin du’n esprti nitsurtip arl c eommerce du mondte ed onal td ilécatesse téai téglae àal pénértaoitn ,obsevra tnque l’amour-proper ets dan s’lhommel acaus ede otu sses elbiaf ,sl’tataque sans erâlch,eq ueqluep aro tù li t elrouve; e tcetteu inqu epensée, comme multipliée e nmelli maèinersd fiéfretnes ,at oojuru,sp arl e choix des mot set par al variét édel e’xperssoin ,lag ârce d ealn ouveau.ét o’Ln ne sui taucune de ces oruet sdan s’lourvag equ ietsnioj tl à artaduciton des Caractères ; il esot t tudéffier tndes deux auters quej eiven sd etoucher : moins subilm equ e elpremei ret mions dlécita que l esecon ,di ln eetnd q’uà render l’hommer iasonnab,el mai spa rde sveiosis melps e tcommunes, et en ’lexamniant indfiéfermme ,tnsan sbeaucou pde mtéhod ete sleo nqu ele sdivers chaperti sy condusietn ,pa rel sâges,l ess exese tels condiitons, et pa rles vices, el safbielte s el iridculeq iuy sotta tnaché.s o’Ln s’est plus aplpqiué auxv cies de le’spirt, auer xsilp d ucœru e t àottul i’tnérieur d el’hommeq u eT tiaf a’nhéoprhaset; e tlo’ npetud ri eque, comm eses Caraètcer,s pa rmllie chose sextéireuers qu’isl fonter maqrue rdanl s’homme, par se satcoins, ses paorel ste ses démacrhe ,sappernnetn quel est son ofn ,de tof tnremoetnr ujsques àal soucr ede son déèrlgemen,t totu au cotnraire, el snouveaux Caarcèter,sd épolya tna’dbor del spensées, els sentiments et les mouvemetn sdes hommes ,découverntl e pirnpic ede elru mlaice et de leusrf ialbesses ,oftn quel o’n prév tioiaséme tntou tce q’uli ssont capalbes de id ero ud eafri,e te q’uon ne sé’otnnep ul sd emlile actions ivcieuseo svirf uelos dotnl eu riv ees tottu eermpil.e lIafu tavoue rque sur les titers d ece sdeux ourvages le’mbarar sse’ tsortuvé presque égal. Pou rceux qiu paratgen el tdeeinr ,r’sli sne palsietn piotn assezl ,’on permet ’den suppéler a’dertus ; mias àl’égadr des ttier sdes Caractères de Théophratse,l a mêmil ebetr é’nestp asa ccordé,e pacrq euo’n ne’st point maître du bei na’durtiu . Ila afll usuvir e’lespr tida’l euetru ,teel st radiure selon les en sel ulps porche d ela dciito ngrecqu,e e ten même temps seloal n ulp sexaetc conformiét avec leurs chaiptres ;ce q iune’s tpas une chose facli,e pacre que souven tal isgnficioita nu’det nrme gerc,t raduit enf arnçia smo tporu mto ,’ne tspuls al même dan sntoer langu e :par exemple, iroin ee tsche znous une raillerei dan sla convesritaon ,ou unef igrue de rhétorique ,tec he zThéoprhastec e’ts quelqu echose etn erla fourberie et l asidsimlutaoi ,nqu i’nes tporuta tnn iu’l n inla’tuer ,masi précisément ce qui ed tsécird tanl sep remierc haipter. E t’diaellusr le sGrecs ont quqleuofei sdeu xo urtios etrmes asse zidéfferstn poru exprimer de schoses qiul eson taussi te qu enou sn esaoirun sguère ernder que par u nselu mot : cette pauvreét embararss.e E nfe ,tefo’l nermaqrue dan scet ouarvg egre ctior sespèce sd’avacire ,deu xsoetrs d’importuns, des falettusr de deu xmainères , teauatnt de grand sparelu sr :d esoret quel es caartcères d eces personnes semblener tertnel rsu nsd an sle saurtes, au désavantag edut iert; i slne sotn pas aus isotoju srussiviu et pafraitemen tcofnorme,s pacr equ eThéophars,et empor étquqleuofe sipa rl edessein qu’li a de fiaer des porrtaits, se trouve detérmnié àce schangement spa rl ecaartcèr etel es mœurs du personnag equi’l pieno tud onli tiaf t la saitre. Les déifinoitn squ ison tau commenceme tnd echaqu echaptire ont eu leusr idffciluét.s Elless on tcotrues et concises dans Théoprha,etss elon l aformed g urec tel eytsled ’Aristtoe, q iu iuleof a nruinl es permières idées: on lesa é etndue sdans l atraduciton porul eer sndrtni eeillgilbes .Il sel ti aus isdans c ertiaét des pharses q iuns eo tnpa sachevée se tqu iofrmen tu nsensi mparafti, auque lil a ét éaf elicde suplpéer l evéirtalbe; i l’s yrtouve de diféfrentesl eçon,s queqluese ndtiorot s à tufati interrompus , teqiu pouvaein trecevori dviesres explciaoitns ; et pour ne piotn ’ségarerd an sce sdotues ,o na suiv ile smeiellui sretnpretèr.s Enif,n comme ce touarvg e’nets qu’un esimple nitsurtcoi nsu rles mœusr des hommes ,et qu’li vsie mions àel ser nder savanst qu à’elr send ersages, l’on s’est toruv éexemtp dl e echarge rdel ongue ste crueiuse sobsevritaon,s ou d edotces commetniaer squ ierndissen tun compe etxad tca’l entqiiuét .’Lons ’esc toetnnétd e metter d epeitte snote sà côtéd ec erniate sndiorts que l’on a cr uel mértier ,fai nque nul sdec euq xo iund t eal jutsesse, de lav viacti,ée tq àu ilin emanqu eque d’avoir lu beaucou ,pn eser eprochetn pas même c epeit tdéafut, ne puissent ertêaétêrrs dan sall ecuterd es Caractères et dotueru nmometnd us en sdeT héopharts.e Les caractères de Théophraste Tardutid sug rec ’Jia admri ésouvetn ,ej ta’vouq euej n ep esiue ncore comperndr,eq ueqlues éireuse réflexoin quj eaf ess,e poruquoit ouet l aGèrce ,téan tlpacée sous un même cei,l et les Gerc snorru si teelévés de al même manèier ,lis eortuve néanmoin ss ipe ude erssembalnce dans leurs mœru.s Piu sdonc ,mo ncher Ployclès ,qu’à lâ’ge de quertaniv-d-tgi xnefu ans o ùj eme toruv,e ja’i assez vécu pou rconnîa ertels hommes ; que ja’i vu d’alilerus, pendan tel cou srde m aiv,e toute ssoetr sde pesronnes e tde divesrt empéarmetn ,ste quej emes ut siouoj sruattach é àtéueidr el shommes vertueux ,comm eceux q iun’étaient connu squ epa relru svcies ,il sembel qu e’jia d ûmaqruerl es caractère sde sun set de sauerts ,te n eme pas contenter de piender les Grec sen générla ,ma simêm ed eotucher c equ iest pesronne,l e tce que puliseusr d’entre eux paraissen tav riod eplus famileir. ’Jespèr,e monc he rPolyclès, que ce touvargs ee arutli e àceux qiu viendrotn après nou s :lil eu rrtacera des modlèe squ sli’pouorrtn siuvr e; li leru appernd aràf ari eel idscernemen td eceu xavec qu ili sdvioe tniler queqlue commecre ,te dont ’lémluatoin els poret arài mietrl eur sagesse te elru svetrus .Anisi je vais enter ren matièr e :ce’tsv à oud sep énérter dan smons en,se te’dxaminer aveca ttentoi nl isa vérs étie trouve dans mesp arloes; e s tansf iaeru nep lusl ongue préfacj ,ep eareliar d’abor ddel aidsismualoitn ,ej définira ice vic,eej ridc ia equec ’ets q’uun homme idssimul,é jed écirar ise smœusr ,te j ertiateare insd etiues autres passions ,suviant l eprejo tqu ej’en a if.tia D le a id s is m lu ta oi n L aidsismualtion ne’st pa siasé e àiben définir :si l’on s ecoetntn ee’dnf iaer une ismpl edesctpiroi,n’l on peu tdier quec ’ets u ncetra nia trdc eomposer ses paroles e tses atcoins pour une mauvasi ef .niU nhomm edsisimlué se comporet d ecette manèier: i laborde ses ennemis, leur par ,elel te rufiat rcioer par cett edémacrhe qu’iln e els hait po; tniol li u eouveretmetne ten leur présence ceuxà q iui ldresse de sercètes embûches ,te li s’afflige avec eux si’ lel ruets arirvé queqlue dsigârceli ; semble pardonner le sidscousr offensants quel ’o nliut eitni ; ér lcit efriodement els pul shorrbiels chose squ e’lo iul na aruetid sconrt esar éptuation, et il empeiolel s paorel sles puls lfatetuse sporu adoucri ceux qui s eplagine tnde ,iul et qiu sont agiir spar el snijuer sq’ui sle nor tneçues. S’il arrvie que queql’uun ’laborde avec empersseme li ,tnfein tde safafire,s e tl iuid td eerverin une artu efosi. l Icache siogneusemetn otut ce qu’il fai t ; teàe’l etnnder parle,r o ncorriia totojuu srqui’l délibère.I l ne parle poin tniidéffremme tn ;li a sesr iason spo ruidat erntôt qui’l ne fai tqu eervein rd eal campagne, tatôtn q’u lie tsarrvi é àal vliel fotr tard, et quqleuiofe sq’u lietsl angusisatn, o uqui’ l aun emauvaise santé. lId tiàc leu iqu ilui empurnt edel a’gren t àniétro ,têq u iup elri edec onrtibuerd esap ar t àune somme que se samic sonsenet tnde lui prêter, qui’ lnev en deirn ,qi’u ln ee’ss tajmaisv uis dénu éda’gren t ;pendant qu’li di tau xauters qu eel commecre va el meiux du mond,e quoique en efeft il ne vende rei.n Souvetn ,après avoiré cotuéc equ eo’lniul a dti, il veut fiarc eorriq eui’ln y’a pase ul amniodreetta tnoi n ;lif ietnd e n’avori pas apeçr uel schose soùi l iven tdej eet rel syeux ,ou s’li ets conven uu’dn ,tiaf d ene se’ nlpuss ouveinr.I l ’na poruc euq xl iuiup arlent d’affaireq uec teets eu elérponse : « Jy’ penseiar . » lIsait de certiane schose,s i len ignor ea’drtue ,si les tsasii da’dmiariton ,’dauerts foisi l aura pens écomm evou ssu rce tévénemetn ,te clea sleo nse sdifférents intérêts. Son langag eel pul sodrniiaer ets cleuc-i : i« J ee’nn crois rien, je n ecompernd spa sque clea puisse ertêej , n essia o’j ùens iu s »; ou bie n: «Il ms eemlb equeej nes iu spa smo-imêm e » ;te ensuite : «Ce n’es tpas ani isqli’u me la’f iat entender; vioàl un echos emevreellius eet qui pass eottue cérance ; contez clea àda’tuer s ;dosiej- vous croire ? ou m epesruadear ej-iqli’u m tia’dtil avéirét ? ,» parelos douelbs te atrifciieuse,s donli taf tus e déifer comme d ece q’uliy aau monde de plus perniiceux. Ce smainèers da’igr ne patrent poitn ’dun eâm eismple te dorit,e masi du’n emauvasiev loonét ,ou du’ nhomm eqv iuetu niuer; l evenin des aspics est mionà sarc nider. De al faltterie L alftaetir eets u ncommerce hoetnu xqu ie’ns tuitel qu’auf altteur. S iun faltetru se pormèna evec queqlu’un dansl aalpc e : «Remarquezv-ou,s c ,li-tid iulomme tout el monde al e syeu xsu rvou s? cle a’nairrv equà’ vous seu.l Hei rlif tu bien parlé de vouso’l te ,nn at erissia tponi tsurv osl ouange s :nou snous toruvâmesp lu sdet renet pesronned san sune ndortid uPoqitrue ; ec tomme par al suited ud sicoru s’lo nivnt àotmber su rce iulqu eo’l ndevia tesitmel re lpus homme d eeib nde al elliv ,otus d’un ecommune vio xvous nommèrent, et il n y’e ne tupa sun seu lqu ivousr feustâ se ssuffrage .s »lI iul idt mill echoses de cte etntaru.e l Iaffecet da’pecrevrioel mniodre duve tqui se sear aattché à vo erthab ,tidl ee perndre e tde el souffel rà terre. Si par hasarel d ven t atiaf vole rquleques peitet spaliel ssur votre barbe ou sur vos cheveu,xi lpren dsoni de vous els tôe ; rv teou ssoiruan t: « Ile st mevrielleu,x id-ti,lc ombienv ousê etlb sancihd epusid eu xojruq sue je ne vous ap iav su; » te i l ajotu e :« Voiàle ncor,ep ouu rn homm edev otrâ ega ,essed zc eheveuxn iosr .» Si ceuli qu’i lve tutalfet rpernd la parole, il impose slience àotus ceu xqu ist eoruvetn pérsents,e t il les focr e’dapprouve raveugélme tnottu ce q’ulia vance ,ted èsq ’ulia cessé d eparler , lis eérrc : ei« Cle aes tid tl emeiu xdu monde, rein ’nes tplus herueusemetn renconrt.é » Da’rtues fios, si’ lul iarrvi ed eriafe à quelqu’un une arlielir erfdio,e i lne manqu epas d eul iaplpauid,r e’dtner rdan scette mauvasie sialpaetneir; e tquioqui’ lna’tin luele nv eide rir,e il porà ets b aouch’l eun desb outs de son manteau ,comm e li’sn epouviat se conteinr e tqui’ lvolutû ’sempêcher ’décalte r; teli’s a’lccompagne lorsqui’ lmacrhe par l aiv ,ell li tidà ceu xqui’l renconrt edans son chemni d es’arrêetj rusqu à’c equ’li sio tpass.é lI achtè edes furits, etl es port echezc eicotyen ; il els donnes à ee safnne stns a présence; liel s basi,ei lles caresse: « Vio ,àlid ,li-tdej losi efnanst et dignes d’un tle pèr.e » Si’l sotr d esa maisonli , el sutis ; ’ile ntre dans uneb ouitqup eo ruessayer de ssoulei,sr li iul dti : « Vto erpei dets meiuxf ai tque cle .a»I la’lccompagne ensui etche zses am ,siou pulôt tli enrteel permeir dansl eu rmasion ,te leur idt : «U n letm es tiuet vient vous rendr eiviset» ; e tr teournan tsurs ep sas: J « ev ou sai annoncé,d tii-,le t o’l nsef ia tun garnd honneu rde vous ercevio .r »L efaltteu rse mte àottu sans héstier, se mêle des choseel s spul svlies e tqui nec onivennent qu’à desf emme.s S’li es tniviét às oupe ,rli es el tpremier des convéi s àolue relv i n; assi sà atbl ele ulp sproch edc e iuleqiaf iu telr epas ,li ul iérpèets ouvent :« En véritév ,ouf siaets un echèr edéilcaet » ;te monrtan taux auters l’un des mtes qui’ lsoèluv ed utalp: « Clea s’appelle ,id-tli ,u nmorceau rfiand. »I a lsniod e iuldemander s’il a rfio,ds i’l n evoudarti piotn une autre robe ; et li e’smperss edel e mieu xcouvrri .lIl iu parel san scesse àl’o; ellier te isqulequu’n del acompagni el’interorge ,lil iu répond nélggiemmetn tes an sr elegadrer ,n’ayan tdesy eu xqu eporuu ns eu.l I lnef atup as riorc eq’uat uhétâi er loubile ’dararcher de scarreaux de smains du valet quel is dsibirtue ou rels oret ràs aalcee t’laf ir easseoi rlus mollemen.t Ja’d i ûerid
ausisq ’uavan tqs li’uod etrs ea miaso,ni lenol ue l’architectu ,ersr eécirs erut ouets chose,s idq tu eel sajidrnss ont bien plaétn ; sa li’s tepeçriot quleque patrl epotrarit d umîao ,ertli ù siot extrêmemetnf altt,éi letst ouch éde viorc omeibn li lr iuessembel, et il ’ladmierc ommeu c nhd-fe’œuerv .E nun mot ,elf ltaetrun e tidiren te ne fati rein au hasar d ;mai silr apport eotuet sse spaorels et toutes ses actoins au desseni qui’ l adep ialerà q ueql’uune a’d tcquérirs es bonne sgrâces. Del i’mperitne tnou d uidseurd eeir n L astto eeniv ede dsicoru rivient d’un ehabutid equo’ n aconrtacéte de parelr beaucoup e tsans réflexion. U nhomm equ ive tuparle,r s etrouvatn assis proche u’dn epesronn equ’il n’a jamais vu ete q’uli n econnatî piotn ,ertn ea’dbo dren matière, l’etnreteitnd esaef mm e te iultiafs on léog,el iu cont eso nsong e ;uli fait un long dé liatu’dner pa so ùli se’tst oruvé ,san souilber le moindre met sni un seul servcie .lI sé’chauffe ensiute dan sl aconversitao ,ndécalme conrte eletmps pérsetn ,e tsotuietn que el shomme squ ivvien tpérsenetment ne vlaent poil tnesru pèer .sDel à li s ejette s ruc equ ise débiet a umacrhé, sl ru ache étrdu bél ,su rel gran dnombre dé’rtanger squ iso tndans la vill e; i lid tqua’ uprnitemps ,où commence tnel sBacchanlaes, la mer devien tnaivgalb e ;qu’u npe ud eulpi esearti tuli eaux bein sd ealt err,e e tfearit espéer run ebonner écloet; q’ui lcutlvier ason champ l’année prochanie, et qu’ill emettare nvlaeu r ;qu eels èilce etsd ,rute qu’on a bien de al piene à vvi.erI l apprend àctei nconn uqu ee’c tsDampip equ ia afit brûler l apul sb elleotcrh edevatn la’tue lde Céèrs à l afête de sMystère ,si liul demand ecombei nde cloonnes sotueinnen t elhtéârt edl ea musique, quel es tel quanitèm ed umosi; i lul i tidq li’u ae ula veilel une inidgetsoi n ;tes c ie thomm eà q iuli parle a l aptaeinc ede lé’couter, il ne part aripa sa’dupèr sde liu : i luli annoncer acomm eunec hose nouvelle que els Mystèer ssec léèbertn dansl emois ’dao,tû el sApauteirs au mios ’doctob er; e t àal campagne ,dans le m siode décember ,el sBacchanaels. Il n’y a avec d e isgarnd scauseur squu’n parit à prendr ,eqiu es tde fui,r sio’l nve tud umoins éivte ralf ièrv e ;ca rqule moye nde pouviot renri contr ede sgen squ ines avetn pas dsicenre rinv toerl risio ni let emps dev o sfaafries? Deal ur tsétici lIsemlb equ eal rutsciti é’nes tature chose q’uun eginoarnc egorsisère des beinséance.sL o’ nvotie n effet des gens rutsiques te sansr féelixons otrriu nojrud e médecni ,es te eortuver e ncet éta tdansu nileup ulbicp armi l emonde n ;p eaaf srie alidfféernce del’ odeurf oretd ht uymo ud el amajrolianed a’vecl esp arufms les plus délicieu x; rtê echaussé slagre te gorssèirement ; parel rha tu ten epouvoir se réduire àunt on d evoxi modéér ; n ese paseif r el àusr amsi sur les moniders faaferisp ,endaq tni’u sl’sen etneritennen tavec elusrd omestique,s jusqueser à nder comp et àelru smonidre svael std ece qui aura été dit dans une assemblée pulbqiue .Onl e svoti assis ,le ruorbeler evée jusqu’aux genou x tedu’ne manèire indécenet .l In eel ruavirr epas e nottu eelru vie de rien admerir , ind epaarîrte sruprsi des chosesel s pul sextaroridnaries qu eo’l nerncotnr esu rel schemni s; mias isc e’su tb nœuu ,fnâ ne, ou un vieux bou,ca olsri sls ’arrêetnte t nes l eassetn po tnide les contemple.r S iqulequfeioi s sletner tndan selru ciuisne,i slmangetn avdiemetn tout ce qui’sl t yoruve ,tnboiven totut du’n ehaelni eun egrande atsse de ivn pur ; il sse cachen tpou rcale d eelur servan ,etavec q iuda’illeurs ils vont au mouil,n e tetnernt dan sle spul spite stdiatésl d udometsqiue. Isl itnerormpetnel ru soupe ,rets eèlvetn pour donne run epoginée d’herbes au xbtêe sdc ehaurre qu’lis otn dans elu sréatlbe .sHeurte--ton à leru por etpendatn qu’ils dînent, slisotn ettanfits e tcuireu.x Vouser maqruezt oujousr porch ede leur atbl eun groc seihn de co ,ruqu’ils appellen t àeu,xq ’ulie smpiognen tpa rlg aueelue ,sid nant: « Voiàl ceuli qiu gardel alpac,e qiu pern dsoin d ela maiso ne tdec eu xqius on tdedans . »Ces gens ,épnieux dans els payeme stnqo’uel nf ruia,t rebtuen tun grand nombre de pèice squi’slrc ioen tlégère,s o uq iun ebrlielnt pas asse zà elusry eu,x e tq’uon ets obilgé deel ruchange.rI l sson toccupé spendatnl anuti ’dun echarur,e d’un sac, d’une faux ,du’n ecobrielel, te isl rêvetn à q iuisl otn prêté ces ustenslies ; et lorsqui’ slmarche tnpar l aville :« Comeibnv au ,tdemanden-til sau xpermie srqui’sl erncontrent, le posiso nsaél ? Lesf ourrerus s evendetn-elles bien ?Ne’c-ts epas auojru’dhu iqu eels jeu xnous ramènent une nouvel ellun e ? »Da’tuers ofsi ,ne sachan tque dier, isl vou sappernnen tqui’ls von ts eriaf earse ,rte qu’ils ne soretnt quep ou rceal. Ce sontc es même spesronneq sue o’l nenetnd chanetr dansl e bai,n qiu mteettn des clous à leurs soeilurs , tequi ,se rtouvatnt otup orét sdevatn lab outiqu ed’Archia,sa chètente ux-mêmed seiv sandes slaées, etl esa pporettnà al mia nenp elinur e.e Dc uompialsatn Poru fiare und eéinifoitnu npe uexacetd c eette affectatioq nuq euqleueu-sn son tde lpaier àottul emond ,eilf aut dier qu ee’c tsun emaèiner d evirv eoùl ’on cherche beaucoup mniosc eqiue stv eruteu xeh tonntêq euc ee qu ies tagérabl.e Cleiuq iua cteet pasison ,’daus isol niqu li’apeçrtio u nhomme dan sla palce, l esaul een ’sécriatn : « Violà cq eo’una ppelle un hommed e ibe n !,»l a’bodr,e l’admire sur les monidresc hoses,r el eiten tavec ses deux mains ,d epeu rqui’ ln elu iéchapp e; te apèrsa vof riait queqlues pasa ve cul,ii lul idemand eavece mpressementq ueloj ru o npoarruel v io,r e tenifnn e’sens éparq eu’en lui donnan tmi ellolége .sS iqulequu’n l echoiist poura rbirtd eanu sp nrocè,si lned io tpa settandd erl eui qu’i llui soi tlpus afvoarlb eq’uà so nadvesra eri :comm ei lveu trialp eàot us deu,xi lle sménagera égaelme.tn C’est dans cett evu equ ,epo ruse conicilert ousel s értange srqu isotn dans la ivll,e i lleru tidqulequfeo siqu’il leur trouv elpus d earsio nte dé’quti éque danss esc onicotyen.s S’il est pir é’dunr epas ,li demande e nentrant àc elui qu’l ia conv éio ùsotn ses efnanst ; tedè sq’uli spariassent, il s eérrc eisu ral ressemlbance q’uils ont avec leur pèr,e e tqu edeu xfigues ne se erssemlbe tnpas mieu x; il les fati apporche rdl eiu ,li les bias ,el ,tee sayatn tiaf asseo ris àes deux ctôés ,i lbaidn eave ceux : « À qui est ,tid,li- al petit ebotuielle ?À qiu etsl aojeil cognée ? » Il le sprend ensuti es ruiul , teels lasise dormir sru son etsomac, quioqui’l en siotni commodé .Culei enfin qui veu tpalri esef ia tarse rsouven,t a un ofrt grand so nid ese sde,stn changet ou selsj ousr dh’abti,s et les quitte persque ot tunesfu ;il n esort point en publci qui’ lnes io tpafrumé; on nel ev tioguèr edans els salles publiques q’uauprès des compotir sde sbanqueisr ;e tdanl se sécelo,s q’uaux endriotss eluemen toùs e’xercent les jeunesg en ; sa te uhtétâer ,le sojrusd e spetcacel ,que dans les meilelrues palces te ottu porch ede spréteur.s Ces gens encoern a’chtèetnj amia sirenp oe ruu ; xmi sialse nvioen tà Byzance otus etoretd e bjiou xprécieux, des chien sd eSpar età Gyzique, et àRhode se’lxcellen tmiel du mont Hymett e ;i te slpernnetn sion qu eottue la vlile soiti fnormé equi’ slofnt ces empltete .sLe rumiaso nest touojur sremlp eid emill echose scuireuse sq iuoftn alpisi r àvio ,ro uquo’l e npetu donne,r comm ede snisge set des satryes, q’usli saven tnourrir ,de spigeons d eSiicel ,des dés qu’ils fotnf iaer do’ sdec hèerv ,des eloifs pour des parfums ,de scannest osres quel ’o nf tia àSpaetr ,te des taips de Pesre à pesronnages .lI son tchez eux ujsques àun ej ud epaum ,ete un earène porpreà s e’xecrerà l a lutte ; et s’is slp eromènen tpar l aville teq u’lis erncontretne n le ruchemni de sphliosophes ,des sopetsih,s des esrcimeurs ou des muscieins,i ls elruo ffern tel rumsiaop nour ’sy exercer chacu ndanss ona r tniidfféremmentli : s se toruvent présents à ce sexercice s ;te se mlêan tavec ceux q iueivnnen t àlpour regarder :« À quic royev-zou sqa’upparteinn eun eisb ell emasione tcette arène si commod e ?Vou svoyez, ajotuen-til senl eu rmotnartn quqleu ehomm epuissant de lav ill,ec leiuq iue nets l ematîree tq iue p netusid poser. » De l’imaged u’c noquni Unc oq niuesc tiule à qiu lesc hosesel s pul shoetnuses ne cotûentr ei n àerid o uà afir,e qiu jrue vlooniter ste afit des serment sen jusitce autatn que lo’ nul ien demande ,qu ie tspedr ud eérputatoin, quel ’on otuargei mpunémetn ,qu ies tun ccihane rud epeforsison ,un effornté, et qui se m elêdt eouetss orets ’dafafires. Un homme d ece caratcère enrte san smasqu edan sune danse comqiue; e tmême sans têer rvi ; e tede sang-rfoid, ils eidtsnigu edan sal dansel apul sobscèn epar els postrues les lpu sindécenet .sCe’ tsl iuqiu ,dans ces ileu xo ù’lon vio tdes prestiges, s’ingè erd eercullie ri’largent d echacu nde sspecateturs ,et qui fait queerlle à ceux qu ,iéattn etnérs par bilelst ,ceior tnn edevo ririen payer. Il est da’lielru sde otus méteirs; attni tôit le tnun eatvenr,et antôti l est suppôd tq euqleue eilu niâfme ,un eauterf io spatrsian : il ny’ a poin tde sla ecommerc eoùi lne siot capabel de’tner r ;vou s elveerrz ajuourd’hiu crei rupubil ,cdemani ciusiiner ou bleranide: rot ut lui est propre .S’lia u ne mèral al li ,esis emouir rdef iam. lIe tss jute aual rcni, te às e vo rinîarte rpal r avill edansu n eprsion ,sad emeure oridnaire, et où il passe un epatrei d esa iv.e C esotn ces sotre sd egen sque ’lon voi tse afier etnouer rd upeupel, appeelr ceu xqu ipassen tte s elpiander à eux avec une vxio oftr ete ernouée,i nslute rceu xqu iel scotnredsien t: els unef snde tn alpress eporu el svoir ,pendan tqu eel saertu ,scoetnnts de les avoi rvus ,se dégagetn et poursiuvetn elc ruhemis nan svoluoir le sécotuer; miac se sferfoétnc sonitnuent de palrer: li sidsetn àc ulei-ci l ecommenceme tnu’daf n ,tiqulequ emo t àcte atuer; à penie peut-on trier d’eux l amonidrep aritd eec edon tlis a’ig t ;ev touer smaqruerez qu’il schoisissetn pou rceal de sjoru s’dassemélbe pubqilue ,o ù liy a u ngrand concours d emond ,eq ius eortuvel eétmoni d eleu rnisoelnc.e oTujours accablés dp eorcèq ,su’l eon itnenet conrt eeu xouq ’ulis oni tnetétn s àd’aurtes ,de ceux don tli ss edléirven tpa rdef au xserme stncomme de ceu xqui les olbgien tde comparertîa sli ,’noubilent ajmasi de poret relru boîte dans leru seni ,e tunl eaisse de papiers enterl eusr mians .Vous les voyez dominer parmi de vli sprtacieins ,à quii sl prêetn t àusrur ,eriteant chaque ojur un eoblo ete demei d echaque darchm e ;érfqueetn rles taverne,s parcourir les lieu xo ù’lon déb etiel piosson fari sous la,ée tconsumer ains ienb onnc ehèot er tuelp orfi tqui’sl itretn d ecette espèc edet cifar. En u nmot, il ssotn queerlleux e tidffcilies, os tnans cessal e bouch eouverte àl acaolmnei ,o tnun evoxi otéudrissant,e e tq’uli softn erettnir dans les marchéte sd anel s sbouitques. D ugrandp arelru C eque quleques-uns appelelnt babli es tporperme tnune nietmpérance deal ngue qn iuep ermet pas à un homm edes eatri.e «Vous n ecotnep za salc hosc eomme le elets ,rida quelqu’u nde ce sgarnd spaelrusr à qiuconque vetul e’tneretrin de queqlue affa eriqu ec eso: tij ’a iottu s,u e tis vou svous donnel z apeitance de m’écouetr, ej vou sapperndar itotu »; e ts ice tau ertcotninue de parler : « Vous ave zdéàj d tice ; alsonge,z pousriu-tli, à n eeirn oubiler. For tbien ; cale e tsnia,is ca rvous ma’ve zheuerusemen termis dans el fait : voyez ce que ce’s tqu ede ’senetndre els uns elsa tuer s ; »e tensutie : « Maisq uv eeuxj-eid er ?Ah! jo’ubilasi unc ehos eo !u,ic e’tsc le amême, et ej voulaiv sois rv iou sotmberei zujst edansot tu ce que’j en ai apprsi. »Ce’ tspa rd eletel sou semlbable sinetrruptions q’u line donnp eas de loisir à cleiuq iul iup alr eder esiper r;e ol tsrqi’uc a lomme assasisné d eso nbaib lchacu nd eceu xq iuon tvolu uiler avecl iu queqlue entretie,n il va se etej rdan su ncerlc ede personne sgraves qiu traietnt ensemble d echoses séireuses ,etl es met eiuf n .etD àl ei lenrt edansl e sécloe spubilques et dans les leiu xde sexercices ,oùi lamus eels maîtres par d evani sidscou,sr e tempêch eal jeuness ed epiforter de leurs leçon.s Si’ léchappe à quelq’uun de ride : «Je me’n v,» siac iuleic-s eme t àels uvier ,tei n le’l abandonne pointq ’un li’l er tiaemisj usque danss amasion .Si par hasadr il a apprsic e qu iaur a étéid tdan sune assemblée de vliel ,lic otrud ans l emême tempel svid gluueI .rl s’étend mervelielusemen tsu ral afmeus ebaatlile qui ’sest donné esous el gouvenremen tde lo’rtaeu rArsiotphon, comme sur el comba tcèléb erque ceux d eLacédémone ont livré au xAthéinens sou sl aconduiet d eLysand.er lI arconte une auter fosi quesl appaludissements a eu su ndsicou srq’u lif aia tdans el publi,c e nrépèt eun egarnde patrie, mêel dans ce éric tennuyeu xdes invecitve sconrt e elpeulp ,ependan tqu ede ceux qui lé’cotuel tne sun sse’ndorment, les autersl equtiettn ,e tqu enu lne s eerssouveitn u’dn selu mot q’uila uard ti .Ung arndc auseru,e nu n mto, s’ile sts ruel sbirtunaux ,ne alisse pas all bierét d eujger ; il ne perm tepa squel o’ nmange à table; et ’sil se toruve a uhtéârt,ei lempêche non seuleme tne’detnnd,er mais même de vio rels atceusr .O nlu iafti avoueri ngénumen tqu li’nl e iue tspa spossibel d es eatri,e quli’ afut que sa langues eermud eanss o npaalisc omme elp iossond anl s’eau, et que quan donl a’ccusertiatê’d ulp erb sabillar dquu’ne ihorndleel,li af tu q’ulip arel a :usis écotuei-t-l froidement totuesl esr iallerei squ e’lonf iat de lui sur ce seju ; tj teusques à ses porpres enaftn,s ssli’ commencent à s’abandonner a usommeli: « Fiaet-s nous, lu idisent-li,su c notn equia chèv ede nouse ndormi» .r Dd uébi tde snouvelles U nnouvellsiet ou u ncotneu rd eafbel se tsu nhomm equ iararnge ,seoln son caprci,e des dsicosru et des faits ermp sildaf eusste é ;qui,l orsqui’ lerncon ertu’ln d eses amsi, compos eso nvisag,ee tul s ioairunt : « D’où vene-zvousa niis? ul iid-t li; que nou sderiv-zou sde bon ?n’ ya-ti- lire nd enouvea u ? »Et connituatn de l’itnerorge : r «Qu iodon c ?’n ya--tli aucune nouvell e? cependant il y adec shoses oténnantes àr aconetr. » Et sans lu idonnerl eolisi rdel uir épond er : «Qu eetids-vous donc ? pousriu-tli; n a’vezv-ou srien etnend upa rv al elliJ ?v e sioeib nquev ous n esavezr ei,n e tqu eej vasi vous érgale rd egarnde snouveauét.s » Aolr,s o ue’cst u nsoldat, o ule fil s’dAséte elj oue rudlf eû ,eto uLycon l’ingénieu,rot u sgen sqiu arrivent rfaîchemetn d ea’lrmé ,ede qui il sait ottues chose s ;ca rli allègue pour témonis de ce q’u liavanc edes homme sobscrus qo’un n epeturt ouver pourl es convnia ercdaf eusseét .l Iassru edonc que ces pesronne sul ion di tqu ele Roi et Pylosperchon otn gagné la btaailel ,te que Cassandr,el eu rennemi ,etst omb éfiv ertn eel srumnias .Et lorsque qulequu’ nul iid t: « Mai sen véri ,étc aleeli-ts croyabel? » ,li ulér ilpqiueq ue cette nouvleles ecrei e tser épandp ar otul eta ville, que tous sa’ccordetn à dierl amême chos ,equ ece’sot tut c equi ser acotn edu combta ,e tq’uli y a e uu ngrand carnage. lIojatu eqi’u lal ucet événemetn srul e vsiag ede ceux qui gouvenre ,tnqi’u l ya un homm ecaché chez lu’n de ces masigrttad sepiu sicnqj ousre eitnq ,srer iueivnt de l aMacédonie ,qu i aottuv ue t qui liu at o tudi .tEnsu,etietni orrmpa tnel if lde s anarraiton: « Qu epensezv-ous dec e succès ?» demande--til à ceux quil é’cotuen.t « Pauvre Cassandre ! mlaherueux pirncs ! eé’eircli-t- du’ne manèire otuchatn.e Voye zce quec e’stq ual eof utrnec ; ar enfin Cassandr etéiap tusisatn ,tei lavia tavec lui de grandeof scres .Ceq u eej vous dsi, pousriu-tli ,es tu nsercet qu’li fa tugadre rpou rvous seul ,» pendant qu’li court part ouetl aivllel e déibetr àqiul ev ee tuetnndre .Jev ou savoueq uec esd sieur sde nouvleel sm edonne tnda’l edmrioita ,ne tquej e ne conçosi pa squleel etsl a fin qu’ils se porposetn c ;arp orun eriend ried ealb assess equ’li y a àt oujorus metnri, j en evo sipa sqli’us puissent recueliil r elmiond errfiu tde cteet parqitue .Au cotnraier, li ets arirv éà queqlue-suns d esel iasse rveloel ru srhabit sdans u nbain pubil ,cpenda tnqu’isl n esongeeian tq’u àrassembler atuour d’eux une ofuel de peupe ,el iul à tconet rde snouvelles .Qulequesa utres, aprè savov riniacs uu rmere t sru terre dans l ePotrqiue ,ont payé l’amende pour ’navior pas compaur àune cause appleée .Eni nife’s l ne tstrouvé qui, le ojru mêm equi’sl ont prsi unev i,ell du monisp arl eusrb eauxd sicousr, ont manqud énîd eeJ .ren ec orsi pasq ’ui l yia tiren deis misérable que c alonidtoind c ees personnes; car quell ees tlb aoqituu ,equle est le portique, que les t’lendorti du’ nmacrhé pu cilboli ù sn epassen ttotu lej ou rà erndr esoudrsc euq xuel isé cotuen,t o uàl esf tagiue rpar leurs mensonge? s D’l effeoretnreic ausé epa rla’vairce Poruf iare connaîtr ece vice, i lfaut dierq uec e’tsu nmépri sdel’ honne rudansl avue ’dun vili ntérêt .U nhomm equ ea’lvaircer en dfeorf étnos eempurnet run esomme da’rgent à celui à q iu lie ndo tidéàj, te q’uill u ieriten tavecni jutsice. L ejou rmême qu’ liau arsarcfiié aux Deiux ,au lei ude manger regileiusemetn chez soi une parite de svaindes consacrées, li el stiaf slaer pour lui servri dan slpuseiruer spa ,s teva soupe rchezlu’ nd ese samsi; e tlà,à table ,à lv aud eeot uel t mond,ei lappelels on vael,tq ’uil veute ncore nourirr aux dépen sdes onh tô,ee tl iuc oupatnu nmocreaud e aivnde qu’il met sur un quatrei rde pani : « Tenez ,mo nam ,iul id-tili ,afetis bonne chèer. »Ilv a l-iu mêm ea umacrhé achteer des viande scuties; te avant que de conve rind upir,x pour avio run emelilerue composioitn d umacrhan,d il lui fait ressouvein rqui’ lliu a autrfeio srendus erciv .e lIfati ensuiet pesec re sivandee si te lne tnasse el pul squ’il petu; si’ len ets empêch épar cel iuquel i s iulvend ,lij teet d umnios queqlue os dans l abaalnc e: si elle peut cotnenrit ou,tli est satsifati ;isno,n liarmasse sur la tabled e smocreauxd r eebtu ,comm epous rd eédommage,rs ouir,te t’se nva. Une autre fosi ,s rua’lrge tnqu’i lauar reçu deq ueqlue stéarngesr pour elur olued resp alce saut hétâer ,li toruv eels ecert a’dv rios aalpce franch eau specatlc,e e t y’denvoyerl eelndema nise seafnn stet leur pércepteur .oTtul iuf ia tenv : ei liveu tporifetr de sbon smacrhé,s e tdemande hardiment a upremei rven uun echose qu’i ln eiven tqu e’dacheter. Se trouve-t-li dans une masio néartngèer ,i lemprunetj usqo’l à’ugr e tel àa pailel ; encoerf au-tli qu eceliu qiul es liu ptêraf ess eel srfa sidel esf iare porter chez l .iuCe tfeorfétn,e n u nmo,t etnr esans payer dans un bain public ,te,àl e npérsence du biagneur, qui rceii nuitelmenc toertnul ,i prenatn le premierv as equi’r lencotner ,lil epolng edans unc euv ed’iarani qu ies termpil e’dea,us er alépands urt ou tlec opr s : «Mev ioàl lavé, ajoute-t-i ,laatun tque’j e nia besio,n e tsan savio robgilatoin à pesronne », remte sa rob eted sipaartî. Del’ épagrne sorddie C etteespèc ed’avarice ets dansel s homme sune pasison d evou riolménage rels lpus pteties choses sans aucune nifhonn.etê Ce’s tdans cte esprti que queqlue-s uns ,recevatn tou sel smo siell oye rde leu rmasion ,ne négilgen tpa s’daell reux-mêmes demanderl amotiéi u’dne obol equ imanqu tiaa udeinre rpayement qu’on leu r aafti ; que da’ertus ,siafa tn’lfeoftr d edonne r àmange rchez eux, ne sont occupép sendan el terpa squà’ compet reln ombr ed efois que chacu nde sconviés demand e àborie .C eson teux encoer dol tn apooitr ndes prémices des vaindes qu e’lon envoei sru la’u letd eDaine etst ouojru s alpuls pteit.e Isl appéreictnel s chose saud-essousd ec eque’llesv laent ; e tde quelqu ebo nmacrhq éuu’n aurt,e en leu rrendan tcompt ,eveliul es epérvaloir, ils lu isouitennetnt oujousr qu’li a achéte ortpc he.rI mplacables àl’égad dru’ nvaelq t iuaaruial sst éombe runp otd et erero ,u cass épar malheur quelqu evas eda’igrel ,li sul idédusie tncteet per etsu rsa nourirtuer ; mais si leur sefmmes otn pedr useluement un deine ,r lifa tualosr renverser tou etune msiao ,ndéarngerl esl iart ; stnsporet rdes cforfes ,te chercher dans le sercnio sel slpu scachés .Losrq’uli svenden,t ils ’non tqu ecet etuqinue chos een vue ,qui’ l’ny tiaq à’upedrer poru cleiu qiu achèet .lI ne’ts permis à pesronnd eec ueilliu rnef igued ans elu rajdrni ,dep asser au rtavers del eu rcham,p de armasseru np eiteteb ranched e plameir ,ouq ueqlues oilve squ iseornot tmbées dl e’arbre. Ils von totusl esj ousr s epromene rs rulerus etrres, eer nmaqrueel tns borne,sv ioen ts i’lon ny’ ar ein chang éet si leelss onot tojuru sle smêmes.I ls trient intérêt del i’tnértê , tece ne’st q’u àce ettcontidoi nqu’ils donnent dut emps àl eusr ércanciers. S’isl o tnniiv étà nîde rquqleue-sun sd eleru samis ,e tqu in eson tque des pesronnes dup eupi ,eln sle efginetnp iotn deel uraf ri eservi runs imlpe hachis; et on els avu ssouve tnaller eux-mêmes a umacrhé pou rcesr epas, yrtouve rottu tor pcher, e ten revenir sansr ei nacheet.r" Ne perne zpas l’habtiude, disetn sli-à elf sruemme,sd eprtêe rvorts ee,lv rtoe orge ,vorte farni,ein mêm ed ucumi,n d eal marjolaine, des gâetau xporul a’tue,l d ucootn, de al alni; e cac res petits dtéail snel iassen tpasd emonter , àlf a ni’dunea nnée ,u àneg orsse somm.e "Ce savare,s e nun mto ,ont des trousseaux d efelcor slliuées, donti ls ne ses ervetn piotn, des cassettes o ùelru agren tes te ndéptô ,qi’uls n’ouvretn jama,si e tqui’sll asisetn miosi rdan suc n niodel eur cabniet ; il spotren tde shaib stqiul eru sotn torp courst ett or ptéstiorl ; es puls peitetsf oiel scotneinnent plus d’huil eq’uli ’nenf a tupour els ionder; isl otn l atêt earsé eujsq’ua ucuri ,se déchaussev tneel sr mliieu du ojur pou répagrne relru ssoulier,s von ttoruveel r sfoolun spo ruoetbrin d’eux de n epa sépagrne ral carei dans la laine qel sli’u ruo tndonnée à pérpaerr, af,nid sien-tlis, que leuré toff eset ache mion.s Dei’l mpude tnou de cleui qui ner ouig tder ein Li’mpudence esaf t elic àdniféir :il suffti ded ri equ ee’csu tn eprfoesisono uverte d’une plasianetiro euért,ec omme de ce qu’li ya d eulps honteux et d eplu scoartn erià al ibenséance .Ceuli-là, par exempl,ee tsi mpuden,t qui voyatn veniv rel sru iunf eemm edec onidtio,nf iend tans c emomen tqulequ ebesiop noua rvorio ccaoisd ns e emonrterà e ll edu’n emanèier déshonntêe ;qu ise lpîab à tttad ere smani sau théârt eolsrqu eot tule monde se tait, o u ysiffel rela setcuq sruel es autres vioente é tcouettna vecp lasiir; qiu,c ouch ésru l edos, pendant que otuetl a’ssemlbée gadre u nprfoond slience, afit eetnnd erde selas hoqute squ ioblgien tel sspecatteurs d etournerl a etêt teni’dterromperl eur atteniton. Un homm ed ec ecaartcèer achtèe en peli nmacrhé de snxio, des pommes, totu esotr edef iurst, els mang,e caus edebotu ave calurf èiti ,erappelel pa rlerus nom sceux qiu passent sans presquel esc onnertîa ,en arrtê e’datuer sqiu couer tnpa rla place et qui ont elur saiaffer s ;te si’l voit venir queqlue paldieu,rli ’laborde ,elr a te elliéf elcilites ur unec aus eimpotrantq e’uliv eitnd epedrre. Il va lui-mêm echsio rideal ivande ,te loue rporu u nsouper de sfemmes qui ojuen td eal tûlfe; e tmotnartn à ceux qu’il rencotnerc equi’ lveintd ’acheter, li el sconve ein raint d’en veni rmanger .O nl evio t’sarêret rdevan tal botuqiu eu’d nbabrei rou du’n parufmerue , tàla nnonceq ru’li va farie ug nran derpa te s’senvire.r S iqueqlueofsii l vend du vin, il lef ia tmêel,rp ours ea smc siommp eou rle saurtess ansd siitnciton.I l n epermet pa s àse seafn stnd’aller à l’amphtihétâ eravatn que els jeu xsoeint commencés et olsrqu elo’ npaye poru êtr elpacé ,masi seuelmetn sur la fin du speatc elc tequand ’larchitecte néglige les palces e tel sdonn epou riren .Etant envoy éave cquqleues autres citoyens e nambassad ,eli liass echez s ios alomme qu ep eluilbul cd a ionné eporu fiar eel srfia sdes on voyage, et empurtnd ea’l egrent d eses collègues ; s acoutum ealosr est d echarger so nvale td eafdreau xa udelà de ce qu’il e npeu tpotrer ,te del iu rtearnche rcependan td eson ordniaier ; te comm eli arrvi esouven tqu e’lon fait dans les livel sde spérsetns aux ambassadeusr ,lid emande sap art poru lav end.er « Vou sma’chteezt ouojrus, diti-l au jeune escalve qiul e ser tdans l eba,ni un emauvasie hiule ,et qu’o nn epetu suppotre r » :li s eser tensu etidh’l eiuel du’ naurt eet épargne la siennelI . env eià ses porpres vlaest qiu l esuvietn l aplus pteite pèic ed emonneia q’ulis auortn armassée dans lesr ue,s e tli n emanqu eponit ’deer netin rsa part avec ce mto : Mercuere tsc ommunl .f Iia tip s :id libirtsus à ee sdomeqitsul eerus provsiions dans un ecetriane mesure dont le ofnd ,rceu xpa-rdessous, ’senofnce e ndedan set s’élève comm een pryamdi e ;et quan dle elets elpine, ill a rase ul-imêm eave cel rouelaul elpus pèr sqi’u lpetu… De mêm,e si’l pay e àqulequu’ nrtenet mnie sqi’ul liu doit,i l fiab is teiq nli’uy manqu equtar edrachmes ,do tnil profite. Masid anc ses grand serpa soù il aftu tariter toute un ertbi,u liiaf tercuiellri pa rceu xd eses domestique squi onts io ndel aatelbl e erts ede saivnde sq iuo tntés éerive ,sporu liue nrenderc ompet: i lsearti fâché de leur lsiaseu rner av eàd em imangée. Duc onrte-etmps Ctete ignorance dut emps e tdel o’ccaois ne tsun emanière ’daborderl e sgen sou ’dagi ravec eux toujosruni commod ete embararssante. U nimpotrun ets cleiu qiu chiotis le moment que so nam ie tsaccabél d ese spropers affiaer ,sporu liu parler des eisnneq ; sv iu asouperc he zsa maîtresse, le sori mêm eque’ll eal a ifèver ;q iu voya tnqu equqleu’un vient d’êterc ondamn éenj utsci ede payer po ruu natu erporu qu ilie’s so tbilgé ,elp ri enéanmionsd eérpondre poru lui ;q c iuompaarp tîou rsevrri det émonid anu snp orcès que lo’n ivent de juger; qiu pernel d etmpd ses noces où il es tniivétp ou rs edéchîane rcotnrel eef smmeq ; sui entraîneà lap ormenaded es gens àpniee arrviés ’dun lon gvoyag e teq iuna’sipertn q’u àse repose r ;oftr capable d’amener de smarchand spo ruoffri r’dune chose lpus qu’lele ne vau,t apèr sq’uleele stv endued ; s eeel vea ru milieu d’une assemlbéep ou rerpernder un fai tdè sse scommencemestn , teeni ntsriuer àf on dceu xqu ie notnl es orielles rebattuee sq tiuel s avetn meiuxq uel u i ;souven tempressé poru engagerd an sune affiar ede spesronne squi ,ne l’affectoinnan tponi,t ’nosen tporutatn uferse ry’d eertnr. S’il arrive queq ueql’uund an salv lield iove faire un festina prèa svrios acrfiié, il va liu demanderu np eortio ndes viandesq ’ua lip érpaére.s Une atuerf ios, s’i lvoit qu’un mîart echtâei devatnl iu son eslcav e : «Jia’ pedru, diti-l, un des mein sdans un epaerliel occaoisn ej : f elf siouteet,rs li edésespéra te ’slaal pendr.e »Enfin, il n’est porp erq’u àcommetter de nouveau deu xpesronne squi veulent ’saccommoder ,’sil slo’tn iaf tarrtibe de leru difféern.d Ce’ts encore une atcoi nqui c iuloneivof tnrt que da’ller perndr ea umliei udu erpas ,poru danser, un homme qiu ed tss eangf-rio dte qiun a’ buq ue modérément. d’une manière ’l àéchaeffu rdavantage. Rien ne’st ausis puls odrniia erqu edl ee vio r’sforfri s àerivrd g eudie dans un chemind téounr équi’n l econnîa tpa,s d teo tnli nep eue tnstiuort euverli’ ssue; v en rivesrs ong énéarl,e t lui demande rquanli dd tio arnger son armé eenb taiall,eq uel jour il faudr acombtart,ee ’s ta’n lip niod t’odrres à liu donnerp ou rell endemai n ;une auter présetnd ,u’n emanièr eà l’échaufferd avanatge .Rienn e’tsa ussi pluso rdinaireq ue d ev el rioso’ffir r àsevri rdeg diued an sun chemni dtéournq éun li’ec onnatîp as ,te dotn il ne peut ensuiett oruverl i’ssu e; veni rvesr so ngéné,larl te uid emande rquand i ldio tarnger so narmé een ba ,elliatqueoj luli raf udr acombattre ,te s’i lna’ piotn ’dordre sà lui donner poruel el ndem; nia une atuerf ios sa’pporche rd eson pèr e: « Ma mèer, uli idt-li mytséeiruseme,tn vient de se coucher e tne commence q’uà se’ndorm ri» ; si’ lertne efnin dan sla chambr e’du nmlaad e àqu iso nmédecni a défendu l ev ,nid eriqo’un peu tessaye rsi’ lnel iuf er apoint d emal, et el soeturin doucement pou rlu ien fiare prendre. Si’ lappren dq’uun eefmm esoti motr edanal s llive, il s’ingère def iaers oné tipaphe; i ly afig travers onn omc ,uled is eo nmair ,de so npèer,d s ea mèr,es o npays, son origni ,eavecc teolé g e: li savaientt ou sdel a ver.ut S’il est quelqufeio sobilgéd eeruj d revad tnes juges quie xigens to nsermen: t «Ce n’ets pas ,tidi- le npeçrant la foule pou rparîart e à’laudience, la premèir eofsi qu ece alm’es tarirvé . »D es alutipdéti La tsupidit éeste n nousu nep esatneu rd’esprtiq a iuccompagnn eosa tcoinse tnos discousr. Un homm eutsdip,e ayan tlu-imême claclu éave cdesj otens unec eratine somm,ed emand à eceuxq iul eergadren tfarie àqu ioeells emoetn. S’il est obligé dep arîart edan sunj ou rpresctird evas tnesuj ge spour s edéfend erdansu nporcès qu eo’lniul afit ,lil ’oublei etnèiermetn et part pour la campagn.e lI se’ndor t àun specatcel ,te li nes eréviell equ elongtemps aprè squ’lie tsf ni iteq u eelp eulp e’sets ériter .Apèr ss’être rempli dev aindesl esori,i l se lève al ntiu pou runeni idgetsoi,n v adans l aru ese soulage ,roù li e tsmordu du’ nchein d uvosiniag.el I cherche ce qu’o nived tnl ed iuonner ,teq u’lia msil ui-mêm edansq uleque endroit ,où souvent li n epeu t elrterouve.r Lorsq’uo’l naver titdl ea mort de l’un d ese samsi aif nqli’u astsiss à ee sufnéarliel,s lis a’ttirts,ei l pelur,e i lse désespère ,ep trenantu nef açon d epalre rpou rune autre: « À la bonne heure », jaouett-i- l ;o uune paerliles ositt.e Ce ettpércautoin qu’otn le spesronne ssages d ene pas donne rsansét mo nide la’gren t àelsru créanciers, i la’l pou ren ercevoir de ses débtieusr .On l eviot querellers onv la ,tedan el slpus garndf ordi d el’ihve,r pour n e iulavio rpas acheté des concombres .S’li sa’vsi eunj ou rde iaf erexecre rses efnanst àl a ltu eto u àal corus ,e lineel rupermet pas de se eriter rqui’sl ne soient tout e nsue rue thosr ’dhlaiene.l v I acueilli rul-imême de slentilels, lesf ai tcurie, teo ubailnq tui’ly a msid u slei ,el l ss elaun esecond efois, d esotr equ epesronne ’nen peu tgoetû .rDan sel etmp s’dun elpiui encommode, te do tnot tu elmond ese palin,ti lliu échappear de idre que l’eau du cei les tun echose dléiceius e; te s ionl iu demand epa rhasadr comibeni l avu empotred r emostrp arl aport eSaérc e" :Atua,tn répondi-l, pensant peu-ttêer à d ela’gre tno u àdes garin,s que ej voudria squ evou set moi en pusiison savio".r Del a brutlaité Lab uratiléte tsu ne certaine durteé, et j’ose dir eun eéforicétq u iser enconter dans no smainèers d’agir, et qui pass emêmeuj sq’u àno spaorel.s Sv iou sdemande zà un homme buratl : « Q’uest deven uunt le? i »l vou sérpond duermetn : « N eme rompez poin tlat » .etêSv iou sl esaulez ,lin evousf ai tpa slh’onnerud evou srendre le salut .S iqulequfeio si lme tenv enetu nc ehosq el iuiu appartien,t ile tsi nuiteld eiul e ndemandeel r pri,xi lne vous écotu epa s ;mais il dit fièreme tn àcle iuqiul a marchande: «Quy’t oruvezv-ous à drie ?» l Is emoque de la péiét d eceux qui envioen telrus oarffnde sdan sles temples aux ojru s’dun egrand ecéélbrtié :« Si lesru pirèers ,id-tli ,votnj usques aux Dieux , te sli’se nobteinnen tel sibens q’usli souhatient, l’on peut dri eqi’ul sleo sn tbienp ayés ,teq uec e ’nes tpau sp nrésed tnu cie.l » Il est niexoarlb e àceuli qui san sdessel nia’ru apoussé légèrement, ou uli aru amacrhés rup el ei: de’c s tun eaftu equ’lin epadronnep as.L a premèire chose q’ud liti à un amiq iu liu emprunetq ueqlu eargent ,c’est qu’il nel ui en pêretarp iotn: liva l ertouve rensiu ,etl teeiul donne de mauvasi egrâc,e ojaatutn q’ulil ecometp pedr .u lIn eul iarirve jamias de se heurter àun eipeerr q’ui lrenconrte en son chemi,n san slui donner de garnde smaéldoitcin.s Ilne diagne pas taetndre pesronn ; ee tso’l in diffère un mometn à s eernd eraul ei udotnl o’ ne tsconvenu avec uli,i l se reiter .Is l eidtsniguot eojuu srpa run egrandes nigluarti é :li ne veut ni chanters à ot nour in ,réctier dan sun erpa,sn imêmed anser avec els autres. En un mot, o nnel evoti guèr edansl est emelpi smporutne rles Dieux, et leu rafri edes vœuxo u de ssacrfiice.s Dal es upesritoitn La supertsition sembl en’ê ertartu echos eq’uun ecriatn emlar égél edel aDivinité. Un hommes upesrititeu,x aprè savior alvés es mians e tsrtê’ epru éifiavec de le’au ulstrla,es or tdut empel, tes epromèneu ng earndp eartie duj our ave cun eefiull ede alruei rdan ss abouch.e Si’ lvoi tun ebeeltt,eli sa’rrête otut coru ,teli t n econtinue pas d emarcher que queqlu’un n’ait passé aval tn iupael r mêm eendroi tque cte animla art aversé, ou qu’i ln tia’-iul étejmêmet rosi pteiet siperer sdan sle chemin, comme pouré olgine rd eulic emauvsia présag.e En queqluee ndortid s e amasion qui’ laa tipeçru us nerpen,t i lned ifèfrp ea s’d yléeveru nauet l ;te dès qu’il remarque dan sel scarreofur sdec esp eirer squ eald évotion du peuple c a yonsaérces ,i l’sen approche, verse dessus totu e’lhuli edes af ioel ,lpiel e sgenou xdeva tnelles, te les adoer .Siu nar tulia r ongéu nsacd eaf nirli ,ec orua t ude,nivq u ine manqu epasd e liu ejnniod erd’ yfaire mettr eun eipèc e ;mia sbien lion ’dêrt esaitfsia td esa réponse, effrayé du’ne avetnru is eeartxonidrair,e i ln’ose puls ses eriv rd eson sac e ts’en daféti .So nlbiafe encoer est d eprufiei rsans fnil amasio nq’uil habite, dé’viet rd e’sasse riosru u ntombea,u comm e’dasistser à des funérailel ,sou ’dertne rdans l achambr ed’un efemme qui ets e ncouche; tel orsq’ulil iu arrvie a’dvo ripendant son sommei lqulequ eiviso,n il va toruver el snietprèret sdes songel ,sed seivnse tels augrues ,porus avrio d’euxà quel deio uuq à ud elleéesse i ldoti sarcfiei .rI les tfor texact àviisetr, surl a if nd echaqu emo,si les prêtres d’Oprhée ,poru s eafieri intier dan sse smysèter s ;il ymène s afemme ; o uis elle se’ nexcuse par d’autres soins, i l y tiafcondriue ses efnants pa run enorurcie. Lorsqu’i lmacrhe paal rli ,elliv ne manqu eguèr ede se laver touetl aêteta ve cle’au des ofntiane sqs iuo tndans le splaces; qulequfeio s liar ecoru sà de sprêertsse,s qiuel p eifirud tnu’na eurt emainèr,ee nl aitn te eténdant autoru d esonc orpu sp netti chein oud elas qiull.e Efnni ,i’sl voitu n homm erfappé dé’ipelps ,eisiaish’d orreu,r il crache dans so npropers eni, comm eporu erejet r elmhlaeur de cette renconrt.e Del e’spir tchagrni Le’spirt chagrni fiat quo’l e ne’naj tsmia scotnen tde pesronne ,te que l’on fiat aux auerts mli elpnialtes san sofndement. Si quelqu’un f tiaun fesitn ,te q’uil se souveinn e’denvoye run plat à un homme d ecett ehumeu,r i lner eçiot d e iulporu ot tuermeicremenq tuel e erproched ’avio rté éoulbéi : « Je n’étaisp asgid netid ,c et espirt querleleu ,xd ebori ede so nvin, n ide mange r àsa tabl .e» oTu tul iest suspec,t jusque sau xcaersses qu eul iafti s amertîass : e «J edouet fort,l ui id-tli, que vou ssoye zisncèr,e te que toutes ces démontsitaron sda’miité parten tdu cœu.r » Aprè sun egrande sécheerss evena tn àpeluvior, comme il ne peut se planidr edel alpiue ,ils e’ nprenda ucleid ecq eu’elle ’na pas commenc élpust tô. Si l ehasadrl iu tiaf v rioun ebosru edan sso nchemi,n i l’snicilne: «I l y ades gens, ajoutet-li- ,qu ion tdu bonheur ;poru mo,i j e’nia jamais eu celui de toruver un térsor . »Un eatuiof ers, ayatn envie ’du nesalcve , lipriei nsatmment cle iu àqiuli appartietn d’y metterl p erxi; e tdè squ eceulc-ii,v aincu par sei smporutétin ,sell iu a vend,u li s eerpetn dl e’avoir acheté : «N esuj-si epast rompé ?demande--til ,et exigeartio- nis peu ’dun echos equ ise tiarsan sdafétus ? » À ceux qu iul ioftnl es comlpimenst ordniaeris s rul ansiasanc eu’d nfi sle tsu r’laugmenttaoi nd esa famlile : « Ajoutez, el ruid ,li-tpour n eiren oubile,rs ruc equ emon bein est idminué de al mioti.é »Unh ommc ehagrin, après avoir eud ese sujge sc equi’l demanda,ti te’lave riomporét tout ’dunev io xsu rso nadvesriaer ,sep ialnt encore de ce iulqa iu érctio up arélp our uli ,dec q eui’ la’n pas touch éles mellie srumoyensd esac ause; ou lorsque ses amsio tnf ia tensemlbe une certianes omm eporu el secourir dans un besonip erssan,t isq uelq’uunle’ f nciléite etl c eoneiv à meiux espéer rdel aofrutne: «Comment, uli érpond-il ;p-siu ejêrt esensilb e àla monidr eojei ,quand je pense que j edosir endr ecet agren t àchacu nde ceux qu ime ’lon tprtê ,ée tnê’tr epas encoreq iu ettenvee srux de la reconnasisanc edel eu ribenafti? » Deal dféiance Le’spr tid edaifénc enous fia trcioer qu eot tul emonde est capable d enous ortmper .U nhomm edéifan,t par exemple ,s’i lenvoei a umacrh é’lun d eses domesqitue sporuy acheter des proivison,si lelaf ti siuvr epa ru nau ertq iudoti uli rappotrerf dielèmetnc omeib nelles ont coûté .Siq ueqlueof silip orted e’lagres tnur s iodans u nvoyage ,il el clacuel àchaqu eatsd equ li’fiat, pou rvori ’sli a son comp.et Une ature fois ,até tncouch éavec s aefmm,e i ll iudemand es iell ea remarqué que son coffre-fotrf tûb ei nefrmé ,sis a casstete esot tojuurs sceléle, et is on ae usio nd ebeinf ermer al port ed uvestbielu; e,t bei nque’lle assur eque totu ets e nbo ntaté,l ’inqiutéud el epern,di lsel ève du ilt, va e nchemsi eeel ts ipeds nus ,avec l aalmpe qu ibrûeld an ssc ahambre,v isiterl ui-mêmet ou sel sendorit sde sa miaso ,n tec e’ne tsqu’avec beaucou pd epeni equi’ le’sndo trapèr scette rechecrhe .I lmène ave cul idest émions quanli d v ademande rses arérarge,s fani qui’ lne pernne pas un jour envei à ses débietru sdel iudénier s adett.e Ce e’nts po tniche zle foulon qui passe pou rel mielelur ouvirer qu li’envot eienider s aorbe, mia sche zceuli qui conse tnd en epion tal recevio rsan sdonner cauiton. Si quelqu’un sh easadrd eul eie mpurtner quelques vase,s i lell siuer ufss eouvent ;o u s’il elsa ccodre ,lin el esl iass epae selnveq ri’un sle soietn pesés,i laftis iurvc eulei qiuel s empotre, et envoei dè sell endema niprier qu’on lesul iernv .eioAt-i- lun eslcav eq’u liaffecoitnn eet qui l’accompagne dans la vilel ,lil eafti macrhe rdevant uli ,de peu rqu e’sil el perdati de vue , lin eul iéchappâ tte n eprtiuf al tî .eÀ un homm equ,i emportant de chez l iuquqleuec hose que ce siot,l u iidarti: «Etsimez cela, e tmetetl-zs eu rmoc nompet» , lir épondria tqui’ lafu el tsialseo r ùon’ la pris ,et q’ulia d a’tuer saffaier sque celeld c eorirua près son argent. Du’nv liia nhomme C ecaartcè ersupposet oujoru sdan su nhomme une extrême malporpre ,ét teune négilgence pour sa personn equ ipass edans l’excès et qui blesse ceux qu i’sen apeçrovietn .Vous l everer zquqleue sioftout couvert de èlpr,e ave cde songles longs e tmplaroper ,sn epa salsise rd es emêler parmil e mond ,ete rc erioe ntêer qutiet poru dri equ e’cest une maladie deaf miell ,te que son père et so nïaeu ly éatietn seju .st lIa au xjambes des ulcèer.s O nul ivo tiau xmain sde sperioau xte a’dertus saletés, qu’i lnélggi ed efiar eguéir r ;o us’li pense à y reméider ,’cest lorsque le mal, aigr iparet el mp,s es tdevenui ncuarlb.e lI es thérissé d epoli sous les aisselles te part ou tel coprs, comme une betêaf uv; e li a les dents noiers, orngées,te et llesq ues ona bodrn s ep eeus touffir .rC e’nets pas tout : il arccheo li u s emouchee nmangean t;li p arell b aouche lpeine, afe tinb uvad tnesc hose scotner lab einséanc e ;i lns e ese trajmais au bain que ’dun ehuli equs ient mauvias, et ne paîarg tuè erdans une assembléep ubilqu equa’veu cniv e ellierob etet ouett aché.e Si’ les toblig éd’accompagne rs amè erche zles devni,s i lno’uverl abouche que pou rdire des choses de mauvia sauguer .Un eatuer foi,s dans el etmp el teen faisant des libaiton,si lul iéchappear des miansu nc eoup eouq ueqluea tuerv ase ; te i lriar ens etiud ec etteavenuter ,comm esi’ lavia tafti quelque chose de mevreelliu .xU nhomme is etxraordinair ene sai tpotni écoetur u nconcert ou d’excellenst ojueusr de fûlet ; i lbat de smnia save cvioelnc ecomme pou relru apalpurid ,o uibe ni lsui td’une voix désagréalb eel même air qu’ils joue tn ;li se’nnuei del asymphoine ,d teemandes iell ene doi tpa sbientô tfinir. Enif,ns itéant asiss àatlbe li vetu arccher ,’cestj usetmetn su rceul iqu ies tderirèr eul iporuiul donneà rb ori.e D’unh ommeni commode Ce qu’o nappelle u nâfcheux ets cleui qu,is an safri e àqueqlu’un u nfor tgarn dot,tr nl eiass epa sdele’ mbararsserb eaucouq ; pe ,iurtnantd an slac hambrd ees ona mi qui commenc eà ’sendorm,ri el érveille poru l’entrteenri d evani ssidcosru ;qiu ,se toruvan tsu rl ebodr d e almer, sru le ponit qu’un homm ee tsprtê d epatrir et de monet rdans son vaisseau, l’arrêet sans nul besio,nl e’ngag einsenislbemen t àse pormenera vec lui su rle rivage; q iu ,ararchatn u npeitt enafn tds u nieds e anoruirce pendatn q’uil tetet, l iu tiafavelarq ulequ echos equ’lia mâché ,bad tes mains devant ,iul el caerss ,ete liu parle du’n evoxi conrtafeit e; qui choisl tiet emp sder upa,s et quel eptoag ees tsu r altable, pour dirq eua’yap tn sirmédecnie depusid eu xjorus,i l es tlaél par hau te tpa rba,s e tqu’un elib enioer et reciute étai tmêél edans ses djéeciton s; quid ,evatnot utu ena essembél ,e’saivsed e demande rs àa mèrq eule jou relle a accouché d e iul ;qui ne sachant que dri,e appernd que l’eau de sa ctiernee tsf arcîheq ,’urc lid tîoanss onj aridn d ebonnesl égumes,o u qu esa miason es touvetr e àtout le monde, comme un ehtôleelir e ;qu i’sempersse de faire conntîa eràs es hetô sun parasit eq’u liac he zul; i qiu l’invtie àat b elàs emrtte een bonn ehumeur, et àr éjouir alc ompagnei. D el asott evaniét L asot etvain étsembel êrte une pasoisnni qiutè ed esef iaer vla riopa rel spuls petite schose ,sou de chercher dansl es sjute sels plus frivoles d unom e td eal ditsnitcio.n Anis iu nhomme via,n s’li se trouve à un erpa,s affetc eotojusru de ’sasseoi rproche dec le iuqiul a’ convéi .lc Ionsa erc àAploolal n cheveulre d’unf isl u iul iiven td enîart e ;e tdè su’li ets arven uàâ’l ed euberét ,lil econdutil -iu
