Stéphane MallarméDivagationsBibliothèque-Charpentier ; Fasquelle, 1897 (pp. 369-374).◄ Sauvegarde [ B i b l i o g r a p h i e ]B I B L I O G R A P H I EPlusieurs études en ce volume premier de DIVAGATIONS, ont été, avec quelqueintention préalable chez l’auteur, distraites de leur publication ayant cours, accruesd’autres ou rejointoyées et refondues, traitement qui déconcerte, à l’occasion, unLecteur familier ; lequel, s’il s’en trouve, a droit aux informations ci-après —différemment oiseuses — en vue d’assurer ses souvenirs.Une ingratitude, à ne rappeler, avant tout, au sujet de ces POÈMES ETANECDOTES, les traductions, absolues, qu’en donnèrent, principalement enanglais, MM. George Moore, Stuart Merril et Richard Hovey — je crus, possédant lalangue un peu, me relire ; — en italien, M. Pica, proche de chacun ici ; plusieurs,achevées également, dont je rends grâce à mes confrères de tous pays.Originellement, ces petits écrits célèbrent, aux recueils amis, des livraisonsd’ouverture — de la Revue des Lettres et des Arts et la République des Lettres àla Vogue en passant par maints : excepté la Déclaration Foraine et le Nénupharblanc parus dans un journal mondain L’Art et la Mode, la Gloire, au cours d’unebiographie de l’auteur par Verlaine, et l’Ecclésiastique. Conflit, fut parmi lesVariations sur un Sujet que, de temps à autre, donne la Revue Blanche. Le tout,moins ce dernier morceau, se groupa d’abord, 1889, avec RICHARD WAGNER,RÊVERIE D’UN POËTE ...
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