Dossier de Presse CDL 2011 BON
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Dossier de presse
CINE DROIT LIBRE 3 E D I T ION èm e
FESTIVAL DE FILMS SUR LES DROITS HUMAINS ET LA LIBERTE D’EXPRESSION EN CÔTE D’IVOIRE
er au 4 décembre 2011Du 1
Par SEMFILMS (Burkina Faso) & CINE CONNEXION (Côte d’Ivoire)
Partenaires : INSTITUT GOETHE, AMNESTY INTERNATIONAL, LIDHO (Côte d’Ivoire)
PRÉSENTATION DU FESTIVAL « CINÉ DROIT LIBRE »
« Ciné Droit Libre »un festival autour de films est engagés pour la cause des droits de l’homme et de la liberté d’expression. Crée par l’association Semfilms depuis 2005 ce festival, premier du genre en Afrique de l’Ouest, s’est fixé comme objectif de donner une plateforme aux cinéastes et journalistes du monde entier dont les œuvres (des films portant sur les droits humains et la liberté de la presse) sont censurées ou ont eu des difficultés de
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diffusion.
Pour rappelDroit Libre »« Ciné en abrégé CDL est né de la frustration vécue par les réalisateurs suite à la censure du film « Borry Bana : le destin fatal de Norbert Zongo1 » au niveau national. Ciné droit Libre est basé sur le principe « un film, un sujet, un débat ».
Commencé en 2005 avec une dizaine de films, et un public estimé à 2500 spectateurs à la première édition en passant par 4000 à la seconde et 27 films avec plus de 10.000 spectateurs à la troisième édition,« Ciné Droit Libre »est aujourd’hui à plus d’une trentaine de films et plus de 15.000 spectateurs les deux phases comprises c'est-à-dire à Ouagadougou, et dans les 5 villes intérieures.
Au fil des ans,« Ciné Droit Libre »s’est bonifié et est devenu un véritable espace d’expression, une tribune libre pour la défense des droits humains au Burkina Faso en particulier et en Afrique en général. C’est ainsi que Ciné droit libre a très vite été reconnu sur le plan mondial par le HRNF (réseau international des festivals de film sur les droits humains) en l’acceptant comme membre en novembre 2006.
De nos jours,« Ciné Droit Libre »partage son expérience avec d’autres festivals à travers le monde. En plus le concept de ciné droit libre s’est s’exporté vers d’autres pays de l’Afrique (Mali, Kenya, Centrafrique, Togo et Côte d’Ivoire) etc.
Ciné Droit Libred’inciter à l’action tous les acteurs (politique, ambitionne professionnels des médias et des droits humains, citoyens victimes, bourreaux etc.). Ciné Droit Libre veut encore relever le défi du cinéma militant, à travers cette troisième édition.
LE CREDO DE CINE DROIT LIBRE :
Le festival CDL a pour credo les trois idéaux suivants :
- « Un film, un thème, un débat »
- « Une indépendance dans la sélection et la programmation des films »
- « Liberté de diffuser les films censurés, engagés, polémiques ».
Qui organise « CINÉ DROIT LIBRE » ?
Ce festival est une initiative de deux organisations sœurs qui poursuivent les mêmes objectifs, l’une au Burkina Faso (pionnière en matière d’organisation de festival sur
1 Ce film qui porte l’assassinat du journaliste Burkinabè Norbert ZONGO, vraisemblablement tué par un des proches du régime du Président Blaise COMPAORE le 13 décembre 1998 subit une douce censure.
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les droits humains) et l’autre en République de Côte d’ Ivoire. Il s’agit deSemfilms
Burkina Faso etCiné ConnexionCôte d’Ivoire. Ciné Connexion est une association de droit ivoirien sans but lucratif exclusivement
consacré au film sur les droit humains et la liberté de la presse. Elle s’est assignée
pour mission essentielle d’œuvrer à la promotion des droits humains et de la liberté
de la presse par le cinéma. Son idéal : contribuer à l’édification d’un monde « plus
droit, plus juste ». Son président est Yacouba Sangaré, journaliste, secrétaire général
de la rédaction du Patriote, quotidien ivoirien d’informations générales, et Chef du service culture. Passionné de cinéma, il est très sensible à la question des droits de l’homme et de la liberté d’expression. Semfilms Burkina est une association à but non-lucratif (asbl) de droit Burkinabé, qui s’évertue à promouvoir le cinéma engagé en réalisant des reportages et des films documentaires sur les droits humains, la lutte contre la corruption, la liberté
d’expression, l’art etc.
Comme vision, Semfilms souhaite et travaille à se positionner pour l’horizon 2010 comme une organisation citoyenne qui contribue à la promotion des droits humains et la liberté d’expression à travers les films et qui est une référence au Burkina, en Afrique, et dans le monde. Elle est présidée par Luc Damiba, réalisateur et auteur de deux documentaires poignants : « Borry Bana, le destin fatal de Norbert Zongo » et « Télé Guerre ». En plus de
ces deux organisations, le Goethe-Institut participe à l’organisation de ce festival, en tant que partenaire principal. Cette année, CDL enregistre l’implication de la Ligue Ivoirienne des Droits de l’Homme (Lidho) et d’Amnesty International, section Côte d’Ivoire.
RAPPEL DES DEUX PREMIERES EDITIONS DE CDL A ABIDJAN
La Première édition du Festival de films documentaires sur les Droits Humains « Ciné Droit Libre »s’est déroulée du 10 au 13 juillet 2008 à Abidjan, Côte d’Ivoire. Le Festival s'est déployé sur trois (3) sites bien connus du public à savoir le Goethe Institut, le Palais de la Culture de Treichville et l'Université d'Abidjan Cocody. Le nombre total de fréquentation en quatre soirées de projections-débats a été estimé à 3.261 participants qui ont pu voir quelque 20 films engagés pour la cause des droits de l'homme et de la liberté d'expression. Ciné Droit Librea accueilli huit (8) invités dont trois originaires du 2008 Burkina Faso et cinq d’Europe. Deux (2) ateliers de formations ont été tenus
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dans la foulée du Festival sur la réalisation du film documentaire et l’exploitation des archives audiovisuelles pour la promotion des Droits de l’Homme animés par des experts (Djamel Tahi, réalisateur Franco-Algérien et Rob Brouwer, Chef département audiovisuel Amnesty International Pays-Bas) avec la participation de 63 auditeurs en tout. Un forum sur le thème "médias, paix et élections en Côte d’Ivoire" a réuni journalistes, activistes des droits humains, étudiants, leaders d’opinion et d'illustres panélistes. La deuxième édition du festival ciné droit libre qui s’est tenue du 09 au 12 juillet 2009 à Abidjanété moins bien organisée et a connu moins de succès que la a première édition. Les différentes activités prévues se sont tenues au Centre Culturel Allemand (Goethe Institut) et à l’université de Cocody (Cité Rouge). Le festival a accueilli seulement 04 invités, enregistré une vingtaine de films avec la participation d’un peu moins de 800 spectateurs. Des chiffres en deçà de la première édition mais qui constitue des statistiques inespérés, si l’on se réfère au contexte de mauvaise organisation et surtout au manque d’appui financier (incompréhension avec la fondation Movies That Matter, Semfilms a dû supporter l’essentiel du festival).Il y avait donc une grande nécessité de repenser intégralement l’organisation du festival à Abidjan et travailler à préserver la philosophie qui sous-tend cette activité. Il est également apparu nécessaire de nouer de nouvelles alliances avec des associations et ONG locales afin que le festival s’enracine réellement au niveau de la société civile.
La troisième édition initialement prévue du 25 au 28 novembre n’a pu se tenir,compte tenu des élections et de la crise née de ces élections. C’est donc cette édition qui a été reportée en 2011 et qui est finalement fixée er du 1 au 4 décembre 2011.
CONTENU DE LA TROISIEME EDITION DE CINE DROIT LIBRE A ABIDJAN
er DU 1 AU 4 DECEMBRE 2011 Thèmede l’édition 2011: «Démocratie, violence et réconciliation» Justification du thème :L’échec de la démocratie dans les pays africains a toujours été sources de violence. Chaque fois qu’une élection est programmée dans un pays africain, le spectre de la violence pèse sur la tête des populations. Le cas récent de la côte d’ivoire est un témoignage poignant de cette blessante réalité. C’est pourquoi, il est important de poser la problématique de la pratique de la démocratie dans les pays africains afin d’éviter les violences liées à sa mauvaise mise en œuvre.
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Les sous-thèmes possibles ·L’Afrique des indépendances : désillusions ou réalités ? ·Révolution Africaine ou échec de la gouvernance en Afrique. ·Violence et réconciliation : le pas à franchir pour la paix. ·Musique et engagement pour la démocratie en Afrique
Sélection des films Une sélection des films en fonction des thématiques a été faite. Cependant, étant toujours à l’affût d’exclusivité, nous guettons la sortie de nouveaux films en rapport avec la thématique de CDL11.
Quelques films phares par thématiques de l’édition 2011
·Mort de style colonial « Lumumba, »,film sur l’assassinat de Patrice un Lumumba. ·« Le point de Vue du Lion »film de l’artiste sénégalais Didier Awadi qui un donne la parole aux intellectuels et à la jeunesse africaine pour donner leur propre point de vue sur la situation de l’Afrique (Jeunesse, immigration, impérialisme, racisme etc.) ·« Une journée dans la vie de marie Madeleine »,un film de Serge Bilé qui traire de la question taboue et sensible de la prostitution et de la sexualité au vatican·« Traversée clandestine »,sur l’immigration des jeunes qui meurent film dans les hautes mers. ·« Le bateau qui pue » de Bagassi Koura, , un film sur le scandale des déchets toxiques en Côte d’Ivoire. ·« Kadhafi, notre meilleur ennemi »d’Antoine Vitkine (France) ·»Blondy, une vie de combat « Alpha Antoinette Delafin et Dramane de Cissé ·« Sankara, l’Homme Intègre »de Robbin Shufield ·« Borry Bana, le destin fatal de Norbert Zongo »de Semfilms ·Etc. -Parrainage de l’édition 2011 Pour rester dans la thématique du cinquantenaire des indépendances, la 3ème édition de Ciné Droit Libre Abidjan est placée cette année sous le parrainage deM. Roland Lumumba, le fils de la grande figure de la lutte pour l’indépendance de l’Afrique, Patrice Emery Lumumba. En fonction de la thématique retenue et des innovations prévus, une dizaine de personnalités du monde du cinéma, des intellectuels ainsi que des artistes seront invités pour donner un cachet particulier au festival. Ainsi les invités sont : Sur les questions d’indépendances Didier Awadi,artiste engagé et réalisateur, Sénégal
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Thomas Giefer,réalisateur
Serge Bilé,écrivain, journaliste, réalisateur
LESGRANDESACTIVITESDUFESTIVAL2011 les projections débats Le credo « un film, un thème, un débat » se traduira par la programmation de films autour des deux thématiques principaux : les films sur les droits humains et les films sur la liberté de la presse. Pour chaque film, deux ou trois acteurs interviendront : un modérateur, un invité maîtrisant le thème traité par le film (le réalisateur, un journaliste, un activiste des droits humains) et le public spectateur. Les lieux suivants ont été répertoriés pour accueillir les projections :
·····
Le Goethe-Institut d’Abidjan L’Institut National des Arts et de l’Action Culturelle - INSAACLa Cour de la Mairie d’Abobo - CCAB
Café de Versailles à Cocody
Foyer des Jeunes de Koumassi
Le forum du FestivalThème :
Quelle place pour la jeunesse africaine dans la politique des Etats africains 50 ans après les indépendances ? (Hommage à la jeunesse ivoirienne qui a payé le plus lourd tribut de la crise postélectorale).
La frange de la population qui paie toujours le lourd tribut de la mal gouvernance, de l’échec de la pratique démocratique dans nos pays africains, ce sont les jeunes. C’est toujours la jeunesse qui est jetée en pâture aux forces de l’ordre pour contester et réclamer. C’est cette même jeunesse qui est utilisé pendant les consultations électorales, c’est encore elle qui prend les armes pour se battre pour le retour de la démocratie. Et tout cela, au prix de leur vie. En retour, la jeunesse n’est pas toujours considérée à la hauteur de son importance, elle vit dans le chômage et la pauvreté.
La démocratie devait pouvoir permettre à la jeunesse de s’épanouir mais pourquoi cela n’arrive-t-il pas ? Placer le forum de CDL sur la place de la jeunesse africaine dans la politique africaine vise à rendre hommage à toute la jeunesse africaine qui meurt sur le sol africain, ou dans les mers à cause de la mal gouvernance.
Personnes :
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Didier Awadi, artiste musicien
Serge Bilé
Pr Amoa Urbain, Recteur de l’Université Charles-Louis de Montesquieu
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-
Karim Ouattara, républicaine
Président
du
Mouvement
pour
la
Conscience
Ateliers de pratiques du film documentaire sur les droits humains. L’idée de ces ateliers est de permettre aux jeunes cinéastes, réalisateurs ou même à des membres d’ONG de se familiariser avec les techniques de réalisation documentaire. Un travail a commencé avec le formateur Djamel Tahi, un documentariste très expérimenté et qui peut continuer encore cette année sous forme de makings off sur les films de certains réalisateurs invités. Nous pensons à Thomas Giefer (Réalisateur allemand) qui a déjà eu une expérience intéressante à Ouagadougou. Les masters class se tiendront les ers 1 et 2 décembre à l’Institut Goethe de 9h à 13h.
En plus des masters class, nous allons également organiser une formation à l’enquête et au reportage audiovisuel qui se déroulera du 28 novembre au 4 décembre à l’ISTC. Ainsi une formation sur le Journaliste Reporter d’images (JRI) pourrait être d’une grande utilité pour les jeunes qui s’intéressent à ce métier et à l’audiovisuel en général. .
La formation va concerner 8 JRI issus de 4 pays : Côte d’Ivoire (4), Burkina (2), Mali(1) et Sénégal(1).
Les formateurs seront:
1-Gideon Vink, réalisateur, monteur, cameraman, chargé de production à Semfilms 2-Bakary Ouattara, réalisateur Pour que la formation puisse servir le festival, il serait intéressant de commencer trois à quatre jours avant le début du festival pour être opérationnel durant le festival. Les JRI ainsi formés pourraient couvrir en guise d’exercice, les activités du festival et réaliser des PAD (Prêt à diffuser) que nous pourrons proposer aux chaînes de télé et diffuser sur internet.
CINE DROIT LIBRE 2011 A ABIDJAN
PROGRAMME FINALER DU 1 AU 4 DECEMBRE 2011
1.Formations EtMastersClass
er Du 28 novembre au 1 décembre à ISTC
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-Formation des JRI (Journalistes Reporters d’Images) venant de la Côte d’Ivoire, du Burkina, du Mali et du Sénégal er -au 4 décembre 2011Couverture du festival par les JRI du 1 -Animé par Gidéon VINK et Bakary OUATARRA (Burkina Faso) er Les 1 et 2 décembre au Goethe Institut de 9h à 13h
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Masters class sur la réalisation documentaire Animé par Thomas GIEFFER, réalisateur, cameraman (Allemagne)
2.Les
roections defilmsetdébats
AUGOETHE-INSTITUT
er Jeudi 1 décembre : L’Afrique des indépendances : désillusions ou réalités ?
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15h – 17h : Préparatifs 18h15: Cocktail + allocutions + ouverture du buffet dans la cour du Goethe 19h : Entrée dans la salle 19h15 : Prestation d’artistes + Projections de Clips et Ciné Droit Libre Ouaga
Soirée d’ouverture :
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19h30: film d’ouverture :« Lumumba : une mort de style colonial » de Thomas Giefer (Allemagne // 2007 // 52mn) – Suivi de débats avec Roland Lumumba (fils de Patrice Lumumba) en présence du réalisateur.
21h30 :« Le bateau qui pue »,Bagassi Koura, Burkina Faso / USA, 26’ suivi de débats avec un responsable de l’association des victimes, un journaliste ayant suivi cette affaire.
Vendredi 2 décembre : Thème violence, réconciliation, religion
Soirée – Violence et Réconciliation
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15h00:Reconciliation, Mandela’s miracle »deMichael Henry Wilsonsuivi de débats le PROF Francis Wodié, Président de la cour constitutionnel
17h00:«War Don Don »,sur Les difficultés de la justice internationaleun film dans le conflit Sierra Léonnais suivi de débats
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Soirée spéciale Serge Bilé
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18h30:journée dans la vie de Marie madeleine »,« Une Serge Bilé, un de film sur la prostitution au Vatican, suivi de débats en présence du réalisateur20h00: Echanges sur l’œuvre du réalisateur,écrivain et journaliste ivoirien, Serge Bilé
21h00:«Noirs dans les camps nazis» de Serge Bilé suivi d’échanges avec le réalisateur
Samedi 3 décembre : Thème : spécial jeunesse africaine et révolution
-10h – 13h : Forum du festivalsousle thème:Quelle place pour la jeunesse africaine dans la politique des Etats africains 50 ans après les indépendances ?Animé par plusieurs intellectuels africains !
Diffusion du Clip de Smockey « 50 ans 2 dépendances ! » et d’une vidéo de Awadi sur son Album « Présidents d’Afrique)
Panélistes :
1-Didier Awadi,artiste musicien, chef de file du mouvement RAP et des artistes engagés en Afrique de l’Ouest. 2-Serge Bilé,journaliste, écrivain ivoirien, auteur des célèbres ouvrages «Noirs dans les camps nazis » et « Si Dieu n’aimait pas les noirs ». 3-Prof. AMOA URBAIN,recteur de l'université Montesquieu à Abidjan4-Karim Ouattara,président du mouvement pour la conscience républicaine
Spécial Immigration & mondialisation
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15h00:« Traversée clandestine »,sur l’immigration des jeunes qui meurent en haute mer. 16h00:“Le point de vue du Lion” de Didier Awadi suivi de débats avec l’artiste Didier Awadi
Soirée révolution arabe
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18h30 :Kadhafi notre meilleur ennemi » « de Antoine Vitkine, 95 mn/Francesuivi de débatssur l'impact des nouveaux médias dans la mutation d'une société en prenant le cas de la révolution arabe21h00:« Au cœur de la révolution Tunisienne »,un doc d’Envoyé Spécial, France, 26’ suivi de débats avec un leader des mouvements de jeunesse
PROGRAMMEDESAUTRESLIEUX
INSAAC–vendredi 2 déc. 2011-10h00 :”“Le point de vue du Lion suivi de débats avec Didier Awadi -11h30 :« Lumumba : une mort de style colonial » de Thomas Giefer (Allemagne // 2007 // 52mn) – Suivi de débats avec Roland Lumumba (fils de Patrice Lumumba).
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15h00:« Le bateau qui pue »,Bagassi Koura, Burkina Faso / USA, 26’ 16h30 :« Une journée dans la vie de Marie madeleine »,de Serge Bilé, un film sur la prostitution au Vatican, suivi de débats en présence du réalisateur
FOYERDESJEUNES DE KOUMASSI-vendredi 2 déc.2011-18h30:: « Reportages Droit Libre TV »,serie de reportages de la TV Web de Semfilms -19h00 : « Borry bana, le destin fatal de Norbert Zongo »de Abdoulaye Diallo et Luc Damiba-”20h30 : “Thomas Sankara, l’homme Intègre de Robbin Shufield suivi de débats-22h00: «Alpha Blondy, une combat pour la liberté» de Antoinette Delafin et Dramane Cissé
COUR DELAMAIRIED’ABOBO–samedi 3 déc.2011-18h30:« Le bateau qui pue »,Bagassi Koura, Burkina Faso / USA, 26’ suivi de débats -20h30 :”“Thomas Sankara, l’homme Intègre de Robbin Shufield -22h00 : «Alpha Blondy, un combat pour la liberté» de Antoinette Delafin et Dramane Cissé
CINEMADIALOGUEDEYOPOUGONSamedi 3 déc.2011-18h30:« Le bateau qui pue »,Bagassi Koura, Burkina Faso / USA, 26’ suivi de débats-20h30 :“Thomas Sankara, l’homme Intègre ”de Robbin Shufield -22h00 :«Alpha Blondy, un combat pour la liberté» de Antoinette Delafin et Dramane Cissé suivi de débats sur la relation musique et politique.
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CAFE DEVERSAILLES(COCODY)-Dimanche 4 déc. o 2011SOIREEDECLOTURE
18h30::”“Le point de vue du Lion suivi de débats avec Didier Awadi20h00 : Débats avec Awadi, Billy Billy et Nash.L’artiste doit-il fuir les prises de positions politiques ? Ou bien a-t-il le devoir de s’exprimer publiquement ?suivi de prestations des artistes 22h00«Alpha Blondy, une vie de combat» de Antoinette Delafin et Dramane Cissé
FICHE SIGNALETIQUE
PERSONNES A CONTACTER :
Yacouba SANGARE : Président de Ciné Connexion RCI Tel : (00225) 07 37 28 30
Email:sangarey@gmail.com/
& Mail2: coulibalykevin@yahoo.fr
Luc DAMIBA, Président de SEMFILMS Burkina
Té : (00226) 70 25 85 08 / Fax (226) 50 34 37 45
Tel : (en Suisse) +41 (0)764 545 085
Mail 1 : semfilms@semfilms.org / Mail 2micailou@yahoo.fr
Email 3.youlouka@gmail.com
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