SommaireCensorin1 Chapitre 12 Chapitre 2Du jour natal3 Chapitre 34 Chapitre 4Traduction : M.J. Mangeart, 18435 Chapitre 56 Chapitre 67 Chapitre 7Chapitre 1 8 Chapitre 89 Chapitre 9I. Préface. Les cadeaux qui consistent en objets d'or ou d'argent, objets plus 10 Chapitre 10précieux par le fini de leur travail que par le prix de leur matière, et toutes ces autres 11 Chapitre 11faveurs de la fortune, excitent la cupidité de celui que vulgairement on nomme riche. 12 Chapitre 12Quant à toi, Q. Cerellius, dont la vertu non moins que l'argent forme la richesse, 13 Chapitre 13c'est-à-dire qui est véritablement riche, tu ne te laisses point prendre à de tels 14 Chapitre 14appâts. Non que tu en aies à tout jamais repoussé loin de toi la possession ou 15 Chapitre 15même la jouissance ; mais, formé par les préceptes des sages, tu as assez 16 Chapitre 16clairement reconnu que toutes ces fragilités ne sont par elles-mêmes ni des biens 17 Chapitre 17ni des maux, mais des choses indifférentes, c'est-à-dire tenant le milieu entre les 18 Chapitre 18maux et les biens. Elles n'ont, suivant la pensée du poète comique, « De valeur que 19 Chapitre 19celle qu'a l'esprit de celui qui les possède : des biens, pour qui sait en user ; des 20 Chapitre 20maux, pour qui en use mal. » 21 Chapitre 2122 Chapitre 22Donc, puisque, je ne dirai point plus on possède, mais moins on désire, plus on est 23 Chapitre 23riche, ton âme est riche des biens les plus grands, de ces biens qui ...
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