Pour le psy
Qui était vraiment Edward Hopper? Etait-il aussi solitaire et mélancolique que ses héros? Dans Edward Hopper, Entractes, Alain Cueff le qualifie de «dernier puritain», rappelant la profonde empreinte de son éducation protestante qui se «caractérise entre autres par un rapport frontal à la ''dure réalité'' et par une certaine méfiance à l'égard des émotions, de la jouissance esthétique, des images», explique l'historien d'art au Figaro. Bref, Hopper n’était pas un grand rigolo. Modeste, réservé, il partageait sa vie avec sa femme «Jo», peintre elle aussi, entre un atelier au 3 Washington square et sa maison le long de l’océan à Cap Code. Jo sera son unique modèle: elle refusait qu’il en engage d’autres. Le couple avait un chat, à défaut d’enfant… «La toile blanche d’Edward Hopper» vous permettra de faire connaissance avec Jo, qui n’était pas vraiment la joie incarnée… Votre voisin psy devrait hocher la tête d’un air entendu, avant d’enchaîner sur les relations d’Hopper avec
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