672
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Français
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2011
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10 janvier 2011
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102
Langue
Français
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25 Mo
"CO
|0> 2)ictionnaire
DES
ERALDIQUESIGURES
DE Î^ENE^SE.COMTE fHEODOREPAR LE
Héraldique de Belgique.Membre Suppléant du Conseil
ITOME
BRUXELLES
LIBRAIRIEBELGE DESOCIETE
anonyme)(Société
DlRECTilUROSCAtt SCHEPEN3,
Treurenberg, 1616, rue
18972)ictionnaite
DES
ERALDIQUESIGURES
PAR LE COMTE DE Î^ENE33E,^HÉODORE
Membre Héraldique.Suppléant du Conseil
TOME r
BRUXELLES
SOCIÉTÉ BELGE DE LIBRAIRIE
Société anonyme
OSCAR SCHEPENS, DIRECTEUR
16, rue Treurenberg, 16
189iEtant donnée une trouver les armoiries qu'elleporte.famille,
de Piiet-Tel est le proi)lème résolu par TArmorial Général
voliiiiies ouvrage décrit plus deslap. Eli deux gros cet
familles nobles et patriciennes de tous105000 armoiries de
pays.
problème, plus difticile11 reste à résoudre un autre
peut-être.
laquelle elledonnée une armoirie, trouver la famille àEtant
appartient.
Certes, la publication de son Armoriai, Piietstap apar
ce qui se trouverendu un service signalé. En condensant
divers, spéciaux à un pays, à uneépars dans cent armoriaux
quelquefois en complétant le catalogue desseule région ;
ouvragesarmoiries donné par différents auteurs dans des
la prétention d'êtrequi fort indûment souvent émettent
fait une œuvre dont on ne saurait taxercomplets, Rietstap a
trop haut l'importance. Aussi tous les amis de l'art lierai--_ 4
scinici' «jt-iiéalo^ntiu»' (Uit-il.s salue avec reioii-et de lailiiiut'
de son Armoriai.liais.-iance rapiiarilioii
(raffinner ([iie la soliilioii du secondSerait-il téméraire
plus haut est au iii(»iiis aussi inleiossante?(iioblènie indi(iue
Lorsi|u'il s'aj^il. en effet, de trouver les aiiimiiii-s d'une
son pays et,famille on sait généralement quel est d'oiii^Mne
toujours. on tinit pai- découviir.apies des recliercliespresque
jiaysmoins longues, un ouvrage spécial à ce ([uiplus ou
renseigne quelles sont ces aiinoiries. Mais lorsqu'on est en
d'un écusson peint ou sculpté sur la toile, dans leprésence
bois ou dans la pierre, sur un vitrail, sur un cachet ancien,
sur un de ces vieux portraits étiarés par le hasard des
successions ou des alliances dans une famille dont il est souvent
ramilications,bien difficile de connaître toutes les où
faudrat-il chercher ? Ouand le colleciionneur. ranti([uaire
rencontrent ces mille objets portant sans aucune inscription
révélatrice une ou des armoiries, ol)jels dont la provenance
ontleur est généralement inconnue et qui fait souvent cent
étapes diverses depuis le lieu de leur naissance jusqu'au
jour où, énigmes agaçaides par leur mutisme absolu, ils
échouent enfin dans une collection, un nuisée, un magasin
d'antiquités — trouveront-ils le lil conducteur (pu
; où va
leur permettre de donner un nom à ce portrait, une
athibution à ce verre taillé, à cet antiipie bahut fouillé dans le
vieux chêne, à cette vieille tapisserie dont les iconoclastes
anciens et modernes ont res|icclé la trame ?
Nous avons pen.sé ('-tait temps de venir en aide aux«in'il
chercheurs. Et chercheur nous-mème, nous nous sommes
mis au travail avec cette témc'rih' qui Jelle un Vdile sur la— o
le courage qui seul en celongueur du chemin à parcourir et
bas-monde sait faire triompher les audacieux.
Nous offrons au public un catalogue raisoinié de toutes
cinq mille descriptionsles figures contenues dans les cent et
VArmoriai Général de Rietstap. Dressé dansd'armoiries de
un ordre spécial, figure par figure, ce nouveau dictionnaire
intéressepermettra doréna^'ant à tous ceux que la chose
généalogistes, collectionneurs, amateurscomme héraldistes,
de genres, marchands d'objets anciens, etc., de donnertous
un nom, sinon à toutes les armoiries, ce qui est impossible
moinsà réaliser jusqu'à ce jour, au à toutes celles que
Piietstap a décrites.
PRATIQUESINDICATIONS
Nous tigures héral-prenons successivement toutes les
diques contenues dans VArmoriai Général. Pour chacune
d'elles nous formons un catalogue spécial, partagé en
sections, divisions et subdivisions, et qui donnera par ordre
alphabétique les portant dansnoms de toutes les familles
leur écusson le meuble, la figure cataloguée.
chaquePour hgure le catalogue se divise en trois grandes
sections :
les armes complètes,
les armes non-complètes,
les armes écartelées.- LESI. ARMES COMPLÈTES
Les armes classées dans com-cette section sont nommées
pli'teft \)i{\re quelles ne contiennent absolunuMit lien de plus
que ce qui est indi(iué dans cette section.
Choisissons comme exemple le terme i.Lvi;ir.i!.
Armes cuniplèfe.s : cette section est divisée en : lévhiek
SKIL, AHHÈTÉ, ASSIS, PASSANT, RAMPANT, LÉVRIER SLR TERRASSE,
LÉVRIER TENANT UN MEUBLE, LÉVRIER EXTRAORUIXAIRE, DEUX,
TROIS LÉVRIERS SEULS. Puis vii-ut uue nouvclle catégorie :
LÉVRIER chargeant divisions i 1). pièges et meubles :(2) (3)
sur coupé, sur parti, sur bande, sur clief. etc. lévrier;
brochant sur divisions et pièges parti,
: sur sur coupé, etc.
Enliii une dernière catégorie : lévrier piècesaccompagnant
et meubles pareils, arbre, bande, bordure, étoile, tour, et
LÉVRIER accompagnant PLUSIEURS MEUBLES NON PAREILS :
CUOissant et étoile, arbre et étoile, etc.
Xous nous tnjuvons, pai- exemple, devant un écusson
portant
: d'or a l'arbre terrassé de sinoi'le, sénestré d'un
Nous appelons(1) divisions les traits ou lignes qui changent ou diversifiant le
champ ou fond de l'écu, le parti — écu partagé en deux parties égales par une
ligne — —verticale. le coupé écu partagé en deux ])arties écralcs par uir- Ii;.'ne
horizontale, le tranché, le taillé, etc., etc.
{•!) Nous appelons pirces les ligures tonnées au ninyeii de lignes. 11- pal, la fasce,
le thevron, la hordure, le canton, etc.
(.3j Nous appelons meubles les objets de toute sorte : animaux, instruments,
iruitii, fleurs, etc., qui chargent un écusson. chargent et accompagnent les
divisions et les pièces.