)5$1&. /2=$& + JOURNAL1998 1 Janvier $ DQV O¶RQ SHUoRLW DXWUHPHQWLa suffisance, et la pensée orientale peut paraître une possibilité de résolution. 6L O¶RQ IDLW SUHXYH G¶XQ SHX G¶REMHFWLYLWp O¶RQ V¶DSHUoRLW TXH FHV savants, ces penseurs, ces références évoluent dans une civilisation qui est en retard sur la nôtre, ce qui veut dire que leur philosophie, leur principe spirituel HVW pJDOHPHQW HQ UHWDUG TX¶LOV OH YHXLOOHQW RX QRQ TX¶LOV HVVDLHQW RX QRQ GH PrOHU G¶HQWUHPrOHU GH GpSODFHU OD SVHXGR-certitude. * Penser vraiment serait se séparer du corps. Car le corps est contrainte, et ne permet pas de voir au-dessus - du dessus. La substance réelle GH O¶rWUH QH SHXW VH FRQFHYRLU DYHF OH FRUSV FDU OH FRUSV HVW SULVRQ HW DUPXUH ,O IDXW GRQF VRUWLU HW O¶H[WUDFWLon hors du corps, -OD OLEHUWp GH O¶HVSULW SHUPHW G¶DFFpGHU DORUV j XQH YpULWp PRGLILpH SOXVvraie, quand bien même cet état de la pensée ne saurait autoriser de comprendre toutes les choses. Mais cela vaudrait mieux. Ne vous suffisez pas de ce que vous êtes, car vous avez grandement besoin de progrès. Et vous devez passer par des phases évolutives. * Le philosophe oriental dit : ce que je suis me convient. 2 Le philosophe occidental dit : ce que vous êtes ne saurait convenir. Pensez autrement. Proposez quelque chose de différent. Ce qui est ne peut suffire. Comment pouvez-vous prétendre que cela est satisfaisant ? Observez ! Regardez ! Composez ! Non.
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